Plaisir d’offrir, joie de recevoir

La rédaction 4 août 2022

Clémence s’occupe comme à son habitude de la maison, quand son boss surgit pour lui offrir un cadeau très osé. Une belle pièce de lingerie qui saura mettre la belle dans tous ses états…

Il était 8 heures du matin et mes gestes étaient déjà ceux d’une automate. Je récurais tout, lavais tout : le plan de travail, le sol, les vitres… Les bols reprenaient leur place près des assiettes, les tâches de gras et de sauce s’effaçaient sous mon éponge, les miettes disparaissaient au passage de l’aspirateur. Beaucoup trouvent que nettoyer une maison est une tâche ingrate, cela me fait en réalité beaucoup de bien.

Cette activité me permet de laisser mes bras et mes jambes s’occuper tandis que mon esprit s’évade vers des pensées plus coquines. Je m’imagine alors rentrer chez moi, en Europe de l’Est, et retrouver les bras de mon ex, Nicolaï.

Un bel homme bien musclé qui avait non seulement beaucoup de talents avec sa langue, mais qui était également particulièrement bien membré.

Il avait un tatouage en haut du pubis que j’aimais caresser du bout des doigts. J’aimais aussi y laisser ma langue tracer d’innombrables contours avant de descendre plus bas, près de ses poils, au plus près de sa belle queue. Lui manger les couilles, aussi…

Soudain mon « boss », Rick, a fait irruption dans sa cuisine.

Il m’a raconté une histoire abracadabrantesque, il avait acheté une parure de lingerie rouge pour sa femme Mathilde pour la Saint-Valentin, mais elle n’avait manifestement pas aimé le cadeau ! Trop coquin, pas la bonne taille…

Rick me citait pêle-mêle des arguments farfelus, mais je n’étais pas dupe : cette lingerie rouge n’était pas du tout de la taille de Mathilde qui devait bien faire un bon 42 !

Je caressais du bout des doigts les étoffes fines, la jarretière, le soutien-gorge qui laissait les tétons apparents, la culotte fendue… Définitivement, je connaissais bien la garde-robe de Mathilde pour avoir de nombreuses fois étendu ses sous-vêtements lors des lessives, ce n’était pas du tout son style !

Il fallait être totalement à côté de la plaque pour imaginer lui faire plaisir en lui achetant des parures de la sorte. À la voix tremblotante de Rick, je sentais qu’il était très gêné de m’offrir ce présent, de m’expliquer dans le détail comment il aurait aimé que sa femme porte chacune des pièces, à quoi elle aurait ressemblé la cuisse gainée par la jarretière et les seins remontés par le soutien-gorge.

Mais tout trahissait dans sa voix son envie de me voir avec, de m’imaginer encerclée par les attaches de fer et les laçages du string.Alors, je suis entrée dans son jeu, j’ai pris les vêtements du bout des doigts, j’ai tiré sur les élastiques, entouré ma jambe, mon genou, mon ventre avec les différentes pièces.

Je devinais à son regard qu’une bosse se dessinait sous son pantalon. Et tout d’un coup, dans une série de gestes empressés, il m’a tout arraché des mains et a fourré toute la lingerie dans le petit sac : « Tiens, va l’essayer dans ta chambre. J’espère que ce sera la bonne taille…»

Le pauvre, son excitation devait lui jouer des tours et il n’était plus sûr d’être bien maître de la situation. Je suis quand même allée me changer avec une idée coquine derrière la tête : m’exhiber à demi-nue dans cette nouvelle lingerie pour le faire dérailler. J’ai donc enfilé à la va-vite mon cadeau : la taille était absolument parfaite !

On aurait presque dit que le couturier avait utilisé mes mensurations pour confectionner le produit. Enthousiaste et fière de mon corps, j’ai troqué mes chaussures de travail contre des talons hauts jaune fluo et je suis allée m’exhiber devant Rick.

Il n’en revenait pas de mon audace. Il était partagé entre la peur de se faire surprendre par sa femme et son désir sexuel oppressant qui lui faisait perdre la tête. Je me suis rapprochée très près de lui et j’ai commencé les avances : « Alors, tu ne trouves pas que le string me fait des hanches sublimes ? » « Et ce soutien-gorge, il semble fait pour ma peau, non ? »

Il ne répondait rien, mais ses mains avaient déjà pris le relai de sa voix. Il caressait mon corps, c’était suffisant comme réponse.

Alors, telle une jolie petite poupée qui vient de se faire habiller, je me suis laissé faire, amusée de servir de territoire secret à explorer. Flattée, aussi, d’être devenue une reine l’espace d’un instant dans son regard. Il tirait du bout des doigts sur les élastiques, et puis, très tendrement, ses deux mains se sont agitées sur ma peau dans un ballet des plus sensuels.

Il tripotait chacune des courbes de mon corps, de mes seins, très généreux, à mon cul ; il a même écarté mes deux fesses pour voir mon petit trou, à travers ma culotte fendue. Il regardait bien au fond comme lorsque l’on regarde à travers le judas, comme lorsque l’on espionne, prêt à découvrir tous les secrets des plaisirs cachés de mon corps.

À ce moment, j’ai su qu’il fallait que nous poursuivions les festivités dans l’intimité de ma chambre. J’ai claqué la porte derrière nous et je lui ai ordonné de se mettre sur le lit. Il a baissé son pantalon tout en conservant le haut, comme lorsque l’on va chez le médecin et que l’on doit lui présenter une blessure à un endroit très intime.

En l’occurrence, il ne s’agissait pas d’une blessure, ou d’un bobo, mais d’une énorme bite en érection.

Pas sûr que Nicolaï en avait une si grosse, et pourtant, il avait déjà un calibre bien conséquent ! Non seulement sa taille était impressionnante, mais je me suis aperçue que son gland était également bien luisant, bien humide. J’avais tellement envie de la gober tout entière, elle m’appelait, comme une friandise dans une boulangerie qui trône, fière et arrogante, derrière la vitrine.

Pas question de réfréner mon envie sous le prétexte qu’il soit mon employeur. Après tout le bon travail que je faisais pour cette famille, j’avais moi aussi le droit de me détendre, non ?

Je suis donc venue sucer à pleine bouche sa superbe queue.Je me suis d’abord attaquée au gland, puis, petit à petit, ma langue s’est déportée sur sa tige pour terminer sa chute sur ses adorables petites couilles. Je les ai gobées avec avidité et gourmandise.

Qu’est-ce qu’elles étaient fermes et rebondies ! Ça devait faire longtemps qu’il marinait dans son caleçon à force de m’imaginer dans sa petite lingerie. Rick était aux anges de se faire sucer de la sorte, ses mains continuaient à se promener sur mon cul et ma chute de rein, il caressait mes cheveux, et poussait des petits gémissements contenus, certainement pour ne pas embarrasser sa femme.

Je me suis dit que je m’empalerai bien sur lui. Il m’avait excitée comme une petite cochonne, ma chatte était trempée et je ne voyais que sa queue pour assécher le torrent qui se déversait entre mes cuisses. Je l’ai enjambé d’une traite et je suis venue sur lui tout doucement. Petit à petit. Sa queue s’enfonçait en moi millimètre par millimètre et ma chatte avait du mal à encaisser un tel calibre. Il faut dire que, depuis que je suis en France, c’est la disette totale !

J’ai été tellement absorbée par mon travail que je ne me suis jamais abandonnée à une aventure, même pour une nuit. Bien sûr que ma chatte avait dû se comprimer avec le temps. Ne dit-on pas des organes qu’ils s’atrophient s’ils ne sont pas utilisés ? Mais Rick me ramenait doucement à la vie.

Ses gestes se faisaient de plus en plus pressants, de plus en plus saccadés. Son gland tapait enfin au fond de ma chatte, dans des petits coups précis, et ça me faisait bondir au plafond à chaque fois.Ses yeux se sont ouverts d’un coup, très grand, sa bouche s’est déformée en un “O” joyeux. Mon Nicolaï n’avait jamais été très expressif au lit, je faisais l’amour avec une montagne, un roc qui ne dévoilait aucune émotion. Mais les Français sont loin d’être pareils !

Ils ont une vibration qui leur vient du fond des tripes et n’ont pas la pudeur slave de la retenir. Ils résonnent avec leur plaisir, se laissent aller à des déformations du visage, à des rires, à des petits bruits à peine retenus. Qu’est-ce que c’était bon de baiser dans la joie et la bonne humeur ! Je me suis alors retournée pour me mettre dos à son visage.

J’avais gardé mes talons et j’essayais tant bien que mal de conserver cet équilibre précaire, les pieds enfoncés dans le matelas, les cuisses gainées et je montais puis redescendais sur sa bite. Qu’est-ce que c’était bon !

J’étais maintenant assez humide pour que cela glisse tout seul, que ça coulisse comme un piston bien huilé.

Rick me prenait par les hanches comme une petite poupée. Je sentais son regard lubrique dans mon dos qui me transperçait de part en part.

Je sais bien que la lingerie que j’avais conservée sur moi participait à son excitation. Qu’il appréciait les lacets rouges s’agitant sur mes flancs, mes fesses et mes cuisses. Que les Français sont raffinés ! Quel sens de l’érotisme !

Alors que j’étais toujours en train de me pilonner sur ce sexe bandant, j’observais ses mollets se contracter et se décontracter au rythme de mes aller-retour.

Ses veines épaisses, travaillées, démontraient une activité sportive assidue. Est-ce qu’il baisait encore avec sa femme pour les avoir aussi toniques ? Rien qu’en imaginant Rick et Mathilde baiser ensemble, je n’ai pu empêcher un petit rictus de s’afficher sur mon visage. Les deux avaient l’air tellement malhabiles quand ils étaient ensemble, ils évitaient tout contact physique comme visuel, leurs conversations s’étiraient en une série de malentendus stupides, à mon avis, ils ne devaient plus avoir d’intimité depuis longtemps.

La pauvre Mathilde, elle ne sait pas de quoi elle se privait ! Son mari était pourtant une machine sexuelle. Il continuait à me porter à bout de bras tout en faisant d’incroyables mouvements à la seule force de son bassin.

Mes fesses claquaient toutes seules. J’avais l’impression de m’être assise sur une machine à laver lancée à toute allure en mode séchage. Bam. Bam. Bam. Je sentais le plaisir se diffuser au plus profond de mon bassin, agiter mon ventre et faire monter tout le sang à mon cerveau. J’allais jouir, peut-être. En tout cas, je n’arrivais plus à tenir sur mes jambes, déstabilisée par tout le plaisir qui peu à peu m’envahissait.

Il m’a alors doucement fait basculer sur le côté, comme une petite poupée, et mes jambes se sont serrées toute seules, l’une contre l’autre. La bite de Rick n’avait aucun mal à me limer sur le côté, je sentais ses couilles frapper doucement contre ma chatte et ma cuisse.Elles étaient lourdes, bien pleines, prêtes à exploser. Le pauvre ! Cela ne devait pas le vider entièrement de se palucher sous la douche, dans le dos de Mathilde.

Rien ne vaut le con et le cul d’une vraie femme de façon régulière ! Ils ont besoin d’éjecter tout leur désir, toute leur envie, toute leur liqueur dans le chaud d’un vagin bien étroit. Et je sentais bien que c’était dans le programme de Rick ! Il tirait sur ma cuisse pour me faire écarter les jambes le plus largement possible. Sa bouche s’est alors rapprochée de mon oreille et tel un petit garçon il m’a demandé : « Est-ce que je peux te prendre le cul, aussi ? ».

Le cul ? Jamais personne ne m’avait sodomisée encore, j’étais totalement vierge de cette zone-là.

Non seulement, je n’étais pas sûre d’être bien propre, mais en plus j’avais peur d’avoir mal. Mais je me suis dit que c’était maintenant ou jamais l’occasion de tenter ! Après tout, il rien de mieux qu’un Français pour m’initier aux joyeusetés de l’érotisme sous toutes ses coutures.

Il a alors craché un long filet de bave sur son majeur et a entrepris de m’écarter le cul, tout doucement, de la pointe du doigt, en massant bien le pourtour.

Il assouplissait bien mes sphincters et, curieusement, cela m’a tout de suite paru très agréable.

Je comprenais enfin pourquoi autant de femmes en faisaient la promotion dans les magazines féminins. Je me laissais faire en fermant les yeux, je voulais être la plus ouverte possible pour lui, qu’il y rentre aussi facilement que dans ma chatte.

Une fois qu’il a senti que j’étais assez prête à son goût, il a de nouveau fait appel à sa salive pour lubrifier sa queue. Consciencieusement il a badigeonné tout son pénis, son gland et ses bourses, puis il a frotté son petit bout à l’entrée de ma zone plissée.

Je respirais à grand bruit, je savais qu’inspirer et expirer dans de grandes impulsions permettait de se sentir plus détendue. Et ça y’est, je sentais son pénis s’aventurer petit à petit dans le conduit.

Toute ma zone anale s’étirait sous l’impulsion de sa grosse saucisse, c’était à la fois un peu douloureux, mais en même temps très bon. J’ai entrepris de me masturber en même temps qu’il s’enfonçait en moi, à travers ma lingerie.

Ça me faisait beaucoup de bien et cela me permettait de dissiper totalement la douleur ! Jackpot !

J’ai continué à me faire du bien, à jouer avec mon index et mon majeur autour de mon clitoris en feu sous les encouragements de Rick qui n’en revenait pas que je lui donne autant de moi lors de notre première fois.

Sentant le plaisir monter de nouveau, je n’ai pas cherché à le contenir et je me suis laissé jouir sur sa bite en feu enfoncée dans mon cul. J’étais traversée de spasmes et j’ai senti mon petit trou se contracter involontairement autour de son membre. C’était très agréable ! Comprenant que j’avais eu un orgasme, Rick s’est écrié : « OK à mon tour de jouir ! Je peux venir sur toi ? J’ai envie d’éjaculer en regardant ta petite chatte et tes doigts sur ton bouton d’amour… »

Droguée par les délicieuses hormones du sexe, je ne pouvais plus rien lui refuser.

Il s’est alors mis à se masturber très rapidement, dans de grands gestes, au-dessus de mon entrejambe. C’était amusant de voir ses grimaces, ses veines du front qui tremblaient, le rouge de ses joues qui s’affirmait. J’écartais bien grand mes deux trous, bien ouverts par sa bite un peu plus tôt, pour que ça l’excite encore plus. « Tu aimes voir mes jolis trous de près ? » « Tu aimes savoir que je mouille de la chatte comme du cul pour toi ? »

Je devenais carrément graveleuse dans mes propos, Rick ne s’attendait pas à ce que je lui dise autant de saloperies… mais je connaissais le pouvoir de ces petites cochoncetés, surtout au moment de jouir !

Rick allait bientôt se répandre sur mon minou – sa bite était prête à imploser, ses couilles se balançaient de gauche à droite dans un rythme démentiel, des grognements de plus en plus forts s’échappaient de sa bouche – alors j’ai remonté un peu mon bassin pour qu’il puisse bien éjaculer sur ma chatte épilée, imberbe.

Ce qu’il a fait. Dans de grands spasmes saccadés ! Ah si Mathilde s’était doutée de l’effet de la lingerie sur son mari, peut-être en aurait-elle porté plus souvent !

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