Prune bien juteuse

La rédaction 27 février 2021

Pour pimenter une soirée ennuyante, Marcel, 35 ans s’amuse avec sa chérie avec un oeuf vibrant.

une prune bien juteuse histoire érotique

C’est la première fois que je vous écris une histoire de sexe, et je franchis le pas pour faire une surprise à ma chérie, Prune, une fille magnifique qui n’en n’a pas conscience. Je lui ai fait découvrir interstron.ru et depuis, elle ne peut plus s’en passer, elle a été transformée. Elle qui était si timide ! Elle est fan de votre magazine, de vos histoires.

En décembre dernier, nous avons été invités à une soirée chez des amis à elle. Je n’étais pas très motivé pour y aller, mais elle souhaitait absolument que je l’accompagne, et finalement… je n’ai pas été déçu ! J’ai seulement fixé mes conditions avant de partir : une tenue très sexy, un maquillage un brin vulgaire et de la boisson sans retenue. J’ai également obtenu carte blanche pour lui parler comme je l’entendais et surtout pour qu’elle porte à l’intérieur de sa petite chatte mon dernier gadget : un oeuf télécommandé. Une fois sur place, la soirée était mortellement ennuyeuse, sans ambiance. Prune profitait de la fête pour discuter avec ses copines en buvant un coup. Elle est passée près de moi pour se resservir un verre et m’a soufflé : « Toi, tu vas être cocu !« . Elle a tourné les talons et elle est partie chauffer un garçon inconnu qu’elle avait repéré. On voyait bien qu’elle avait bu, elle ne se contrôlait plus et devenait garce.

Mon objectif, ce soir-là, était de faire comme si je ne sortais pas avec elle pour observer ses réactions, mais aussi celles des autres… Je n’hésitais pas à la rappeler à l’ordre. J’appuyais au hasard sur le bouton de la télécommande en alternant les différents rythmes. Je me cachais pour la faire paniquer et ajouter un soupçon de suspense… Combien de temps allais-je la faire vibrer ? Elle ne pouvait pas le deviner. Elle rougissait, gesticulait du bas-ventre. Elle semblait mal à l’aise. Elle avait peur d’être découverte et d’être prise pour la petite salope d’allumeuse qu’elle était.

Au fur et à mesure que la soirée avançait, Prune devenait, sous les effets de l’alcool et de l’oeuf, était de plus en plus libérée et avenante. Je me tenais à bonne distance et cherchais à donner l’impression que je ne m’intéressais pas le moins du monde à elle. Toutes les cinq minutes, je la rappelais à mon bon plaisir. Je sentais qu’elle était parfois au seuil de la jouissance, mais je m’arrêtais juste avant, histoire de la faire mariner un peu. Les invités se sont mis à danser, Prune aussi. Elle se collait à son partenaire, se montrait de plus en plus chienne et tactile… Tout cela dans le but de m’exciter, de me rendre jaloux. Moi, je me demandais : « elle ne va pas passer à l’acte, tout de même ! » Je pense que le mec se disait un truc du genre : « Il y a moyen de la baiser, cette bimbo ! » Vers deux heures du matin, j’étais fermement émoustillé par son petit manège et j’avais envie d’elle. J’ai rassemblé discrètement nos affaires et je suis venu lui parler pour la première fois de la soirée. J’ai annoncé sèchement : « Ça suffit ! Tu t’es assez donnée en spectacle, on rentre…« . Et, en bonne petite soubrette, elle m’a suivi. Le soupirant de madame est tombé des nues !

Une fois dans la voiture, je lui ai demandé de déboutonner son haut, d’enlever son soutien-gorge et de se toucher d’une main pendant que l’autre caressait ma tige. À chaque feu rouge, je lui disais : « Petite allumeuse, viens téter ma bite et mouille-la bien avec ta bouche de suceuse. » Je la sentais toute dominée et possédée par mon langage… Elle qui ne supporte pas les vulgarités d’habitude ! Tout en pompant, elle gémissait, la bouche pleine. Ses cris étaient étouffés par mon membre. J’avais envie de lui cracher mon jus dans la bouche. Le retour a été aussi rapide qu’agréable. Nous nous sommes bientôt trouvés dans la pénombre du parking. J’ai éteint le moteur et je lui ai carrément arraché son string, là, dans la voiture. J’ai ensuite enfoncé un doigt dans sa petite fente trempée, pour fouiller, attraper la ficelle et retirer l’oeuf de sa chatte. J’ai trouvé ce que je cherchais, j’ai tiré. Un filet de mouille pendouillait au bout de l’engin. Un piaillement de plaisir est sorti de la bouche de Prune.
En touchant sa chatte trempée, j’ai découvert que cette garce avait rasé son minou en forme de ticket de métro. Elle sait que je suis incontrôlable quand elle est en mode jeune fille! J’ai récupéré les filets de mouille de son sexe pour les étaler sur son petit oeillet tout frétillant. Prune se laissait faire en gémissant et m’encourageait à aller plus loin. Son cul ne montrait pas de résistance et mon doigt s’enfonçait comme dans du beurre. En même temps, je lui tétais les seins.

Tout à coup, elle a dit : « Mon petit trou c’est pour tout à l’heure, quand tu te seras bien vidé. Mais pour l’instant, bourre-moi la chatte, défonce-moi. » J’ai rétorqué sur le seul ton possible : « Tu vas déguster, petite chienne. Tu vas regretter de vouloir me faire cocu, comme ça. Mais d’abord, lèche-moi la queue. » Je lui ai donc présenté mon dard qu’elle a bien sucé. Puis, je lui ai dit de s’installer sur la banquette arrière et de se mettre en levrette. Sa croupe est passée juste devant mon nez. Je l’ai bloquée et j’ai bouffé sa petite chatte rasée. Elle s’est ensuite mise à quatre pattes. Je l’ai rejointe. On était un peu à l’étroit, je lui ai écarté les jambes. Elle m’a provoqué : « Allez, c’est quand que tu me farcis la moule ?« Je l’ai attrapée par les cheveux et j’ai tiré fortement sur sa crinière en lui aboyant : « Écoute, petite salope d’allumeuse, c’est moi qui te baise. Toi, tu es juste bonne à couiner. » Je l’ai sentie se cambrer de plaisir. Mon engin l’a pénétrée comme une entrée en mêlée.

Elle a poussé un râle de bonheur. « Vas-y brise-moi la chatte, mets-la bien au fond. » Je lui filais des claques sur le cul, j’étais en sueur. De mon autre main, je caressais son clito juteux. Mes coups de pilon lui faisaient frétiller les fesses et dodeliner de la tête. Prune se tordait de plaisir. Sa chatte était une vraie piscine. Je lui ai agrippé les hanches, je n’en pouvais plus. En sortant d’elle, ma bite a fait un gros bruit crado de boyau. Je me suis pincé la base de la verge d’une main et j’ai attrapé sa tête pour présenter son petit minois à mon gland. J’ai déchargé en criant comme jamais sur sa bouche, ses yeux, et une giclette est même entrée dans ses narines (un de mes fantasmes est de pénétrer son joli nez et d’éjaculer à l’intérieur).

La banquette était trempée, et l’odeur de sa mouille mêlée à mon sperme embaumait la voiture. Il était temps que je lui jouisse sur la figure car une minute plus tard, une voiture est entrée dans le parking. On s’est cachés, puis elle s’est nettoyée et m’a informé : « On monte chéri, le travail n’est pas fini… » J’étais comme un fou ! Surpris pas ce langage inhabituel, je me suis mis à rebander direct ! Nous sommes donc montés pour « finir le job« , après avoir pris une douche coquine… Mais je laisserai à ma petite « chienne » le soin de raconter la suite de cette histoire à vos lecteurs. Je vous laisse son email pour commenter ses exploits. Mais s’il vous plaît, restez romantiques : n’oubliez pas que ma Prune est prude ! Je suis le seul à pouvoir lui parler ainsi.

J’espère que tu te reconnaîtras, ma petite orchidée, et que tu seras contente de mon initiative. Je te souhaite aussi un bon anniversaire (un peu en retard !). J’adore ta dualité. Je t’aime, aussi bien à la vie que dans le lit !

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