Entre adultes consentants

La rédaction 14 juin 2024

Slimane, 60 ans, Epinay-sur-Seine, aide ses voisins et se fait remercier par une belle partie de jambes en l’air en trio.

Entre adultes consentants

Je m’appelle Slimane, je suis retraité du bâtiment, mais surtout disponible. J’ai 60 ans. Valérie et Pascal, un couple de voisins dans la trentaine, m’ont demandé de les aider à poser du parquet flottant dans leur salon. La dernière latte ajustée, je leur ai demandé si je pouvais me laver les mains. Valérie m’a suggéré de prendre une douche pour me délasser. Voici mon histoire de sexe.

Quand j’en suis sorti, ruisselant, j’ai appelé pour qu’on m’apporte une serviette. Ce sont des choses auxquelles on ne pense jamais avant… Et c’est Valérie que j’ai vue à la porte, le tissu éponge à la main. Gêné, je lui ai tourné le dos. Elle me l’a posé sur l’épaule : « Ne vous en faites pas Slim, je sais ce que c’est, un homme. » Elle m’a essuyé le dos, puis elle m’a dit : « Tournez-vous. » J’ai obéi. Elle a posé son regard sur mon bas-ventre en s’exclamant : « Oh, mais vous êtes circoncis ! C’est plus beau, finalement, qu’un long tube sans dessin, sans relief. Je peux toucher ? »

A genoux pour le joujou

Elle n’a pas attendu ma réponse. Elle était déjà à genoux sur le tapis de bain à me caresser le sexe. Au contact des menottes douces et chaudes, mon érection a été immédiate. « Mais, Pascal ? », ai-je demandé. « C’est un garçon moderne et sans tabous », m’a-t-elle rassuré. Ce disant, Valérie s’est levée, a pris ma main, l’a dirigée sur son sexe. J’ai caressé sa vulve au-dessus de sa culotte rouge, en insistant le long de sa fente avec le majeur. Ma voisine a placé ses deux pouces de chaque côté de ses hanches et a fait glisser sa culotte le long de ses cuisses, en murmurant : « Le contact direct, c’est encore mieux. »

A vingt ou soixante ans, on n’a jamais fini de faire des découvertes. Sous le slip de Valérie, j’ai trouvé un superbe pubis noir et luisant, touffu comme j’aime, débordant un tout petit peu en haut des cuisses, un sexe de femme, et des cuisses légèrement duvetées, très nature. Elle a appelé son mari. Pascal est entré dans la pièce, pas étonné du tout. « Regarde Pascal, l’a-t-elle interpellé en continuant à me caresser le zgeg, ça me tente, j’aimerais bien le sentir en moi, ce joujou. » Il a acquiescé.

Il y avait un tabouret, Valérie m’y a fait asseoir. Elle s’est débarrassée de son chemisier, de son soutien-gorge et elle m’a ordonné : « Mettez-vous bien au bord du tabouret, les jambes tendues, je veux avoir tout le pénis dans mon ventre, c’est moi qui m’occupe de la manoeuvre. » Ça me faisait bizarre de faire ça devant son mari, mais bon, entre adultes consentants… Et j’avais vraiment très envie de sentir sa choune. Elle a déposé de la salive sur le bout de ses doigts et m’en a badigeonné le gland. Elle a guidé mon sexe vers le sien.

Tout en profondeur

J’ai d’abord senti la douceur des poils soyeux, la tiédeur des lèvres, puis la douce chaleur du vagin, jusqu’à ce que son pubis vienne buter sur le mien. Je la tenais par les fesses, je la tirais contre moi, pour bien me rendre compte de sa profondeur, du bonheur de nos deux sexes réunis. Elle m’a fixé droit dans les yeux et a lâché, bouche grande ouverte, un soupir voluptueux. Une larme lui a jailli au coin deSon homme, tout en l’embrassant, en lui caressant la joue et les seins, s’est empressé de la recueillir du bout du doigt. Puis, sa main a glissé le long du ventre de sa femme, jusqu’à nos deux sexes réunis. Curieusement, cela ne m’était pas déplaisant. Il a placé son index et son majeur en ciseaux sur mon pénis, après quoi, il a introduit deux doigts en Valérie.

Ca a été, je crois, l’élément déclencheur de son érection. Il a dégrafé son pantalon et baissé son slip. J’ai été soufflé par la taille imposante de son pénis. J’ai appris par la suite qu’il souffrait de problèmes d’érection — celle qu’il avait à cet instant n’était pas franche et un peu molle. « Ça y est, mon doudou ? », a demandé Valérie. Elle a retiré mon pénis de son vagin en le tenant par la base et s’est mise à quatre pattes face à moi, genoux et coudes sur le tapis de bain, pour s’offrir en levrette à son mari.

Crier à en gémir

Pascal a agi. Il s’est placé derrière sa femme, lui a léché la vulve et a placé son sexe à l’entrée humide du vagin en lui faisant faire un mouvement circulaire, histoire de mouiller le gland. J’étais fasciné. Il parcourait avec son bourgeon les lèvres et l’anus de mon amante perdue, en effleurant de la paume de la main son dos, ses seins. « Viens tout de suite mon chéri, fais-moi hurler ! » Maintenant sa femme par les hanches, il l’a pénétrée de son grand sexe. Valérie, entre deux gémissements, m’a invité à me placer bien devant elle. Elle ne m’avait pas oublié ! Elle a pris ma hampe entre son pouce et son index en cercle et s’est mise à me sucer, salivant abondamment le long de mon membre. La bête à trois dos. « Je vais éjaculer », l’ai-je prévenue.

Elle a ôté sa bouche en gardant mon pénis dans sa main, le sperme lui a coulé entre les doigts. Au même moment, Pascal a râlé de plaisir. Les yeux mi-clos, Valérie a bredouillé : « Mon amour, je sens les secousses de ton doudou, ton sperme chaud qui m’inonde… » C’était superbe. Pour la discrétion, mes voisins savaient bien qu’ils pouvaient compter sur moi… Ils m’ont parlé très librement des problèmes d’érection de Pascal, du grand appétit de Valérie… Ils étaient toujours à la recherche de nouveauté, de partenaires singuliers. J’ai dit à Valérie que dorénavant, elle pourrait me tutoyer. « Non, je ne peux pas, vous pourriez être mon père. Le fait que vous ayez été mon partenaire sexuel ne m’autorise pas à vous manquer de respect. » C’est une fille qui a de la classe. Pendant toute la partie, c’est vrai, je n’ai pas entendu de vulgarités. La classe.

(Image à la une : Getty Images)

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« J’en avais plein le menton, la bouche et le nez. Pour me remercier de l’avoir bien léchée, Katia m’a pépom comme une princesse du porno (gorge profonde, bave sur la tige et compagnie). » Kevin.

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« Alice a joui très fort, est restée inerte un instant, puis m’a déshabillé avec une rapidité étonnante. Elle avait vraiment envie de moi. » Fabrice.


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  • Aplas

    Bonjour comment faire pour publier un courrier des lecteurs cdlt

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