Stella en haut de chez moi
22 mars 2021Vivien, 45 ans, baise sa voisine Stella sur son canapé. Une belle rencontre, et pourquoi pas, le début d’une grande histoire d’amour ?
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Stella, c’est ma voisine d’amour. La plus adorable, la plus jolie, la plus sexy des voisines. Du genre à vous donner du gâteau au chocolat lorsqu’il lui reste du rab, à laisser près des boîtes aux lettres un joli bouquet de fleur au premier mai ou à organiser des barbecues dans la cour de l’immeuble.
Elle a 35 ans, elle est à la tête d’une entreprise culinaire, je crois, un truc en lien avec la confiserie. Mais c’est elle la plus délicieuse douceur que j’ai rencontrée que cette planète Terre.
On échangeait à chaque fois que l’on se croisait dans le couloir, des discussions sur la copro, sur les bruits de la rue, sur la ville qui est en train de se transformer. Elle voit toujours tout avec un œil positif et pétillant, ça change du Français moyen toujours prêt à se plaindre. Elle aime voir la vie côté édulcoré.
Alors, bien sûr, quand je l’ai invitée à passer un petit moment à la maison, à visiter mon appartement, elle n’a pas dit non. Elle me donnait des conseils déco, sur les couleurs, les meubles, le papier peint. Je l’écoutais gentiment, mais je ne pouvais m’empêcher de mater en même temps ses superbes jambes recouvertes d’un bas noir, cachées sur une jupe qui remontait à mi-cuisse. Et ce cul incroyable moulé dans du simili-cuir.
Elle devait bien avoir dix ans de moins que moi, et j’ai toujours aimé les femmes de la trentaine, un corps encore bien ferme et tonique, une envie de vivre au top, une assurance que les petites vingtenaires n’ont pas. J’ai trouvé n’importe quel prétexte pour lui toucher le bras. Son gilet rose, « oh c’est mignon cette matière, c’est doux, c’est quoi ? », ma phrase d’approche était un peu naze, mais bon, elle a mordu quand même en me disant que ça venait de sa maman.
J’ai allumé ma musique, un truc doux un peu jazzy, je me suis fait une clope, je lui en ai proposé une, elle m’a dit « non, mais je boirais bien un truc fort à la place », je ne refuse jamais de servir de l’alcool à une jolie femme, je lui ai sorti ma bouteille de whisky, 15 ans d’âge, un poème.
Trois glaçons, et au bout d’une heure, voilà Stella qui chantait à tue-tête, à moitié à poil, dans mon salon.
Je ne savais pas que sa lingerie serait aussi recherchée, j’en suis un grand fan mais je sais que les femmes d’aujourd’hui préfèrent les chaussettes épaisses et les boxers en coton. Là, avec le corset et le porte-jarretelles, le fétichiste que je suis a été servi. A force de sautiller sur mon canapé, voilà que ses deux nichons ont commencé à se faire la malle, je regardais ses deux petits tétons poindre sous la dentelle rouge.
Je me suis approchée d’elle en lui demandant si je pouvais les sucer. Elle m’a dit « pas de problème ». J’ai avalé goulument et sans aucune retenue la poitrine de ma voisine. Mes mains venaient presser également ces deux gros globes bien ferme pour jouer avec les aréoles.
Avec l’étourdissement de l’alcool, elle s’est jetée de façon empressée sur mon pantalon pour me tailler une pipe. C’était un peu n’importe quoi, elle était assez molle dans ses gestes, et ça bavait de partout. Mais c’était marrant.
Je l’ai alors retournée contre mon canapé, j’ai tiré sa culotte sur le côté, et je l’ai fourrée comme j’ai pu. Putain que c’était bon de voir sa croupe arrière encaisser les chocs de mon bassin. De jolies petites vaguelettes qui déformait son dos. Et sa chatte, bordel, sa chatte ! Un accueil chaud, doux, mouillé, étroit, comme chaque homme en rêve en se branlant. Elle ne devait pas encore avoir de gosse pour avoir un truc aussi serré. J’ai juté sur son petit string rouge, et elle s’est affalé sur mon canapé, complètement bourrée.
Je n’avais pas la force de remonter d’un étage pour la raccompagner dans son lit. Alors j’ai déplié le canapé, et je me suis allongé auprès d’elle.
Je vous écris alors qu’elle vient de remonter dans sa piaule, le corps endolori par une bonne gueule de bois. Et je n’ai qu’une envie : qu’elle descende au plus vite frapper à ma porte pour le second round.
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