Ma femme est catholique, comment l’amener à accepter la levrette ?
23 octobre 2021« Bonjour docteur, je viens vers vous car je rencontre quelques « problèmes » au cours des rapports sexuels avec ma femme. Je désirerais faire l’amour dans une position qui n’est pas en accord avec l’éducation catholique de ma jeune épouse. Il s’agit de la position « postérieure » ou, autrement dit, de la « levrette ». Je fantasme sur cette posture, mais je ne l’ai jamais pratiquée, car elle ne se présente jamais naturellement dans nos ébats amoureux. J’aimerais savoir si vous disposez de statistiques sur cette position. Est-elle fréquemment adoptée par les couples, et comment les femmes la considèrent-elles ? Cette façon de faire ne me semble pas très « tendre », et je ne voudrais pas froisser ou choquer ma compagne. »
La levrette, trop bestiale comme position ?
Bien que fréquemment pratiquée, cette position dite de la « levrette » n’est en effet pas celle que les femmes choisissent en premier lieu. La plupart des couples s’y adonnent, essentiellement pour varier leurs ébats et éviter la monotonie des rapports sexuels. Toutefois, le côté bestial de cette position (c’est celle des animaux) peut mettre mal à l’aise certaines femmes. Du côté des messieurs, cette position présente des avantages permettant d’accentuer les sensations et l’excitation. Seulement, le caractère dominant masculin peut déranger certaines femmes (et en satisfaire bien d’autres !).
Au sujet des chiffres que vous demandez, je peux vous diriger vers l’article suivant : « Les positions préférées des hommes et des femmes« , afin de vous éclairez statistiquement parlant.
Varier les positions, varier les plaisirs et atteindre la levrette
Le mieux serait sans doute pour vous de commencer par une position proche mais moins dominante, comme celle de la « cuillère ». Homme et femme sont couchés en chien de fusil, l’un contre l’autre, et l’homme peut faire une pénétration arrière sans que sa compagne se mette à quatre pattes. De la même façon, le jour où votre épouse décidera de tenter l’aventure, mieux vaut éteindre la lumièrepour qu’elle se sente moins gênée.
Quant aux sensations éprouvées, elles sont bien sûr variables d’une femme à l’autre. Parfois plus intenses, car la pénétration arrière est plus profonde, elles peuvent également être moins propices au déclenchement de l’orgasme féminin. On peut idéalement compléter la levrette par une stimulation manuelle du clitoris, faite par l’homme ou sa partenaire. Cette stimulation peut potentiellement permettre à votre compagne d’être d’autant plus détendue et relâchée, donc plus ouverte au laisser-aller.
Notez également que les femmes adeptes de la levrette se réjouissent de ne pas avoir à supporter le poids de leur compagnon en faisant l’amour.
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