Orgasme souterrain
4 novembre 2024Je m’appelle Virginie, j’ai 35 ans et j’aimerais raconter mon histoire de sexe amateur. Nous étions deux amis et nous travaillions dans la même maison et dans le même service depuis trois ans. Un jour, pour le déjeuner, nous sommes tous partis avec notre chef dans une pizzeria. Avec le collègue en question, nous étions assis face à face à table. Au moment du dessert, j’ai senti un genou qui frôlait le mien plusieurs fois, sans plus. Mais je ne l’ai pas oublié.
Jeu de main…
Quelques mois plus tard, nous avons fait le pont et devions récupérer un samedi en échange. Cet ami m’a demandé si je voulais qu’il passe me prendre en voiture. Il venait de la grande banlieue et passait par chez moi en sortant de l’autoroute. Je lui ai répondu oui, car les navettes sont rares le samedi. C’est ainsi que l’habitude a été prise.
Le matin, il m’emmenait, le soir, il me ramenait à mon domicile. Ça me faisait gagner beaucoup de temps, et on en profitait pour discuter en voiture et chahuter, surtout quand on arrivait au parking privé où il se garait, bien au calme… Un jour que nous jouions de la sorte, je lui ai déclaré, malicieuse, que je préférais les caresses aux coups. Il ne s’est pas démonté : « Eh ben je vais t’en donner. »
C’est ce qu’il a fait. Il a commencé à me toucher les seins, puis sa main a glissé sur mes cuisses. Il m’a demandé d’ouvrir mes cuisses plus largement. Après quelques hésitations, il a écarté ma culotte. Il m’a glissé un doigt dans la chatte. J’ai eu la réaction d’une femme très excitée, alors il m’a embrassée amoureusement, et je lui ai rendu ce baiser profond.
Les bonnes habitudes
Le lendemain, rebelote, la circulation étant fluide, nous sommes arrivés au parking très tôt. Aussitôt, nous nous sommes embrassés, nos langues étaient déchaînées, elles se cherchaient. Il m’a demandé de retirer ma culotte. Aussitôt fait. En la retirant, ma main a glissé sur son pantalon. J’ai senti une grosseur colossale entre ses jambes. Nous étions excités au maximum tous les deux. Il s’est baissé devant moi. J’avais tiré le siège en arrière. Il m’a sucé la chatte avec une grande avidité. Il m’a dit que je mouillais énormément, qu’il en avait plein la bouche. Je n’étais pas étonnée : je n’avais jamais ressenti un tel désir.
J’ai ouvert son pantalon. Sa queue était serrée là-dedans. Elle s’est déployée brusquement. Un gros machin s’est levé devant moi ; plus de vingt centimètres, pour sûr. J’avais hâte qu’il me pénètre.
ll s’est penché sur moi et est entré en moi tout doucement. C’était délicieux. La jouissance me coulait sur les cuisses. Je lui demandais d’enfoncer son membre plus loin dans ma chatte. Il y est allé plus franchement, avec force. Il est allé au bout de mon vagin. Nous avons fait l’amour merveilleusement. Quand il a éjaculé, j’ai senti sa semence gicler et se répandre en moi. Des jets de foutre tout chaud m’ont aspergée au plus profond. J’étais dans tous mes états. Mon mari à côté, c’était deux ou trois allers-retours et hop.
Enfin un homme avec une queue qui m’envoyait au septième ciel ! Nous nous sommes aimés avec passion. Mais moi j’étais mariée, et lui veuf. Nous avions douze ans d’écart. Étant la plus âgée des deux, j’avais peur qu’il se lasse avec le temps. Nous avons rompu. Lui, il s’est remarié, et moi je suis veuve à présent… Mais quand je pense à lui, je jouis.
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