Un voyage marquant !

La rédaction 10 mai 2020

Steffy, 23 ans.

Je m’appelle Steffy et j’étudie actuellement en LEA (Langue étrangère appliquée) dans une université de la région parisienne. Je m’oriente vers des métiers de tourisme, des métiers où l’on peut rencontrer des personnes venues de tous horizons et où l’on ne s’ennuie jamais vraiment. Je suis quelqu’un qui adore rencontrer de nouvelles têtes, comprendre comment la personne fonctionne, venir explorer son intimité. Et évidemment, j’adore aussi diversifier mes partenaires sexuels.

Je suis partie récemment, dans le cadre de mes études, habiter pendant 6 mois en tant que jeune fille au pair dans la banlieue de Londres. Je devais m’occuper d’une grande maison et des enfants, cuisiner quelques plats français et donner quelques cours de français dans une école à deux pas de la maison. Le père de famille m’a tout de suite intéressée dès que j’ai passé la porte d’entrée. Il avait cette allure très « british », une petite moustache absolument adorable, un maintien du corps très guindé, une chemise à carreaux proprette et bien repassée. Au quotidien, il se montrait être un père exemplaire et un mari attentionné. Il montrait plein de signes d’affection constamment, et quelque part, j’en étais presque jalouse de ne pas avoir été élevée dans une famille aussi lisse et aussi joyeuse que la leur. J’aurais adoré l’avoir comme père. Le mien était cool aussi, mais il est parti de la maison alors que j’étais très jeune et je ne l’ai pas vraiment connu. Bref, j’ai fini par nouer une vraie complicité avec le père de famille (ce qui était bien pour devenir totalement bilingue en anglais !) et je sentais bien qu’un petit « truc » était en train de se passer entre nous. Une fois, alors que je lisais dans un coin du salon, cachée sous une masse de plaid car il faisait froid, je l’ai senti me chercher du regard un peu perdu, et j’ai vu son sourire illuminer son visage lorsqu’il s’est aperçu que la masse de couette de laquelle ressortait un livre, c’était moi.

Après cette aventure qui a eu lieu quelques jours avant la fin de mon séjour, j’ai osé prendre les devants. Je suis allée dans sa chambre un samedi après-midi, alors que tout le monde était parti au parc se dégourdir les jambes et qu’il faisait sa sieste hebdomadaire, je l’ai embrassé sur la bouche alors qu’il dormait encore. Un peu comme un prince et une princesse, j’ai trouvé ça assez romantique ! Il s’est réveillé en sursaut avec une très belle gaule. Je lui ai demandé si je pouvais le sucer et il a hésité pendant de longues minutes, le temps de reprendre ses esprits, très certainement, et finalement, il s’est laissé faire. Je l’ai pompé comme jamais je n’avais sucé un homme. Je voulais tout lui donner, lui montrer à quel point je pouvais moi aussi être bonne, au moins autant que sa femme. Il a caressé mon corps avec ses grandes mains en me susurrant de très beaux compliments sur mon physique (même si j’avoue que je ne les ai pas tous compris, l’anglais en chuchotement, je ne le maîtrise pas encore complètement). Il m’a dit qu’il ne voulait absolument pas me pénétrer, il préférait conserver ça pour sa femme. Il aurait eu l’impression de la tromper « pour de vrai ». Chacun a sa propre définition de la tromperie, après tout !

Les autres nuits avant mon départ, il trouvait toujours un prétexte pour passer quelques instants dans ma chambre et nous expérimentions quelques préliminaires. J’ai conservé quelques photos en souvenir, j’aurai été trop triste de quitter la maison sans !

Ainsi, je garde un excellent souvenir de ces vacances ! L’année prochaine je fais un stage en Espagne, et je me réjouis déjà à l’avance de progresser dans cette langue. Vous voyez ce que je veux dire…

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Bon voyage !

« Et, tout à coup, sans crier gare, mon voisin a agrippé ma main et l’a posée sur sa queue palpitante. J’ai senti une chaleur soudaine, une chair étrangère sous mes doigts, mais je n’ai pas retiré ma main. Au contraire, j’ai resserré mes phalanges autour de son organe qui a aussitôt explosé. Deux petits jets, puis une troisième belle giclée de jus mousseux, quelques secondes après. » Stephanie, 40 ans.

Délicieuses retrouvailles

« Je n’ai pas duré plus de cinq minutes en fellation, mais de toute façon, Thomas me faisait clairement comprendre qu’il avait envie de me prendre la chatte. Je mouillais avant même qu’il sonne chez moi, et à ce stade de la soirée, mon vagin dégoulinait à grandes eaux. Thomas a récupéré un peu de ma cyprine pour en mettre sur son sexe et m’a enfoncé sa bite au plus profond de moi. » Mylène, 28 ans.

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