Retrouvailles au parloir

La rédaction 17 décembre 2022

Je suis une femme de 65 ans, mais j’ai toujours fière allure. D’ailleurs, je ne sais même pas pourquoi j’ai besoin de le préciser, car nous savons tous ici que ce n’est pas notre âge qui fait notre valeur ni notre sensualité. Les femmes souffrent d’être invisible dès que l’on passe le cap des 40 ans. Moi, ce que je peux vous dire, c’est que je tiens toujours la forme et c’est bien pour cela que je vous écris pour partager mon histoire porno.

Un tour en prison

L’autre jour, je suis allée rendre visite à un ancien amant dont j’avais appris qu’il était en prison pour une histoire de braquage. Je lui avais écrit quelques lettres et, au bout de trois mois, j’avais demandé une autorisation de visite. J’avais envie d’avoir de ses nouvelles et de lui montrer mon soutien en lui rappelant le bon vieux temps, car nous nous étions beaucoup aimés. De plus, l’idée de le revoir ne me laissait pas indifférente sur le plan érotique. 

Avant de savoir qu’il était incarcéré, je me demandais souvent ce qu’il était devenu et je pensais à lui le soir, me remémorant nos baises torrides. Je me suis dit qu’un peu de compagnie féminine à la prison lui réchaufferait le cœur. 

Le jour-J, je suis arrivée, le cœur battant, et je l’ai retrouvé au parloir, petite pièce fermée avec une table, deux chaises et une porte avec une petite vitre donnant sur le couloir. Mon ancien amoureux n’avait pas changé, il avait vieilli lui aussi, mais à 60 ans, il était toujours costaud, avec un air de bandit qui me faisait sourire. Cela lui faisait très plaisir de me voir et nous avons passé un bon moment à nous rappeler du temps passé ensemble. « Je ne t’aurais pas imaginé tomber pour un braquage, d’ailleurs je croyais que c’était derrière toi tout ça… ». « Non, j’avais besoin d’argent et je n’ai pas eu de chance », a-t-il répondu. Le détenu me racontait à quel point il était difficile d’être seul, sans amour au quotidien, sans geste d’affection. Sa femme l’avait quitté et s’il avait essayé d’écrire à d’anciennes amoureuses, j’étais la seule à lui avoir donné signe de vie. 

« Et le sexe ? », ai-je demandé. « On se masturbe sous les draps ou aux toilettes, mais ce n’est pas glorieux… ». « Et on a le droit au parloir ? ». Il a souri. « Non, on a pas le droit, mais les matons ne disent rien en général. »

Je l’ai regardé avec une petite étincelle dans les yeux en suggérant que l’on pourrait peut-être essayer, que ça nous ferait du bien à tous les deux, car je n’avais pas baisé moi-même depuis plusieurs semaines. Vu son regard, il était très emballé par l’idée. Nous avons mis un pull sur le carreau de la porte et nous nous sommes mis dans un coin. Je me suis assise sur ses genoux, un peu comme une princesse, et tout m’est revenu – son odeur, sa peau un peu rude, la texture de ses cheveux, et le désir que j’avais eu pour lui par le passé.

La situation était terriblement excitante, inédite, interdite. C’était bon de sentir ses bras à nouveau après tout ce temps. L’idée de la reconnaissance qu’éprouverait cet homme seul quand il aurait joui m’excitait aussi beaucoup. J’ai collé ma bouche sur la sienne et son souffle m’a enivrée. Mes lèvres le cherchaient, voulaient le dévorer. Très vite, il a glissé une main entre mes jambes. Il y avait accès car j’étais de côté sur ses genoux. Je n’avais qu’à les écarter un peu pour laisser ses doigts explorer ma chatte pendant que je l’embrassais. 

Parloir sexe

Son autre main me serrait par la taille, et il déposait des baisers dans mon cou, sur mon décolleté. Ses doigts se faisaient plus pressants. Il m’a pénétrée avec pour me doigter bien profond et réveiller tout l’intérieur de mon vagin qui s’élargissait pour lui faire de la place et pour accueillir ses caresses. Son souffle s’est accéléré très vite, il a sorti ses doigts pleins de mouille de ma chatte pour les sucer en me regardant, avant de glisser sa langue dans ma bouche. Son désir était communicatif et je ne demandais pas mieux que de me faire sauter par ce braqueur sexy. Je me suis relevée prestement pour m’asseoir sur la table. Mon détenu a baissé son pantalon pour me montrer sa belle trique pointée vers moi. J’ai attrapé son membre chaud et dur dans ma main pour le branler, d’abord doucement, comme une caresse, puis en l’empoignant plus fermement. Mon amant me laissait faire en respirant fort et en caressant mes seins. D’un coup sec, il m’a plaquée sur la table. Je lui ai dit de me prendre, de ne pas se gêner !

J’en crevais d’envie car il avait été un merveilleux amant et le simple contact de son corps suffisait à me le faire désirer, car mon propre corps n’avait pas oublié. J’étais donc sur la table, les jambes écartées sous ma jupe et la chatte à l’air libre car ma culotte traînait par terreaprès avoir été arrachée. Il a fourré sa tête entre mes cuisses pour respirer mon sexe et le goûter. Puis il s’est relevé et m’a pénétrée, progressivement. Le plaisir irradiait tout mon bas ventre. Ma foune se réveillait par sa présence puissante et le beau volume de sa bite qui prenait toute la place, procurant un délicieux frottement qui venait enflammer ma minette. 

Comme j’étais allongée sur la table et qu’il me baisait en étant debout, il avait aussi accès à mon clito. Il attrapait une de mes hanches avec une main pour bien s’enfoncer en moi et, de l’autre, il astiquait mon petit bouton de plaisir. 

Je voyais sa grosse trogne et sa chevelure brune au-dessus de ses rides, son buste qui s’agitait, ses yeux fous de désir, le bas de son ventre poilu et soyeux, et sa bite qui disparaissait en moi pendant que deux de ses doigts branlaient mon clitoris. Dans cette position en angle droit, moi étendue et lui me dominant, sa bite s’enfonçait parfaitement en moi et tout mon corps bougeait sous ses coups de reins affirmés.

J’ai profité de cette position pour caresser moi-même mes tétons après avoir sorti ma poitrine de mon décolleté. Je me stimulais les pointes de seins en agitant doucement le bout de mes index dessus et cette vision semblait l’exciter énormément lui aussi. Il a accéléré sa pénétration dans mon sexe ravi. Toutes ces caresses n’ont pas tardé à me faire jouir et mon détenu a mis une main sur ma bouche pendant mon orgasme, ce qui ne faisait qu’accentuer mon plaisir. Lui aussi a joui dans les derniers coups de bite qu’il envoyait. Puis il s’est couché un peu sur moi sur la table pour m’embrasser et me dire merci. Je l’ai remercié en retour, car ça avait été très plaisant pour moi aussi !

Je compte bien lui rendre visite à nouveau, un de ces jours.

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