O mon bateau
11 octobre 2018Sur les eaux du fleuve, la belle Élodie s’ennuie. Lorsqu’elle aperçoit un jeune homme qui profite des rayons de soleil sur la berge, son sang ne fait qu’un tour. La coquine demoiselle l’invite à prendre les eaux dans tous les sens du terme !
Je m’ennuyais ferme. Toute ma famille était partie en randonnée près de l’Yonne, et moi je n’avais pas voulu les accompagner pour réviser mon permis de conduire. Je passe l’examen dans quelques mois et pas question que je me loupe ! J’ai trop envie de sortir m’éclater jusqu’à pas d’heure avec mes amies.
Bref, mes parents et mes frères ont été très compréhensifs et je me suis retrouvée seule à essayer de maîtriser tous les voyants du tableau de bord et les signalisations de la route. Un programme tellement passionnant que j’avais la concentration du même niveau qu’une mouche. Je suis sortie sur le pont pour m’aérer. Là, j’ai vu un beau jeune homme en marcel gris qui rangeait des canoës.
« Chic ! Enfin un peu de fun dans ces révisions » me suis-je dit en moi-même. Je l’ai hélé en lui disant que j’avais un problème avec ma tuyauterie. Je crois qu’il n’a pas bien compris ce que je lui ai dit mais il est quand même venu sur le bateau « En quoi puis-je vous aider ? ». Il avait une belle voix grave, et je suis tombée immédiatement sous le charme.
« Je ne sais pas, vous pourriez peut-être me tenir compagnie ? Je m’ennuie sur ce grand bateau et mes parents ne rentrent que dans une heure… ».
N’importe qui aurait compris ce que je lui demandais.
Il a eu l’air d’hésiter, se demandant certainement où était le piège (mais je ne suis pas une mauvaise personne, il n’y en avait donc pas), et il m’a accompagnée dans la partie « salon ». Là, je l’ai tout de suite mis à l’aise en l’embrassant. Honnêtement, je ne savais pas quoi faire, si je lui proposais un verre de soda mes parents s’en seraient rendus compte et j’aurais passé un sale quart d’heure, je ne voulais absolument pas qu’il y ait la moindre preuve contre moi.
Je lui ai demandé son prénom, dans un balbutiement très gêné : « Je m’appelle Josian ». Je trouvais ça très beau. Qui plus est, je le trouvais très beau. Je l’ai embrassé de plus belle et nous nous sommes couchés sur la banquette, son corps contre mon corps. Il sentait la sueur, l’effort et le soleil. J’ai léché son biceps, pour en recueillir le nectar.
Ça a pétillé dans ma bouche, et c’était un peu salé. Cet homme était une douce gourmandise que j’avais très envie de croquer. Il a doucement retiré mon petit haut rose et j’ai retenu mon souffle. Je n’aimais pas ma poitrine, même si mes seins sont relativement petits, je les trouve déjà bien tombants. Josian s’est empressé de les lécher de la pointe de la langue, un peu comme une cerise sur un gâteau. « Que tu es belle et bien faite ! », s’est-il exclamé entre deux lapements.
Cela peut vous sembler bizarre mais cela m’a fait beaucoup de bien, je me suis sentie beaucoup plus libre pour me lâcher. Je lui ai pris la main et l’ai posée sur ma culotte. Il a tiré l’élastique et a commencé à regarder ma chatte avec beaucoup d’attention.
Je m’étais un peu rasée la veille, heureusement, il n’y avait pas des poils partout. Si je ne suis pas une grande fan de mes seins, ma chatte par contre, je l’adore.
Je la trouve charnue à souhait, avec des lèvres qui remplissent leur boulot de lèvres, c’est-à-dire qu’elles contiennent tous les petits bouts de chair à l’intérieur.
Il a voulu me lécher un peu, mais je ne suis pas une grande fan du cunnilingus. Il a inséré un doigt, mais je lui ai très vite demandé d’arrêter. Moi ce que j’aime chez les hommes, c’est de pouvoir les prendre pleinement en bouche. Je me suis donc mise en tête de le masturber pour bien le faire bander.
Je l’ai d’abord déshabillé très lentement. Son sexe était au repos, attentif. Nous nous toisions tous les deux, comme si nous nous demandions lequel allait se jeter sur l’autre en premier. Évidemment, c’est moi qui ai fait le premier pas. Josian me regardait immobile, sans bouger. Je crois bien que je le pétrifiais. Son sexe restait incroyablement mou, alors que j’étais nue, totalement offerte, en face de lui.
La lumière du jour sur son corps le rendait absolument sublime, j’avais très envie de le toucher. J’ai branlé légèrement sa bite. Elle était fine, parfaitement épilée, un vrai objet aérodynamique dans mes mains, c’était très agréable. Je l’ai ensuite prise en bouche, en serrant bien fort à la base. À ce moment-là, j’ai senti toute sa tige se raidir. Je l’ai léchée avec beaucoup d’application et de sensualité. Je voulais qu’il me voit complètement dévouée à la tâche, entièrement à ce que je faisais. Il soupirait dans de gros bruits rauques et très sonores. J’aimais beaucoup. Je lui ai ensuite chatouillé le haut des fesses, de ma main de libre. Le petit coquin n’avait pas l’air déstabilisé et m’a laissée continuer tranquillement mon exploration.
Je suis ensuite remontée jusqu’à ses reins pour le presser un peu plus contre mon visage. « Tu suces beaucoup d’inconnus comme ça toi, sur ta banquette ? Combien de fesses d’hommes se sont assises ici avant moi ? ».
Ça m’a beaucoup fait rire et j’essayais tant bien que mal de rester concentrée sur ma fellation.
Bien sûr qu’il était le premier homme à qui je faisais ça, qu’est-ce qu’il croyait ? Que j’étais une vraie nympho ? Je voudrais bien le voir, lui, emprisonné pendant deux semaines avec ses parents dans une croisière sur l’Yonne.
On verra s’il n’en sort pas la queue en feu, avec le désir de sexe cognant contre ses testicules. Je lui ai expliqué qu’il était le premier à bénéficier de ce traitement de faveur et ça a eu l’air de le rassurer. Ah, les hommes ! Ils ont toujours besoin d’être rassurés sur leur virilité. Il m’a ensuite retournée sur le ventre. Le coton blanc contre ma peau était extrêmement agréable.
Il m’a donnée une petite tape sur les fesses, j’ai gémi.
Il voulait se la jouer dominant ? Pas de souci, j’en avais connu d’autre. Car oui, cher lecteur, je pense que vous l’avez deviné depuis le début, je ne suis pas une petite fille bien sage. J’ai déjà du coucher avec une vingtaine de garçons, ce qui n’est pas si mal que ça !
Josian a écarté mes deux miches et a glissé sa langue dans ma fente, comme pour la nettoyer. J’ai trouvé ça un peu dégoutant, en particulier parce que je n’étais pas sûre d’être bien propre. Il a eu l’air de trouver ça à son goût puisqu’il a continué avec beaucoup plus d’entrain. Ah les hommes ! Une croupe suffit à les rendre complètement dingues.
Il m’a ensuite, pénétré très lentement, ce que j’ai particulièrement apprécié. Je sentais son mastard dans mes tréfonds, c’était absolument délicieux.
Il s’est accroché à ma taille fine pour appuyer ses à-coups, de mon côté j’ai essayé de m’accrocher à ce que j’avais sous la main, à savoir des lattes de bois, avec un succès très aléatoire. J’ai fini par me rabattre sur l’oreiller et à le serrer du plus fort que je pouvais. Josian continuait toujours à me besogner comme si sa vie en dépendait. C’était très agréable. Je ne pouvais retenir mes cris de jouissance, et pourtant, je ne suis pas de nature exhibitionniste.
J’avais très peur qu’un passant, ou même pire, mes parents, nous surprenne en pleine action. Cela aurait été vraiment la honte, et des heures de négociations pour éviter toutes leurs punitions.
Oui, je suis majeure ! Mais mes parents se comportent encore avec moi comme si j’étais une gamine, ce qui a souvent le don de m’énerver.
Vivement que j’ai enfin ce permis pour pouvoir me barrer de chez eux. D’ailleurs Josian n’était-il pas en train de me faire réviser le code de la route ? Son levier de vitesses planté dans la boîte à gant, nous passions les plateaux à une allure incroyable.
« Attention à ne pas franchir la ligne blanche… » lui ai-je même soufflé à l’oreille. Il m’a regardée comme si j’étais une allumée, ça m’a fait éclater de rire.
« Si tu ne veux pas que j’éjacule trop vite, viens un peu sur moi. Tu pourras contrôler la cadence à ta guise. » Mon as du volant avait donc des idées en or ! Il s’est allongé sur la banquette et je suis venue m’empaler sur lui. J’étais tellement trempée que je n’ai eu aucun mal à me prendre sa bonne bite.
« Elle te plaît n’est-ce pas ? » m’a-t-il demandé alors que je m’activais sur lui. Bien sûr qu’elle me plaisait, je n’aurai pas une telle activité, un rythme aussi endiablé sinon. Il m’a caressée ensuite tendrement les cuisses. « Qu’est-ce que tu es douce.
Tu sais que tu vas me faire jouir ? Tu sais que vas me faire jouir ? ».
N’arrêtait-il pas de me crier dans les oreilles. Je lui ai dit qu’il n’avait pas besoin d’attendre mon autorisation pour se répandre en moi. Je n’ai pas eu besoin d’autres mots pour sentir son sexe gonfler, ses mots s’accélérer et son foutre se déverser dans mes entrailles.
Quand je me suis soulevée au-dessus de lui, des perles blanches coulaient de mon sexe sur son torse. Je suis venue les lécher avec la pointe de ma langue en le fixant bien dans les yeux.
Il hallucinait littéralement de ce qu’il venait de se passer, et moi j’avais pris un pied d’enfer. « Dis-moi, je ne t’ai pas demandé ton prénom, tu t’appelles comment ?»
« Élodie, ton coup de foudre le plus éphémère ! Mes parents rentrent dans quelques minutes à peine, tu veux bien te rhabiller et déguerpir le plus rapidement possible s’il te plaît ? ».
Mon petit ton autoritaire a eu l’air de l’amuser. Il ne m’a pas moins embrassé passionnément en sortant du bateau.
« Tu verras si tu n’es qu’un coup de foudre. » « Affaire à suivre ! » m’a-t-il dit en s’éloignant mystérieusement… l