Jet sexe

Je suis moniteur de jet-ski en Suisse. Un cousin à moi a monté son club (bateaux, jet-ski, entretien de vedettes…). Ça cartonne, les mecs sont blindés, on reçoit même des people et on a la belle vie, même si on ne compte pas nos heures.

On a pas mal de clientes pour le jet. La femme type, c’est la trentaine, blindée (ou maquée avec un mec qui l’est), bien gaulée parce qu’elle passe sa vie à la gym, habillée sport mais sexy. Et je me rappelle particulièrement de Nia, une cliente que j’ai eue il y a trois ans, elle était pile comme ça.

La nana : un avion de chasse. 1,65m, 95D naturel, brune à la peau mate avec les yeux verts. Et un gros caillou au doigt. On a parlé un peu, elle était là pour accompagner son mari en voyage d’affaire. Elle a booké une heure de jet avec moi aux commandes, et une deuxième d’initiation ensuite. Je voulais qu’elle kiffe, je la trouvais magnifique.

J’ai sorti le grand jeu. Je lui ai mis son gilet en faisant des blagues (elle portait un deux-pièces vraiment tout petit), on a rigolé, et ensuite, je l’ai emmenée au ponton. Au début, elle avait peur de monter sur l’engin, mais je lui ai pris la main et je l’ai guidée. Je la rassurais : « Tu peux te serrer contre moi, comme ça, tu ne risques rien ». Elle a serré ses bras très fort autour de moi. Mon cœur a fait un looping. J’ai démarré fort, pour qu’elle ressente des sensations et qu’elle s’accroche encore plus fort.

Lorsqu’elle a commencé à se relâcher et à rigoler derrière moi, j’ai tapé des grosses accélérations. On a fait ça pendant un moment, en mode adrénaline. Mais elle a voulu arrêter. J’ai cru qu’elle en avait marre, jusqu’au moment où elle m’a dit à l’oreille : « Tu sais, j’aime beaucoup quand ça vibre… » et elle m’a léché l’oreille.

J’ai bien imaginé ce qu’elle voulait, mais je ne pouvais pas la ramener au club. Je connais toute la zone, donc j’ai décidé de la conduire sur une petite plage cachée, en espérant qu’elle ne serait pas déjà prise (d’autres mecs y amènent parfois du monde). J’ai rallumé le moteur et on a tracé. Nia avait sa tête dans mon cou.

J’ai calé le jet sur la plage et on est descendus. Sous la selle, j’ai pris deux serviettes et on s’est séchés. Nia me regardait avec un petit sourire de coquine. Elle avait les yeux brillants. Je l’ai laissée s’approcher de moi et on s’est embrassés. Sa peau était chaude et elle gémissait quand j’enfonçais ma langue dans sa bouche. Quand on s’est arrêtés, elle m’a dit  : « Ça fait longtemps que je n’ai pas… Tu sais. Avec mon mari ». Elle avait l’air gênée, alors j’ai pris son visage dans mes mains et je l’ai embrassée encore.

J’ai mis les serviettes sur le sable et on s’est allongés. Quand j’ai ouvert le gilet de sauvetage de Nia, ses seins sont sortis d’un coup. J’ai seulement tiré un peu sur la ficelle de son haut de maillot et il s’est défait. Elle m’a dit avec un air faussement timide : « J’adore qu’on s’occupe de ma poitrine », alors j’ai plongé.

Nia s’est remise à gémir, ou plutôt, à crier. Elle démarrait au quart de tour, mieux qu’un jet ! Et elle en avait sous le capot. En même temps que je m’occupais d’elle, elle avait trouvé la route vers ma bite. Elle a commencé à me masturber en serrant et en tournant bien avec le poignet. J’ai eu envie d’une pipe mais je n’ai pas osé demander. Surtout, elle criait de plus en plus fort, je sentais qu’elle était morte de faim…

J’ai fait des mouvements de bassin pour me frotter contre sa chatte. Elle en a lâché ma queue pour profiter encore plus. Même à travers son bas de maillot, elle était très sensible du clito, dès que ma bite touchait, elle gueulait. En vrai, j’étais moins bruyant mais aussi chaud qu’elle. J’ai baissé sa culotte et elle a miaulé. J’ai mis les doigts entre ses lèvres… Elle était trempée ! À peine avais-je commencé à la caresser qu’elle a murmuré : « Baise-moi ». 

À votre service…

Je l’ai prise par la taille et j’ai regardé sous moi. Elle était épilée nickel, on aurait dit un abricot bien mûr. Envie de goûter, mais Nia était déjà en train de se tortiller. J’ai un peu galéré à trouver l’entrée tellement j’étais excité, limite je tremblais. Mais une fois dedans, le kif ! Nia m’a griffé le bas du dos en disant « Oh oui, vas-y ! », alors je suis rentré en entier. J’étais en appui sur les avant-bras pour pouvoir bien mater. Ses gros seins, sa petite chatte, ma queue qui rentrait et sortait… Elle, elle avait la bouche ouverte et elle respirait super fort. Elle a profité de la position pour se toucher en même temps. Ça l’a fait monter encore plus fort, j’ai été surpris mais je n’ai pas lâché le rythme. Elle a joui en faisant une tête… Ça devait faire des mois que son gars ne l’avait pas touchée !

Je me suis retiré et je l’ai regardée, ma queue à la main. Elle était essoufflée, les yeux à peine ouverts mais elle a quand même souri. J’avais carte blanche pour terminer. Je suis remonté à califourchon jusqu’à ses nibards et je me suis branlé. Ma queue était bien lubrifiée avec toute sa mouille… Nia a pressé ses nichons et elle a tiré la langue en me regardant. J’ai éjaculé en visant comme j’ai pu (les seins et la bouche) et j’avoue que je m’en suis bien sorti.

On a gardé contact et elle est même revenue deux fois au club. Je m’occupe d’elle pendant que son mari travaille. Il parle de venir s’installer en Suisse. Ça serait juste parfait.

(Image à la une : Getty Images)

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Un sauveteur très efficace

« Il m’a soulevée de toute sa puissance et m’a plaquée contre le mur. J’étais tellement mouillée qu’il est entré direct dans mon intimité. » Camille

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