Coup de chaud à la montagne

La rédaction 11 mai 2020

Dans notre histoire érotique du jour, Brian, 28 ans, de Chamonix nous raconte une de ses meilleures expériences de saisonnier lors d’un hiver au cors duquel une cousine éloignée de la famille dans laquelle il travaille débarque..

Depuis quelques années, je travaille chaque hiver en tant que cuisinier chez une grande famille bourgeoise qui possède un chalet à la montagne. C’est un couple de retraités qui se paie mes services à domicile pendant un mois environ et cela me permet de mettre du beurre dans les épinards alors que le reste de l’année, je fais des petits boulots saisonniers à la station de ski. Cet hiver-là, il y avait une jeune fille présente que je n’avais jamais vue et qui a tout de suite retenu mon attention. C’était Prune, une cousine éloignée de la famille qui n’était pas venue au chalet depuis un moment, raison pour laquelle je ne l’avais jamais croisée. Dès que je l’ai vue, elle m’a fait un effet incroyable. Petite brunette, seins généreux, taille agréable, peau lactée… Un délice de femme.

Les jours qui ont suivi notre rencontre, j’ai eu du mal à ne pas garder les yeux braqués sur elle, à m’attarder sur ses courbes… C’était un peu ma seule distraction ! Quand mon regard remontait le long de son corps et finissait par croiser le sien, c’était comme si elle me surprenait et elle avait un petit sourire malicieux en coin qui semblait dire : « Je t’ai vu ! » Je remarquais qu’elle ne se gênait pas non plus pour mater elle aussi mes bras fermes, moulés dans mon t-shirt, mon torse ou mon visage.
Nous avions l’air malin tous les deux à nous tourner autour… Un soir, après un repas qui s’était éternisé, je m’activais dans la cuisine pour ranger les plats et remplir le lave-vaisselle. C’est alors que Prune est entrée dans la pièce. Elle est venue discuter, prenant le prétexte de m’aider à ranger la vaisselle. Elle riait aux éclats à chacune de mes blagues, sa jeunesse et sa joie de vivre me séduisaient au moins autant que sa plastique. Elle a traîné avec moi et nous avons bu un petit digestif à la table de la cuisine sans nous lâcher des yeux. Les propriétaires sont venus nous souhaiter bonne nuit. Lorsqu’ils ont été couchés, Prune m’a pris par la main pour me faire monter dans sa chambre. Il y avait là un beau lit avec une tête de lit en bois. Nous nous sommes allongés l’un contre l’autre pour discuter et, pendant qu’elle parlait, j’ai risqué une main dans ses cheveux bruns. Elle a posé la sienne sur ma paume, sensuellement. Puis elle l’a portée à sa bouche pour l’embrasser et en sucer délicatement les doigts. Je bandais. Toujours sur le lit, elle s’est tortillée pour se déshabiller avant même de m’embrasser et je l’ai aidée jusqu’à ce qu’elle se retrouve tout à fait nue. Emerveillé, je parcourais ses formes, ses seins lourds, son cul et ses cuisses comblaient mes mains amoureuses.
Un piercing habillait joliment son nombril. J’ai embrassé toute cette chair qui s’offrait à moi avec fièvre. Elle m’a aidé à me dévêtir à mon tour et s’est placée sans tarder au-dessus de moi, me branlant en frottant sa chatte contre ma queue raidie, comme un animal glouton faisant des allées et venues sur une friandise. Sa mouille lubrifiait ma verge et je sentais ses petites lèvres palpiter contre ma peau. Je léchais avidement les pointes de ses seins lorsqu’elle se penchait sur moi. Ses lèvres se posaient de temps à autre sur les miennes. D’un coup de reins, elle m’a aspiré en elle et j’ai pu me délecter de la douceur étroite de son vagin. Sa cambrure se faisait de plus en plus accentuée, je pouvais la pénétrer très profondément et elle s’appuyait sur ses pieds, accroupie, pour rebondir sur ma bite que je regardais, fasciné, entrer et sortir de son intimité. Quand elle a été fatiguée, je l’ai retournée sur le lit pour la prendre en missionnaire. Elle était complètement abandonnée, cuisses écartées, bouche grande ouverte. Ses seins bondissaient à chacun de mes coups de queue. Elle se les caressait et agaçait ses pointes de tétons pendant que je la baisais.
Quelle beauté, et quelle chance j’avais de sauter cette petite bourgeoise adorable ! Elle repliait désormais les jambes de chaque côté de moi pour que je la défonce encore plus intensément, sa petite chatte tout à fait offerte.
Elle se cambrait de plaisir en arrière et j’ai même pu prendre quelques photos d’elle. Puis elle a saisi mon téléphone pour le jeter au pied du lit. Elle étouffait ses cris avec une main sur sa bouche pendant que je continuais de la pénétrer, ce qui avait le don de me rendre fou. Nous faisions attention à ne pas faire de bruit pour le reste de la maisonnée car je risquais de perdre mon job ! Mais le jeu en valait la chandelle. Mon amante léchait mes doigts tout en caressant ses seins lorsque sa bouche s’est tordue dans un orgasme silencieux et j’ai moi-même éjaculé tout mon foutre, ivre de l’image d’elle s’abandonnant à moi. Puis nous nous sommes roulés en boule, avant que je reparte en douce, à l’aube, vers mon gîte. Après cet épisode, Prune est souvent venue m’aider à la cuisine et, au cœur de l’hiver, nous nous sommes souvent réchauffés l’un l’autre.
A LIRE AUSSI
À propos de l’auteur

La rédaction


Réagir à cet article

Votre adresse de messagerie ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

interstron.ru