Infirmière nipponne au temps du COVID-19
3 juin 2020Frédéric nous livre une histoire trépidante dans un Japon en proie au coronavirus… et sa délicieuse rencontre Aïko, une infirmière japonaise attirée par l’exotisme du « gaijin ».
Bonjour ,
Je m’appelle Frédéric et je dois absolument vous raconter ce qui viens de m’arriver tant ce que je viens de vivre est incroyable à tous points de vue.
Je lis interstron.ru depuis bien longtemps et les témoignages m’ont toujours paru suspects mais quand, au détour d’un voyage, tout se met en branle (c’est le cas de le dire) pour vous faire vivre l’extraordinaire, vous vous dites qu’effectivement, tout peut arriver.
Je suis parti au Japon il y a un mois et demi pour mon travail, je bosse dans une grosse firme internationale automobile et je devais rencontrer plusieurs dirigeants nippons dans le cadre du lancement d’un nouveau modèle électrique sur le marché européen. Trente-cinq ans, célibataire, autant vous dire que je suis parti le cœur léger au pays du soleil levant et plein d’espoir de vivre des moments sympas avec de petites Japonaises. Vous savez, l’image d’Épinal de la geisha dans « l’Empire des sens » ou plus crument des clichés très hard de Nobuyoshi Araki montrant toute la palette des perversions des habitants de l’archipel et croyez-moi, elles sont nombreuses.
Ma première semaine s’est passée entre rendez-vous professionnels, repas d’affaire et les incontournables karaokés de fin de soirée avec les dirigeants, redevenus, pour l’occasion, des ados attardés braillant dans le micro en se prenant pour des super stars du rock ou du disco !
J’avais prévu d’enchaîner ensuite deux semaines de vacances histoire de profiter à fond de mon déplacement – faire quarante-huit heures d’avion aller-retour pour juste cinq réinterstron.ru et trois cuites au saké, merci bien.
Donc, ma tâche accomplie je me suis laissé porter par mes envies, visites, balades, un petit séjour à Kyoto pour Hanami (vous savez, les fameux « sakura », les cerisiers en fleurs) et plongée dans les nuits interlopes de la capitale. C’est fou ce qu’on peut trouver dans cette fourmilière humaine, des distributeurs de petites culottes en coton blanc portées par de soi-disant étudiantes en manque d’argent, un bar à lait où vous pouvez boire du lait maternel ! Au biberon ou … en tétant directement le sein volumineux d’une nourrisse aussi plantureuse que roborative ! Bref, le quartier chaud de Tokyo est à l’image de la ville, délirant, excessif et riche de mille tentations.
Et voilà qu’au milieu de ce paradis de sexe, de folie et liberté a fait irruption un compagnon de voyage aussi malfaisant que clandestin : notre ami SARS-CoV-2 plus connu sous le doux petit nom de Covid-19. Le monde entier parlait de cette pandémie sur le point d’emporter la planète dans sa fièvre ravageuse et voilà que j’étais rattrapé à mon tour par ce fléau alors que je m’éclatais au bout du monde !
J’ai d’abord ignoré les symptômes, un peu de fièvre, le goût et l’odorat qui montraient plus que des signes de faiblesse et puis il a fallu me rendre à l’évidence, un matin je n’ai pas pu décoller de mon lit, terrassé par des douleurs partout, une toux à m’en décrocher la plèvre. Je me suis donc résolu à appeler la conciergerie de l’hôtel et en moins de temps qu’il ne faut pour le dire j’avais vu un docteur, signé des papiers dont je ne comprenais pas toute la teneur et été transféré à l’hôpital métropolitain Matsuzawa de Tokyo !
Et voilà comment j’ai cru arriver en enfer alors que je me suis retrouvé au paradis, emporté par un tourbillon de sensualité et de sexe « made in Japan ».
Enfin, au départ je n’en menais pas large, je n’ai pu emporter que le strict nécessaire, mon téléphone, mon passeport et ma carte vitale internationale pour le reste je me faisais un peu l’impression d’être Carlos Ghosn arrêté et séquestré.
La première semaine j’ai été dans le quartier des pestiférés, un sanatorium pour Covid mais heureusement pour moi je n’ai subi qu’une faible attaque virale, j’ai donc échappé au respirateur, à la réanimation et tout le toutim. En revanche on m’a gardé une semaine et demie de plus en observation dans un autre service. Tout le monde parlant anglais j’ai pu demander (et obtenir) une chambre individuelle, j’ai même eu le droit à un bouquet de chaînes françaises sur la télé dont Canal plus.
Honnêtement, mis à part le manque de liberté et le pyjama réglementaire que je devais porter, je me croyais à l’hôtel. La nourriture était super bonne, le personnel soignant aux petits soins avec moi, tout le monde me demandait de parler de la France et de Paris. L’hospitalité japonaise, même en milieu hospitalier, n’est pas une légende.
Et voilà qu’un beau matin, il était sept heures, je zappe sur Canal et sur quoi je tombe ? Le porno du premier samedi du mois ! J’ai été le premier surpris d’une diffusion à cette heure mais évidemment cela était sans compter le décalage horaire, il était bien minuit en France.
Cela faisait une semaine et demie que j’étais enfermé dans cet hôpital, mes hormones étaient en ébullition, j’ai commencé à me caresser sous les draps puis j’ai carrément tout fait voler, j’ai enlevé mon bas de pyjama et j’ai commencé à me masturber tranquillement, en prenant tout mon temps.
Vous voyez, dans les hostos français, le fameux « Je toque deux petits coups, je n’attends pas la réponse et, hop ! J’entre à la volée ! » ? Et bien, ils ont le même au Japon.
« Toc, toc », une seconde, mon visage blême qui se tourne vers la porte qui s’ouvre, ma queue qui dépasse de dix bons centimètres de ma main et, même si le son n’est pas fort, la chambre est envahie par les meuglements de deux nanas en train de se gouiner tandis que deux mandrins leur perforent l’une la chatte, l’autre l’anus. Cerise sur le gâteau ? C’est UNE infirmière et non UN infirmier qui se présente à moi, je suis certain que cela va déclencher un scandale, j’imagine ma honte, peut-être même le licenciement pur et simple de ma boîte. On ne plaisante pas au Japon.
Mais la « nurse » entre sans dire un mot, elle a ses jolis yeux bridés rivés à mon sexe que j’ai cessé d’agiter, le drap et trop loin à mes pieds pour que je tente de le recouvrir de toute façon. Elle entre à petits pas, referme la porte derrière elle et fait tourner le loquet de sécurité. Nous voilà seuls, dans une intimité relative mais tout de même, je me détends et, sous le regard bridé de Aïko, je reprends même ma branlette.
Aïko s’approche, enlève son masque, elle est juste sublime. Tout ce dont rêve un européen comme moi, petite et bien proportionnée, elle affiche une poitrine prometteuse sous sa blouse immaculée. Elle a un visage d’ange, ses yeux plissés lui donnent un air coquin mais c’est surtout la façon dont elle bouffe ma bite des yeux qui me fait comprendre que visiblement c’est dans la poche.
« Can I touch it » (Puis-je la toucher) me demande-t-elle avec un petit accent fondant. Pour toute réponse je desserre l’étau de ma main et d’un signe paume vers le ciel, je l’invite à prendre le relais. Elle tourne la tête vers l’écran de la télé, les deux filles aux seins énormes sont en train de sucer deux énormes braquemards chacune. Sans quitter la scène des yeux elle pose sa main droite sur mon torse et descend à l’aveugle directement sur mon pieu. Je bande comme jamais, j’esquisse un mouvement pour toucher la belle à mon tour, elle lèche ma bite. Aurais-je commis un impair ? Non, elle veut juste se mettre à l’aise, elle arrache les boutons pression de sa blouse, elle porte un chemisier léger en dessous et une mini-jupe, très, très mini, on dirait une ceinture ! Elle enlève tout et m’apparait comme une héroïne de hentaï, en dessous blancs assortis, soutif, petite culotte en coton mais porte-jarretelles et bas blancs.
Je suis un « gaijin », un « non Japonais », et pour une Tokyoïte je suis tout ou rien, détestable étranger ou exotique friandise. Visiblement Aïko a choisi son camp et pour l’heure s’occupe de mon esquimau dressé en l’enserrant dans sa main frêle et en portant mon gland à sa petite bouche.
Je n’en crois pas mes yeux ! Être hospitalisé n’est déjà pas drôle mais l’être au bout du monde est encore pire cela dit dans ma galère j’avais une chance inouïe !
Aïko était douce et vorace à la fois, ses gestes étaient empreints de cette concision toute japonaise qui fait le charme de ces femmes orientales mais sa gourmandise n’avait d’égale que l’énergie qu’elle mettait à me sucer. Elle était vorace ! Sa salive coulait d’abondance sur mes bourses qu’elle caressait du bout des doigts, j’ai glissé une main sous le bonnet de son soutien-gorge. J’y ai trouvé des petits seins ornés de tétons foncés, très réactifs et pointant à mort. J’ai malaxé doucement la petite langue de chair et Aïko a commencé à émettre des couinements aigues comme j’avais entendu dans de nombreux pornos mettant en scène des Japonaises.
J’avais envie de découvrir son sexe, je me suis levé et j’ai soulevé le poids plume de ma belle infirmière cochonne pour la poser à son tour sur le lit. Ses grands yeux noirs étaient humides d’émotion, sa culotte d’excitation. J’ai enfoui mon visage dans le coton blanc imbibé. Elle sentait fort le sexe, je reconnaissais le parfum du sexe féminin mais les fragrances étaient différentes des européennes avec qui j’avais fait l’amour. Un parfum plus marqué peut-être, épicé et suave. Aïko continuait de couiner comme une petite souris, j’ai léché son sillon à travers le tissu, sa mouille était gluante et fournie, elle se tortillait dans tous les sens. Enfin j’ai fait rouler sa culotte d’écolière sur ses cuisses couleur bronze et j’ai découvert son secret. Quel bonheur que la première fois où l’on pose ses yeux sur un sexe inconnu. Sa fente était une ligne rose, ses petites lèvres étaient invisibles, le tout était niché dans un écrin de soies noires et lisses. Je n’avais jamais vu de poils pubiens qui ne fussent pas frisés, j’ai adoré admirer cette toison noir corbeau, les poils étaient tous alignés, cohortes soyeuses guidant le regard vers l’ouverture de la chatte plus bas. J’ai de nouveau approché mon visage et Aïko a pris une initiative qui m’a retourné les sangs. Elle s’est tournée et m’a présenté sa croupe dans une génuflexion qui m’offrait tout d’elle, de son con s’écartait de plus en plus à son anus rose, petit cône régulier et lisse.
Vous connaissez l’expression « lui bouffer le cul » … et bien je lui ai littéralement bouffé le cul ! Un vrai zombie comme dans World War Z, une envie irrépressible de m’imprégner de ses parfums, de son odeur, de percevoir toutes ses saveurs, d’imprimer son goût en moi. Je crois qu’elle a joui une première fois de ma langue, je n’en suis pas sûr, les expressions de jouissance sont propres à chaque femme et visiblement à chaque ethnie. Ce que je sais c’est qu’elle a enfoui sa tête dans l’oreiller pour étouffer ses cris suraigus et que son corps s’est mis à trembler assez violemment.
J’avais une érection de tous les diables, j’avais envie de prendre Aïko là, sur mon lit d’hôpital, elle a compris mon désir, elle le partageait. Désespoir ! Pas de capote à l’horizon ! Mais la belle infirmière avait plus d’un tour dans son sac. Sa venue était-elle préméditée ? Sa tenue de petite salope aussi ? Etais-je tombé dans un piège sensuel ? Toujours est-il qu’elle s’est levée et a ouvert un tiroir de son chariot de soins pour en extirper un chapelet de préservatifs aux couleurs flashy.
Elle a ouvert un sachet et en a fait glisser le contenu en pressant de ses doigts fins, elle a mis le caoutchouc entre ses lèvres et m’a enfilé la protection telle une pro du sexe. Elle en a profité pour sucer mon pieu encore un peu et j’ai dégrafé son soutif d’une main. Ses petits seins très fermes m’ont ébloui. Ils étaient pâles et très haut, leurs tétons bandaient dur, Aïko s’est de nouveau retournée et a pris appui sur le lit avec ses mains. J’ai dû fléchir sur mes jambes avec mon mètre quatre-vingt afin de présenter mon katana à l’entrée de sa grotte. J’ai poussé un peu puis me suis arrêté. Je m’étais trompé d’orifice, sûr. Je me suis penché en arrière, j’ai écarté les fesses de cette déesse nipponne et j’ai vu distinctement son petit trou épanoui au-dessus de mon gland déjà légèrement engagé dans son vagin. Je n’en revenais pas, alors ce qu’on disait sur les femmes asiatiques était vrai, son petit con était si serré que j’avais cru, un moment, l’enculer ! Elle a ondulé des hanches, me faisant comprendre son impatience à ce que je la pénètre. J’ai mis de côté ma valse-hésitation et je l’ai pénétrée centimètre par centimètre.
Ma queue était enserrée dans un véritable étau de chair moite et satinée. Sa fente m’a absorbé tout entier et elle a contracté son périnée. Nom de dieu quelle sensation !
Cette fille avait un une gaine contractile en guise de vagin ! Elle a absorbé, engloutie ma queue au plus profond de son sexe et s’est mise à me le pomper avec sa chatte ! Je n’en pouvais plus, mes yeux étaient rivés sur son petit cul souple et sur son anneau rose, j’ai laissé un filet de salive tomber lentement, les bulles translucides et lubrifiantes ont glissé le long de sa raie pour venir se loger au creux du petit puits. Lorsqu’elle a senti cette fraîcheur envahir son trou du cul, elle a encore écarté un peu plus ses petits globes, l’invite était claire. J’ai sucé mon pouce, aucun réflexe infantile, juste pour mieux lui glisser dans son anneau interdit.
Autre surprise Aïko était particulièrement souple niveau anal, après avoir joué avec mon pouce, je lui ai glissé deux puis trois doigts dans le cul.
Son petit corps bougeait en tous sens, sa peau ambrée contrastait avec le blanc immaculé des draps, ses petits seins s’agitaient au rythme de mes coups de boutoir. C’en était trop, j’ai joui en réfrénant un hurlement de plaisir et Aïko m’a suivi en lâchant des salves de mouilles sur le lit et sur mes cuisses.
J’était épuisé, j’avais chaud, Aïko s’est retournée sur les draps souillés, les cuisses ouvertes sur son sexe largement ouvert cette fois. Je n’ai pas résisté à lui offrir un nouveau cunni, elle s’est offerte à moi avant que de saisir mon pénis de nouveau galbé d’une belle érection et a dirigé mon fruit vers son petit tunnel souple.
Mais promis, nous vous écrirons à deux mains, rentré en France depuis peu il est déjà prévu que la belle Aïko me rejoigne à Paris pour d’autres aventures …
A LIRE AUSSI :
Le mouille pour les lavements
A l’hôpital avec mon infirmier