La surprise faite à mon homme pour ses 40 ans

Justine et Mélanie attendaient, impatientes, la venue de mon mari. J’avais sélectionné les deux demoiselles les plus jolies et les plus appétissantes de mon cours de salsa pour fêter l’anniversaire de l’homme de ma vie.

Et voilà qu’en parlant un peu avec elles, à la fin du cours je me suis rendu compte que j’avais aussi sélectionné les plus dépravées, les plus vilaines, les plus créatives, les plus libidineuses.

Qui aurait pu penser que derrière leur gueule d’ange se cachait en réalité de terribles petits démons ?

Elles m’ont raconté par le menu ce qu’elles faisaient de leurs amants ; les pires atrocités, les positions les plus ardues, les pratiques sexuelles les plus perverses. Alors quand je leur ai proposé le scénario d’une orgie de femmes pour mon mari, le tout filmé par un ami réalisateur, devinez comment elles ont réagi ? Oui, elles ont sauté de joie et se sont même embrassées, sur la bouche.

Des vraies petites allumeuses, vous dis-je ! Le jour J, elles se sont pointées chez moi dans des tenues très sages, de jolies petites robes bien comme il faut, les cheveux propres et lissés, le talon haut.

« Bonjour Monsieur ! » se sont-elles écriées poliment, en cœur, quand elles ont vu mon homme descendre dans le salon. C’était drôle de voir sa tête qui ne comprenait rien à la situation : ni comment ces deux créatures de rêve avaient atterri dans son salon, ni pourquoi un homme de la quarantaine avait posé son trépied devant nous.

Il s’est très vite adoucit, ayant capté que c’était ses quarante ans, et que bien évidemment, j’avais des envies coquines derrière la tête. Vingt années de mariage au compteur : il savait que mes surprises étaient légendaires.

J’ai tout de suite vu que ça matchait bien entre lui et Mélanie, la blonde aux jolies jambes fuselées dans de jolis bas noirs.

Le courant passait bien, elle se trémoussait à chacune de ses phrases et le regard de mon mari semblait comme hypnotisé. « Il te plait ? C’est à toi de le déshabiller, donc ! » ai-je ordonné à Mélanie qui a jeté quelques regards amusés à Justine avant de déboutonner avec une lenteur infinie la chemise bleue de mon mari. Je me suis positionnée derrière lui et je lui ai chuchoté à l’oreille « joyeux anniversaire ! »

Bien sûr qu’il a été ravi, pensez-vous ?

Trois belles nanas qui s’occupent de lui et qui le mettent à nu, qui aurait pu rêver mieux ? Justine, un peu impatiente, s’est quant à elle occupée de son jean. Elle l’a débraguetté, beaucoup plus vivement que Mélanie, et a laissé tomber son pantalon sur ses baskets. Le pauvre, s’il avait su ce que je lui réservais, il aurait certainement choisi une tenue de plus jolie confection. Elle s’est ruée sur son entrejambe la vilaine, a bien tâté le coton pour savoir s’il en avait une grosse.  Tu peux ma petite, bien sûr qu’il est bien membré mon homme, que crois-tu ?

C’est un quarantenaire en pleine forme, bien élevé, bien monté ! Justine a alors dévoilé sa grosse bite, qui bandait déjà bien dur, aux yeux de tout le monde. Je crois que même le cameraman est tombé à la renverse en découvrant l’engin de mon mari. Quant à la Justine, j’ai vu ses petits yeux bien fardés, bien maquillés se plisser de désir et d’envie. Elle rêvait de dévorer mon mari, son appétit féroce transpirait à grosses gouttes à travers tous les pores de sa peau.

Elle voulait se le faire, l’engloutir, l’avaler tout entier – gland, tige, couilles. Mais elle a dû partager avec Mélanie, qui elle aussi avait envie d’être celle qui lui prodiguerai de doux plaisirs. La répartition s’est opérée très simplement : un coup à droite, un coup à gauche.

Un essuie-glace avec deux bouches avides qui réclamaient avec une bave bien dégoulinante la bite de mon homme. De mon côté, j’avais entrepris de lui masser tendrement le torse, de l’embrasser dans les cheveux et dans le cou.

Je l’ai entendu murmurer à mon oreille « Je devrais avoir 40 ans tous les jours ! ».

Profite, mon vieux, profite. Cela n’arrive qu’une fois dans la vie, et la bandaison peut-être plus laborieuse avec l’âge…

Voyant que les deux petites se débrouillaient très bien et que mon homme poussait des gémissements terribles de plaisir et de satisfaction, j’ai décidé de les accompagner. Je me suis agenouillée, près des couilles, et j’ai donné de grands coups de langue sur sa peau fripée et tirée.

Un long « ooooooh » a accompagné nos gymnastiques buccales respectives. On s’y prenait comme des pro manifestement.

Nos langues se touchaient, s’effleuraient, à chaque passage sur la bite et les testicules, aussi nous avons terminé toutes les trois par un gros roulage de pelle en bonne et due forme. Leur petite langue qui avait un goût de sel et de sexe se mélangeait à ma bave et à ma salive. La situation était déjà très chaude, mais ce méli-mélo de langues me faisait littéralement décoller ! Je ne savais pas que je pouvais avoir des penchants pour les ­plaisirs saphiques, mais alors que nous nous embrassions, j’ai compris immédiatement que j’étais aussi attirée sensuellement par les femmes.

Elles m’offraient une douceur, une tendresse qui m’étaient alors inconnues. C’était si bon, si ouaté, si onctueux.

Dans un éclair de lucidité, j’ai remis tout le monde sur la bonne voie pour nous concentrer sur le personnage important. Mélanie s’est placée au-dessus de son entrejambe pour se faire empaler. Elle attendait que mon homme la démonte, mais pas sans que l’on ait bien préparé sa queue au préalable. C’est donc moi qui ai lubrifié l’engin, l’enfonçant au plus profond de ma bouche, près de ma gorge, pour que ma salive en recouvre le plus possible.

Justine dirigeait le membre autour et dans ma bouche tout en caressant les fesses de Mélanie de sa joue, pour la faire patienter. Enfin, elle l’a dirigée vers la chatte étroite de Mélanie. Je l’ai entendue pousser un soupir de ­soulagement, trop contente que son intimité soit enfin emplie par la bite de mon mâle.

Tout naturellement, Justine s’est replacée pour s’occuper des couilles de Monsieur, qu’elle a gobées l’une après l’autre, les faisant rouler dans sa bouche avec délicatesse.

Mélanie s’activait bien sur mon mari, propulsée par ses cuisses, je la voyais monter et descendre au-dessus de son corps avec la légèreté d’une ballerine. Quel talent !

Je suis sûre que les cours de salsa lui ont servi à développer une telle musculature et un tel sens de l’endurance. Justine semblait hypnotisée par le cul de sa copine qui se trémoussait à quelques centimètres de son visage.  Peu à peu, elle a élargi son champs d’action et fait remonter sa langue des couilles de mon mari à la rondelle de Mélanie, prenant bien soin de lustrer la tige tendue qui s’engouffrait régulièrement dans la chatte de sa copine.

Ce mélange de sexe mâle et femelle me faisait perdre la tête. À nouveau, j’ai senti que je pouvais me perdre dans les limbes des plaisirs saphiques, ces plaisirs nouveaux pour lesquels je me sentais encore pucelle. J’ai entendu au loin mon mari râler de plaisir. Pour le faire taire, Je me suis carrément assise sur son visage, chatte et anus bien écartés. Le pauvre s’est retrouvé à me lécher un peu contraint, tout en se faisant astiquer la bite par l’expertise des coups de reins de Mélanie. Seules les râles de jouissance féminine emplissaient maintenant l’espace.

Les deux filles jouaient une partition qui était parfaite tant dans le ryhthme que dans le plaisir. J’ai senti comme une pointe de jalousie face à ce tandem gracieux qui semblait combler mon homme. Alors j’ai bousculer le bel équilibre pour récupérer mon bien, le chibre tendu et bien lubrifié de mon mari. Justine s’est mise à lécher la petite fente de Mélanie puis à la doigter, avec une expertise qui nous a laissé moi et mon mari, bouche bée.

Même le ­réalisateur est venu faire quelques gros plans pour l’occasion, ravi de voir enfin deux femmes s’adonner à un plaisir mutuel qu’elles maîtrisaient parfaitement.

Béat, mon mari n’en est pas pour autant resté pétrifié. Il n’aimait pas laisser sa bite humide au frais, alors il est venu me prendre par derrière, en levrette, face au spectacle.

Que c’était bon de retrouver ses coups de reins ! Il me prenait avec l’aisance du ­quotidien, mais la fougue de la nouveauté, dans de grands mouvements qui m’ont contraint à poser un pied au-dessus de Justine. À me faire prendre juste au-dessus de son dos cambré. C’est alors que nous avons entendu le bruit caractéristique d’un orgasme provenant de la bouche de Mélanie.

Le spectacle était terminé, et celle-ci s’est échappée, rieuse, de l’emprise de son amie pour aller rouler une grosse pelle à mon mari, manifestement encore groggy de sa jouissance.

Sans réelle gène, elle a poussé mon mâle sur le canapé afin de lui présenter sa chatte, juste au-dessus de son visage « Justine m’a dit que t’étais un bon lécheur, je veux tester moi aussi ! »

À défaut d’une bonne queue, je retrouvais la langue de Justine. Notre regard complice trahissait notre envie mutuelle de poursuivre les festivités, nous nous sommes mises à lécher à deux, à nouveau, la bite turgescente. Cette fois-ci, c’est moi qui ai hérité du gland ! Je lui ai laissé le soin de s’occuper de la base et du pubis.

Et nous l’avons branlé dans nos deux gueules, dans un bel élan un peu anarchique (nous nous cognions parfois la tête), mais somme toute plutôt réussi !

Mon mari, tiraillé entre la chatte de Mélanie et nos langues avait du mal à contenir ses soupirs. Le réalisateur, toujours discret et pro depuis le début de notre orgie, s’est à nouveau approché pour chercher quelques gros plans. J’ai senti son objectif à quelques centimètres de mes lèvres et j’ai apprécié de me sentir matée, la bouche pleine du sexe de mon homme, le visage déformé par son membre collé sur ma joue

Ça me plaisait de jouer les actrices X, la coquine de femme qui laisse son homme dans les bras d’autres. Je n’avais pas vraiment l’occasion de me sentir si sexuelle dans mon quotidien alors, quand j’ai vraiment compris que sa caméra était braquée sur mon minois, j’en ai rajouté un peu. J’ai lancé des regards cochons et langoureux, j’ai balancé des « hmmpff » « hmmpff » très éloquents, j’ai accentué ma cambrure. J’ai même caressé l’avant-bras de Justine qui se laissait faire, ravie d’être également l’objet de mes attentions.

« Bon il ne me manque plus que Justine ! » s’est-écrié d’un coup mon mari qui avait manifestement envie de fourrer à nouveau sa bite quelque part, voire même de jouir. Justine est donc allée l’enjamber sans se faire prier.

Savez-vous ce qu’elle lui a répondu, la vilaine ? « Avec moi, c’est dans le cul, ou c’est rien ! »

Je vous laisse imaginer la tête de mon mari, mi-amusé, mi- interloqué par l’aplomb de la jeune femme. On a dû, à nouveau, bien le lubrifier de notre salive, et celui-ci s’est empalé aussi sec dans l’anus de la jolie brune, qui tenait bien écarté ses belles fesses rebondies. Et c’est reparti pour un nouveau rodéo ! D’abord c’est elle qui a tenu les rênes, elle montait et descendait comme une sauvage, avec la même aisance qu’au cours d’une partie de baise vaginale. Mais très vite, mon homme a voulu imposer son propre tempo.

Il l’a retournée sur le canapé et s’est mis à la pilonner comme un forcené. Dans de grands coups secs, comme si Justine s’était transformée en poupée de chiffon.

Je crois qu’il avait besoin de reprendre le contrôle, de redevenir le mâle viril de la situation. Mélanie s’est positionnée pour lui lécher les couilles, comme une petite dépravée, à même le sol. Elle se touchait un peu en même temps, ravie de voir sa copine se faire tringler comme une grosse coquine. Je voyais au sourire du réalisateur qu’il ne ratait pas une miette de la situation bandante à souhait, sa caméra était tantôt braquée sur les muscles saillants de mon homme, tantôt sur l’orifice écartelé de Justine qui se dandinait comme un poisson au bout d’un hameçon, en rigolant et soupirant de plaisir.

Je me suis dit qu’il n’y avait pas de raison pour que je ne participe pas aux festivités, moi aussi. J’ai présenté ma chatte à la bouche de Justine, juste au-dessus de sa tête et j’ai fait en sorte qu’elle lèche mes chairs, mon sexe, ma vulve, de sa petite langue. J’écartais bien grand mes grosses lèvres pour qu’elle lape chaque centimètre dédié à mon plaisir, pour qu’elle me fasse frissonner de son souffle et de ses lèvres.

Malgré les gros coups de mon mari dans son cul, elle restait fidèle au poste, en mettant beaucoup d’application à me lécher. C’est à ce moment-là que le réalisateur nous a dit « Attention, ça va être le final… »

Il s’est approché de l’anus de Justine, dont les sphincters ont été bien assouplis par l’exercice et s’est mis à filmer en gros plan mon homme qui déversait tout son foutre sur le pourtour de la jolie brune.

Conciliante, elle faisait en sorte que ses fesses restent bien dégagées pour que le sperme pénètre presque à l’intérieur de son conduit. Évidemment Mélanie a rapproché sa bouche très près pour attraper toutes les gouttes qui glissaient sur le corps de sa copine.

Pas question de gâcher ou d’en perdre un centilitre.

Comme si de rien était, Mélanie a ensuite lavé de sa langue la bite de mon homme. Gourmande, elle s’est peu à peu approchée du cul de Justine pour continuer son travail dans de grands coups de langue. Mon mari était médusé par la scène ! Il ne s’attendait pas à ce que deux petites démones à la gueule d’ange lui fassent tant d’honneurs.

Toujours très discret, le réalisateur n’a finalement pas pu résister. Il a également pris son pied en filmant avec minutie chaque détail en gros. Quelle aventure improbable. Les filles se sont embrassées à pleine bouche, ravie de l’expérience qu’elles venaient de vivre. Et tout d’un coup j’ai compris leur complicité, la tendresse qui les liait l’une à l’autre, la folie qui pétillait dans leur tête. Elles vivaient d’aventure, de sexe et d’eau fraîche.

Elles ont même demandé au réalisateur s’il était partant pour un second round ! Le pauvre s’est assis dans le canapé, extenué par toutes les émotions qui l’avaient traversé.

Elles étaient absolument infatigables…