Une queue prise en bouche

Paule 10 janvier 2024

Cécile, 37 ans s’ennuie dans son couple car son mari est nul au lit, elle décide de passer au plan B en sortant avec son amant Yvon

Cocu qu’au cul !

Je m’ennuyais dans mon couple, mon mari est adorable mais d’un ennui ! Et au lit, c’est pire !Voici mon histoire de sexe.

À même pas quarante ans, il fallait que je réagisse et trouve un plan B … j’ai trouvé un plan Q ! Incroyable, Yvon, mon amant, habite à deux rues, gynécologue à la retraite, il a toutes les qualités, célibataire, bien monté, bandant sur commande, cochon comme j’aime et un savoir-faire … irrésistible !

Le connaissant vaguement, je lui avais demandé un conseil médical et il m’avait invitée à passer, il n’exerçait plus mais son cabinet était toujours fonctionnel. Après qu’il m’ait examinée, je lui ai conté mes déboires conjugaux. Il m’a prise dans ses bras et sa main est descendue rapidement sur mes fesses, mes vêtements se sont volatilisés et je me suis retrouvée le cul à l’air et sa bonne bite au buisson fourni dans la main ! Ses doigts sont entrés en moi, doux, précis, liquoreux d’une mouille épaisse qu’exsudait mon con, c’était délicieux, incroyablement sensuel, surtout lorsqu’il s’est insinué dans la raie de mes fesses pour dénicher mon petit trou. Je fantasmais depuis longtemps sur la sodomie, j’avais essayé avec quelques objets, mais rien de concluant. Là, c’était totalement différent, Yvon avait la caresse onctueuse, naturelle, il dessinait des ronds de plus en plus appuyés sur les pourtours de mon anus et ce dernier frémissait, se contractait, répercutant un désir profond jusque dans mon vagin. Je me sentais couler de plus belle, lui récupérait ma liqueur et, lentement, entrait dans mon fondement qui s’ouvrait sans aucune gêne ni douleur. J’ai joui debout, là, dans son cabinet, mes jambes tremblantes comme si c’était mon premier orgasme !

Immortaliser l’instant avec des photos coquines

Une fois dans sa chambre, il m’a dit que j’étais trop belle pour ne pas immortaliser l’instant et m’a demandé l’autorisation de faire quelques photos. Pour toute réponse, je lui ai offert toute mon intimité, juste vêtue de mes bas blanc et de mon porte-jarretelles, j’ai joué les petites chattes, minaudant et m’amusant à serrer puis à écarter les cuisses. Il bandait de plus en plus dur, se caressant entre deux prises, il m’excitait à se branler juste du bout des doigts, cet homme était distingué jusque dans la nudité. Il m’a invitée à me toucher, jamais je ne m’étais masturbée devant mon mari, j’ai adoré l’exercice, il m’a même poussée dans mes retranchements et je me suis doigté le cul !

Je n’en pouvais plus, sa queue était un appel gourmand auquel je ne résisterais pas d’avantage, je me suis relevée et l’ai prise en bouche. Elle était brûlante et du sirop cristallin perlait à son bout, j’ai lapé, goûtant ce sel de vit, puis engouffré toute la hampe pour une pipe très profonde et langoureuse. Mes mains sur ses cuisses, j’ai laissé Yvon aller et venir entre mes lèvres, jusqu’à ce qu’il se décide à venir me rendre la pareille. Mon abricot était un peu broussailleux, il est allé chercher un rasoir jetable et de la mousse, il m’a redessiné un ticket de métro bien régulier, tout le reste de ma vulve était lisse et j’ai reçu le plus doux et le plus profond des cunnis de ma vie. Langues et doigts en symphonie, me pénétrant juste d’une phalange ou deux pour mieux aller tout au fond, bientôt j’ai été prise par les deux orifices, sa langue s’énervant dans un ballet frénétique sur mon clitoris. J’ai exulté pour la seconde fois, mon méat lâchant de véritables jets en cadence, Yvon s’est retrouvé trempé par mes effusions, un immense sourire barrant son beau visage. Il venait de faire de moi une femme fontaine.

Il a attiré mes fesses au bord du lit, et m’a demandé de lubrifier une dernière fois mon anus avec ma mouille, j’ai relevé les cuisses et j’ai respiré à fond, il m’a enculée avec une autorité douce, ma rondelle l’a accepté tout entier. Il a pris quelques clichés de son pieux dilatant mon sphincter puis a lâché son téléphone pour une sodomie farouche et jouissive. J’ai de nouveau pris mon pied alors qu’il massait mon bourgeon avec son pouce. À peine le temps de reprendre mes esprits, qu’il me demandait de me mettre à quatre pattes. Je me suis exécutée sans réfléchir pour recevoir sa belle bite dans la chatte, enfin. Il y a fait quelques va-et-vient puis je l’ai entendu grogner, il déversait dans mon vagin un torrent de foutre chaud qui, lorsqu’il s’est retiré, a coulé hors de moi. Yvon a même réussi à capter l’instant où la dernière goutte a quitté l’orée de mon sexe ! Depuis, nous nous voyons le plus souvent possible, il me prend systématiquement par les fesses et me fait squirter comme une folle !

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Paule


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