Le Room service

La rédaction 15 septembre 2024

Tony, 37 ans de Loire- Atlantique part en vacances avec sa femme très chaude. ils font la connaissance d’un groom sexy avec qui ils vont prendre du plaisir.

Un des plaisirs à dormir à l’hôtel, c’est évidemment le room service, quoi de mieux que de ne plus avoir à redescendre au restaurant après sa douche vespérale mais de faire monter son dîner en chambre !? Alors, quand le salarié qui vous apporte votre chariot est beau à tomber et que votre fiancée est aussi coquine que gourmande, vous comprenez vite le parti que vous pouvez tirer d’une telle situation et les histoires de sexe que vous pouvez partager.

Une compagne experte en fellation

Élodie, ma compagne depuis cinq ans est une affamée, tout y passe, les plaisirs de la table comme ceux de la chair, et la sienne est aussi douce qu’elle est faible. Impossible pour elle de résister à un beau mâle, d’autant plus que les voyages la surexcitent toujours. C’est donc entièrement nue qu’elle a ouvert la porte dès le second soir de notre séjour, Henry, le groom chanceux n’en est pas revenu, encore moins lorsqu’elle l’a traîné jusque dans la salle de bain je les attendais grimpé sur la baignoire, appareil photo en main. Elle s’est accroupie, a foutu le pauvre henry à moitié à poil, lui a chopé la queue et s’est mis à la branler comme elle aime le faire, des doigts en anneau sur la base de la tige, idem pour l’autre main qui encercle le gland et le frein et mouvements circulaires, c’est tout bonnement divin comme technique !

Elle n’oubliait pas de regarder dans ma direction de temps en temps et de fixer l’objectif pour que j’immortalise sa nouvelle prise et une fois qu’Henry a été bien dur, elle a commencé à le sucer. Élodie a ça dans le sang, elle a fait des turlutes très tôt dans sa vie sexuelle et son entraînement paie, elle a atteint l’excellence. Cela commence toujours par une longue branlette, l’homme qu’elle a alors entre les mains (moi compris), sent tout de suite qu’elle aime cela, qu’elle va prendre son temps, qu’elle va donner le meilleur d’elle-même pour le faire jouir à mort. Cette masturbation s’accompagne toujours de caresses sur tout le corps, elle vous rend fou avec ses sourdes griffures légères dispensées par ses ongles manucurés. Son sourire s’éclaire dès qu’elle voit sa proie bander de plus en plus fermement ou quand elle observe les soubresauts du chibre qu’elle astique. Alors, et seulement alors, elle vous prend entre ses lèvres douces, son palais exhale une douce chaleur que vous ressentez sur votre gland, ses mains ne quittent pas la base de votre tige, elle vous garde les gonades au creux de ses paumes, c’est tiède, c’est réconfortant, rassurant et excitant à la fois.

De ma position, je voyais le corps musclé, la tablette de chocolat du groom se contracter sous une peau entièrement glabre et le visage de ma douce qui commençait à donner des coups de langue sous la colonne de chair, sur le frein et sur le gland. Je prenais des photos de chaque étapes tout en entendant le salarié de l’hôtel gémir de plus en plus fort. Ma femme a mis fin au supplice et a ouvert la bouche pour accueillir le chibre tout entier jusqu’au fond de son gosier. L’autre a hoqueté sous le choc, normal, Élodie vous aspire la queue en variant la pression tout en haranguant votre frein, c’est un véritable supplice, divin certes, mais un supplice. Comment tenir ? Comment retenir son éjaculation ? Notre ami n’a pas pu, il a tout lâché au bout de quelques minutes de ce traitement, inondant Élodie d’un foutre épais, ma chérie n’en a pas laissé une goutte.

Autant vous dire que les jours qui ont suivi, le room service a été digne d’un palace, le jeune homme arrivait avec une bouteille de champagne, des mignardises trônaient sur le plateau, le coquin a même, vers la fin, osé se présenter bite bandante qui émergeait de la braguette de son pantalon. S’en suivait toujours le même rituel, ma douce se mettait à ses pieds et, entièrement nue, le suçait avec délectation jusqu’à obtenir son jus crémeux. Je me suis joint à eux, Élodie nous pipant de concert, jusqu’au dernier soir de notre séjour où elle s’est enfin donnée à notre groom préféré, entièrement. Ayant gagné en assurance et n’étant plus sous le coup de la surprise, il a, cette fois-ci, tenu la distance et a pu faire jouir ma femme par tous les orifices, il l’a laminée en levrette, lui claquant les fesses et lui insérant un pouce décidé dans l’anus avant que je ne lui autorise l’accès à son petit trou. La sodomie qui s’en est suivie a laissé ma douce dans un orage orgasmique total, la queue lui bourrait les entrailles tandis que je lui pinçais les seins, puis elle a eu le droit à une bonne faciale comme elle aime tandis que je l’enculais à mon tour, lui éclatant le petit anneau avant de remplir son rectum de mon sperme brûlant.

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