Mariage mixte

La rédaction 17 décembre 2024

Hasna, 35 ans de Limoges raconte son aventure avec l’amant de sa cousine lors de son mariage. Son amant la pénètre profondément et lui procure des orgasmes.

Au mois de juillet, ma cousine Karima s’est mariée et cette petite coquine m’a installée à la table des célibataires. Elle joue les saintes nitouches aujourd’hui, mais nous avons fait les quatre cents coups ensemble, exploits sexuels compris ! Pour l’occasion, j’étais seule et le mariage étant mixte, il y avait autant de Marocains que d’Européens. Je vous raconte tout dans cette histoire de sexe amateur. À mes côtés, un certain Richard, beau, gaulé comme une statue d’Apollon, un sourire carnassier et un rythme d’enfer dans les hanches quand il m’a entraînée sur la piste pour une danse orientale qui m’a donnée le tournis.

Une fellation pour l’amant de ma cousine

Lorsqu’il m’a proposé de me raccompagner chez moi, j’ai accepté sur le champ et Karima m’a lancé un clin d’œil lourd de sous-entendus. Une fois dans la voiture, j’ai questionné mon chevalier servant qui a été d’une honnêteté radicale. Oui, il avait baisé ma cousine et pas qu’un peu et pas uniquement seul ! Pas plus tard que l’avant-veille ! J’étais choquée et en même temps hyper troublée. J’ai vu qu’il bandait, je l’ai sucé pendant le reste du trajet en l’écoutant comparer ma façon de pomper à celle de Karima. Au lieu de m’énerver, cela m’a excitée et ma moule s’est liquéfiée lorsqu’il m’a dit qu’il avait des vidéos de leurs exploits.

Après quelques visionnages chez lui, je l’ai repris en bouche tout en me dessapant lentement, exhibant doucement mon cul, ma chatte, mes seins, jusqu’à me retrouver entièrement nue, sa queue bien logée au fond de ma gorge. J’étais partante pour plus bien sûr, mais j’ai posé une condition à la chose, qu’il fasse comme avec cette petite garce de Karima et qu’il nous filme et nous photographie pour que j’aie ma revanche ! Richard est devenu comme fou, il a dégainé son téléphone comme s’il s’agissait d’un colt et qu’il était le shérif d’une ville assiégée au temps du Far West !

Gâté par la nature, pour sûr, j’ai repris son chibre entre mes lèvres. J’avais du mal à l’enserrer tout entier dans ma main et le pomper m’a endolori la mâchoire. Une fois qu’il a été bien dur, je me suis laissé totalement faire, il avait aimé baiser ma cousine, il allait voir ce qu’était une véritable chaudasse ! Je me suis allongée, molle, souriante, offerte à l’extrême, et mes yeux lui ont signifié qu’il pouvait faire ce qu’il voulait de moi. Je n’ai pas eu le temps de dire « ouf » qu’il était sur moi, sa queue énorme se lançant à l’assaut, parfaitement à l’aveugle. Il a fallu que je le calme et que j’attrape son braquemart pour le guider vers ma fente.

Baisé par l’amant de ma cousine

À peine son gland engagé dans mon trou, il a poussé d’un coup sur ses reins et m’a pénétrée jusqu’au tréfonds de mon être. Le souffle coupé, mais éblouie par la sensation, j’ai écarté les cuisses au maximum de mes capacités afin de lui permettre de me baiser aussi violemment qu’il le désirait. Après m’avoir fait jouir deux fois en missionnaire et dispensé les mots les plus crus que j’ai entendu de ma vie, il m’a priée de me mettre en levrette. C’est, de loin, ma position préférée. Je me suis donc installée à quatre pattes, les reins cambrés, le sexe et la raie du cul entièrement libres.

J’ai poussé sur mes sphincters intimes et j’ai patienté, bien décidée à le recevoir partout quoi que fusse sa démarche première. Contrairement à mes attentes, il a repris la direction de mon vagin et c’est comme si ses coups de bites se multipliaient, j’avais l’impression que plusieurs pistons me défonçaient de concert. Le rythme était tout simplement dingue, la longueur de son chibre me remplissait et, lorsqu’il se retirait, laissait un grand vide avant de m’investir de nouveau, m’arrachant des cris de plaisir que je ne pouvais contenir.

Ce soir-là, il ne m’a pas enculée, mais je le sentais au bord, un doigt me travaillant l’anus comme un forcené, me mettant K.O. tant les orgasmes que cela me conférait étaient puissants. Il avait une manière de vriller ses phalanges dans mon petit trou tandis qu’il me pignolait la chatte, c’était tout à la fois doux, efficace, respectueux et vicieux à souhait. Que dire lorsqu’il a eu l’idée, en plus, de branler mon bourgeon entre son pouce et son index, j’ai cru défaillir.

Je n’en pouvais plus, je me suis écroulée, le corps entier prisonnier d’une indolence irrépressible. Richard a tout de même forcé l’entrée de mon anneau avec son gland, se masturbant mécaniquement en me traitant de tous les noms. Lorsqu’il a compris que cela m’excitait au plus haut point, j’ai senti les convulsions parcourir son sexe, il l’a extrait de mon puits rose et m’a littéralement aspergée de sperme. J’en ai reçu des fesses jusqu’au milieu du dos !

A lire aussi :

Tony monte Anna

La femme, le mari et l’amant

Bêtise avec le futur marié

À propos de l’auteur

La rédaction


Réagir à cet article

Votre adresse de messagerie ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

interstron.ru