Tony monte Anna
16 décembre 2024Anna déménage. Grâce à Tony, un déménageur bien membré, elle est être tout aussi chamboulée que son appartement lorsque Tony monte Anna.
Qui a dit que les déménagements étaient un sacerdoce ? Un obstacle insurmontable ? Oui, ce samedi avait été épuisant mais j’ai vécu une histoire de sexe amateur des plus réjouissante ! J’avais fait cent allers-retours pour tout superviser et j’avais bien cru voir que Tony, le chef de chantier, m’avait plus ou moins reluquée.
À l’occasion d’une des rares belles journées de cet été, je portais une petite robe très courte qui ne cachait pas grand-chose de mon intimité, surtout en sortant de ma petite voiture. Là, je n’ai plus eu de doutes, Tony avait attendu. Bien dans l’axe pour mater mon entrejambe lorsque j’étais descendue de voiture.
D’humeur coquine, j’ai décidé de jouer un peu et, au gré d’un nouveau voyage, j’ai ôté ma culotte. J’ai recommencé mon petit manège, mon voyeur toujours placé idéalement. J’ai même fait exprès de laisse tomber mes clefs. Histoire de devoir me pencher pour les récupérer et cela a fait s’ouvrir encore plus mes cuisses ! J’ai- senti l’air frais chatouiller mes nymphes.
Monter pour mieux démonter
Puis l’équipe a déposé le dernier carton et nous sommes restés seuls avec Tony.
« Alors ? » me suis-je enquis auprès de lui, « le spectacle vous a plu tout à l’heure ? »
Il est devenu cramoisi et a bredouillé quelque chose. Je me suis plaqué contre lui et je lui ai roulé une pelle tout en lui mettant la main au paquet.
Il bandait dur le beau déménageur. Une fois débarrassé de son marcel, de ses chaussures de sécurité et de son jean. J’ai pu admirer son corps sculpté. Son bassin fin faisait ressortir sa jolie queue recourbée vers le haut. Il m’a enlevé mes vêtements ne me laissant que mes bas noirs et mes escarpins rouges. Il trouvait que cela faisait divinement « salope ».
Je l’ai sucé dans le salon, entre les cartons et les rouleaux de plastique à bulle. Il sentait l’homme, la sueur et la testostérone. J’ai toujours adoré prendre mes amants en bouche. Il paraît que je suis douée ! Tony, les doigts dans mes cheveux, accompagnait mes mouvements de tête. Sans me guider, juste pour me signifier son plaisir et son assentiment. J’ai presque pensé qu’il allait me venir au fond du palais, mais il a su se maîtriser et m’a aidée à me relever. Nous nous sommes galochés interminablement. Ses mains ont pris possession de mes fesses et il m’a soulevée. Lorsqu’il m’a redescendue, j’ai enfoncé ma langue dans sa bouche et je me suis laissé pénétrer doucement.
Un travailleur bien monté
La forme particulière de sa bite a fait des miracles. Son gland venait appuyer pile sur mon point G. Il m’a plaquée contre un mur et m’a baisée debout, longtemps. C’était bon de se sentir ainsi en apesanteur, prise avec puissance.
Mais les efforts de la journée avaient été intenses et nous avons préféré continuer à l’horizontale.
Mon lit n’était évidemment pas fait. Nous nous sommes allongés directement sur le matelas un peu rugueux. Tony m’a léchée, très bien je dois dire, sans fioritures, comme un enfant lèche une glace. C’était désordonné, mais diablement efficace. Pas bégueule, il est allé fouiner entre mes fesses. Mon petit trou sensible s’est vu doucement forcé, mais Tony n’oubliait pas le principal et remontait régulièrement enrouler son appendice sur ma perle. Je n’ai pas été aussi discipliné que lui et je me suis laissé aller à un premier orgasme, des doigts plantés dans ma chatte et mon cul.
Des photos pour immortaliser
La levrette qui a suivi a donné toute liberté à cet amant robuste de me défoncer comme il l’entendait. Mes hanches bien en main, il m’a asséné des coups de boutoir qui m’arrachaient un cri de plaisir à chaque impact. Il a même réussi à nous photographier en pleine action ce petit cochon. J’adore quand les hommes sont vicieux.
Il m’a fait jouir trois fois avant de capituler. Il m’a demandé de venir sur lui à califourchon, il voulait regarder mes fesses dans le miroir de mon armoire. Je me suis fait un devoir de lui faire plaisir, écartant bien mes globes et allant jusqu’à me doigter l’anus. Ses yeux se sont écarquillés et il a dû ameuter tout le quartier lorsqu’il a éjaculé tout au fond de moi. Quel coffre !
On a pris une douche, j’ai préparé un petit frichti avec les moyens du bord et nous avons remis ça jusqu’au lendemain dimanche. Nous n’avons pas beaucoup dormi, mais je peux vous garantir qu’une fois le lit fait, ça a encore déménagé sous les draps !
Tony est depuis un amant régulier et je lui ai demandé, pour Noël, de me partager avec l’un de ses collègues, Amine, un grand kabyle aux yeux bleus beau comme un dieu. Il m’a promis ma première double pénétration.
(Source image à la une : Shutterstock)
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