Flemme hard !

La rédaction 8 janvier 2025

Anaïs, ma copine, avait envie depuis longtemps d’un trio. Finalement, elle a trouvé un couple dont la femme voulait, de son côté, contempler son petit ami en train de faire l’amour à une autre nana. Voici donc notre histoire de sexe amateur.

Triolisme et voyeurisme

Une fois dans la chambre, Dimitri s’est tout de suite montré très entreprenant avec Anaïs, la déshabillant du regard, puis passant à l’acte ! Ma compagne était bronzée intégral après un été complet sur des plages naturistes du midi, l’autre blanc-bec s’est régalé à promener ses mains sur tout son corps, tandis qu’il se laissait enlever chemise, pantalon et slip avant de se faire sucer ainsi, debout, sa queue prenant du volume au fur et à mesure des coups de langue et des aspirations. Sa bite, plutôt riquiqui au repos, a pris une sacrée taille une fois en érection puis le duo est venu s’allonger à côté de moi sur le lit.

Cela faisait déjà un moment que la femme de Dimitri avait sorti son appareil photo et qu’elle nous shootait, une main négligemment glissée sous sa jupe. De mon côté, j’avais beau regarder ma petite amie en train de pomper Dimitri puis se faire bouffer la chatte, rien à faire, je n’arrivais pas à entrer dans la danse, encore moins à bander. J’ai croisé les bras derrière la tête et je me suis contenté de mater. Il a fallu tout de même que je me pousse, ma belle offrant son cul en cuillère à notre invité. Il a tortillé son fessier contre ma hanche puis j’ai senti le mouvement de son bassin, accompagné d’un soupir d’aise d’Anaïs.

Voilà, il était en elle et les coups de boutoir ont commencé. Il y allait fort le bougre, tout le lit bougeait et j’étais presque bercé tandis que le pieu trapu continuait sa course folle, entrant et sortant de plus en plus vite, de plus en plus fort dans une chatte que je devinais aisément complètement inondée tant les bruits qui en émanaient étaient évocateurs. Le rythme a encore pris de l’ampleur, ma copine reluquait ce qui se passait entre ses cuisses et le spectacle a dû lui plaire, car quelques minutes de ce traitement plus tard, elle partait dans un orgasme aussi violent que sonore. Anaïs vocalise toujours beaucoup lorsqu’elle jouit. Là, soit elle en a rajouté pour flatter notre hôte, soit il l’a réellement fait grimper aux rideaux très, très fort !

Pénétration profonde et exhibition

Cela étant, aucun des deux protagonistes n’avait l’air rassasié. Dimitri s’est allongé sur le dos, suivant ainsi les consignes de ma douce. Cette dernière a repoussé ma jambe gauche qui la gênait, elle a alors consciencieusement attrapé la queue dressée, l’a branlée, caressée du bout des doigts avant de se l’enfiler jusqu’aux couilles, au plus profond de sa chatte gourmande. Après s’être assuré de l’équilibre de sa position, elle s’est penchée en arrière et s’est mise à onduler du bassin et du cul, rétroversant ses hanches pour faire sortir le phallus de son vagin et mieux l’y réintroduire juste après. Dimitri l’a enserré entre ses mains puissantes et a accompagné ses mouvements en se retirant du fourreau le plus possible puis en gainant ses abdominaux parfaits afin de la pénétrer jusqu’aux tréfonds de son antre.

Anaïs, jambes largement écartées, n’oubliait pas son rôle d’exhibitionniste pour notre photographe qui rôdait autour du lit. Visiblement sa masturbation touchait à sa fin, elle avait les joues en feu et l’odeur de sa mouille se mêlait, dans la pièce, à celle d’Anaïs. Je ne m’étais pas trompé, d’ailleurs elle a raté le second orgasme de ma nana, terrassée par le sien propre. J’ai même entraperçu sa chatte, un gros sillon rose pourpre qui déchirait une forêt de poils sombres et denses. Cette petite voyeuse, très jolie au demeurant, a même giclé sur notre tapis ! Plusieurs traits incolores et brillants allant imbiber la laine foncée alors que ses cuisses tremblaient et semblaient ne plus pouvoir la tenir debout. Mais elle s’est reprise tout en réajustant sa jupe et s’est de nouveau approchée de nous.

C’était au tour d’Anaïs d’être à plat dos, Dimitri la surplombait et la baisait lentement cette fois-ci, la large hampe ouvrait bien le con de ma copine, il l’extrayait parfois en totalité pour venir jouer avec son gland et agacer le clitoris devenu hyper sensible. À ce petit jeu, il n’a pas tenu longtemps, et j’ai vu, en vrai, la première éjaculation émise par une autre bite que la mienne. Un premier jet de quelques gouttes, puis la queue qui se gonfle, le prépuce ramené fort en arrière et le geyser de foutre qui s’envole et vient s’écraser très haut sur le torse d’Anaïs, ravie de voir qu’elle avait fait jouir aussi fort son amant d’un jour.

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