Triolisme avec notre tatoueur

La rédaction 2 septembre 2024

Un plan à trois torride, avec Paulo, le tatoueur, et deux copines qui avaient très envie de sexe !

Voici une histoire de sexe amateur avec Paulo qui ravira les lecteurs d’Union. Ce mec, je l’ai dans la peau, je l’ai connu en allant me faire marquer l’épiderme à coups d’aiguilles vibrantes, Paulo est tatoueur. Autant dire qu’il m’avait vu à poil bien avant qu’il ne me baise ! À part ma chatte, et encore, je crois qu’il avait déjà tout aperçu de mon anatomie comme de celle de Sandra, ma colocataire. De fil en aiguille (sic !), nous avons flirté. Des smacks sages, des caresses un peu plus poussées à chaque fois, lorsque j’ai tâté sa queue à travers son jean, j’ai failli m’évanouir. Il avait un machin énorme ! J’en ai évidemment parlé à Sandra qui affectionne particulièrement les hommes très bien membrés et il nous est venue l’idée en même temps de nous offrir à Paulo en un trio de sexe et de débauche.

Un trio sexuel endiablé

Le soir où il est passé, nous avons décidé de ne porter que nos tatouages pour l’accueillir, vu son sourire, il était ravi de notre initiative, nous l’avons soulagé de toutes ses fringues et l’avons mené dans notre chambre. Il a rapidement compris que nous n’étions pas « que » coloc, Sandra m’a roulé une pelle en lui tendant sa croupe, après tout, les préliminaires pouvaient bien attendre. Nous lui avons confié un petit appareil photo et lui avons demandé de nous immortaliser avec lui au lit. Notre hôte a accepté la tâche et, la bite déjà bandante, a pénétré ma copine jusqu’aux burnes. Son vérin était encore plus volumineux que nous le pensions, jamais je n’aurais cru la chatte de ma belle brune capable d’engouffrer un tel morceau. Heureusement, cette fieffée salope mouille à mort, une ambroisie épaisse et très lubrifiante qui a permis à la colonne de chair de s’enfiler sans accrocs. La suite a été digne d’un chantier, notre amant était d’une puissance phénoménale, il a pistonné Sandra sans relâche, une main sur sa chute de rein, jusqu’à ce qu’elle jouisse. Il ne s’attendait pas à cela, quand elle décolle, elle crie et se met à trembler de partout en lâchant de petits jets de cyprine très liquide, sa queue a pris une bonne douche !

L’énorme bite était à l’air, enduite des sucs de mon amoureuse, j’ai attrapé ce gros bambou et je l’ai sucé comme une affamée. J’ai malmené mes mâchoires tant le braquemart était imposant, je ne pouvais même pas en faire le tour avec une seule main, mais j’ai réussi a avalé le gland et une partie de la hampe avant de remettre l’épée au fourreau de Sandra. En cuillère, en missionnaire ou allongée sur le dos, les fesses bien écartées pour montrer son joli petit trou du cul, elle a pris des coups de reins au fond de la chatte pendant plus d’une demi-heure. Elle a décollé au moins trois fois sous les assauts répétés et en rythme de Paulo pendant que, de mon côté, je roulais une pelle à l’une, je malaxais les boules de l’autre ou essayait de laper le clitoris de ma nana lorsque celui-ci était accessible.

Je me fais prendre par Paulo

Enfin, ça a été mon tour ! J’avais faim de cette grosse bite, j’ai craché sur le gland et étalé ma salive, une rasade supplémentaire pour bien lubrifier ma chatte et je me suis écarté les nymphes afin de mener la belle fusée dans mon garage qui ne demandait qu’à être rempli le plus possible. Jamais je n’avais eu cette sensation de plénitude, la queue est entrée lentement dans mon vagin, ouvrant les chairs, se frayant un passage jusqu’à ce que la base de la hampe soit en contact avec mon anus et le pubis avec mon bourgeon.

Sandra n’est pas restée inactive et la petite garce m’a enfoncé deux doigts dans mon œillet serré, juste au-dessus de moi, elle a laissé un long filet d’écume tomber de sa bouche, j’ai entrebâillé les lèvres et j’ai reçu son offrande en même temps qu’un orgasme dévastateur s’emparait de tout mon corps.

Nous n’avons pas pu résister avec Sandra, la puissance de la queue de Paulo était un miracle, mais il nous fallait notre dose de douceur, nous nous sommes lovées en soixante-neuf pour nous bouffer la chatte tout en caressant les couilles et la pine de notre amant qui, visiblement, n’en demandait pas tant. Il nous a admirées dans nos œuvres, le regard capté par la danse de nos langues sur nos boutons de rose, l’orée de nos sexes et les pastilles fripées de nos anus. Il s’est branlé gentiment en attendant que nous jouissions, Sandra a décollé la première, je l’ai suivie quelques minutes plus tard, la bite de Paulo en bouche. C’est là qu’il a lâché son premier jet de foutre chaud, j’ai avalé la première gorgée puis j’ai secoué le grand manche. Sandra et moi avons reçu une pluie de sperme, les giclées partaient dans tous les sens pendant que notre tatoueur criait son bonheur.

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