Interview : Amourdusud, sur un air de clarinette…Ou de biniou
21 février 2025
Amourdusud : sur un air de clarinette… Ou de biniou pour les bretons !
L’expression était chère à Frédéric Dard. Mais pour Amourdusud (c’est son pseudo qui inclue aussi son mari), il est aussi des instruments dont elle joue les partitions en grande virtuose. Elle vit dans le Gers, travaille comme aide-soignante et elle le crie haut et fort : la fellation, c’est mon péché mignon. Et pour assouvir cette passion, elle et son mari fréquentent les milieux libertins. Elle a accepté de nous en dire un peu plus sur cette pratique qui lui procure de fortes sensations.
Et pourtant… La première fois, sa première fellation ne fut pas une grande réussite : « J’avais 18 ans. J’ai voulu essayer bien sûr avec mon petit copain de l’époque et j’ai trouvé ça dégoutant. J’ai pensé que ce n’était pas possible d’aimer une telle chose. »
Et puis, et puis… Au fil des partenaires, elle a fini par ne plus ressentir de dégout, par apprécier cette façon de donner du plaisir aux hommes et par devenir complètement « accro » à ces délicieuses petites gâteries : « Comme quoi… Aujourd’hui, j’adore sentir le désir monter chez mon partenaire quand je l’ai dans mes doigts et entre mes lèvres. Je prends tout mon temps, je varie les manières de le sucer et de le caresser. Je m’applique à lui donner le plus de plaisir possible et j’en éprouve beaucoup de mon côté. »
Le libertinage lui permet de vivre ses fantasmes de fellation avec plusieurs partenaires et elle avoue avoir un petit faible pour les hommes fortement membrés : « Et lorsque je vois mon ou mes amants jouir, c’est un moment très intense pour moi. J’adore les sentir éjaculer sur mes seins, sur mes fesses aussi. Il n’y a qu’avec mon mari que je vais jusqu’à la fellation complète avec jouissance dans ma bouche. »
La situation la plus excitante pour elle est de se retrouver dans une fameuse « boîte à trous (glory-hole) et de sucer des sexes anonymes sans voir la tête de leur propriétaire. Du coup, le couple se rend régulièrement à l’Histoire d’Ô, club de Narbonne, ou à l’Idéal Sauna à Agen, mais aussi au Cap d’Agde.
La situation la plus insolite ? Et un poil risquée aussi : « Avec mon mari, dans le confessionnal d’une petite église de campagne. Un pur régal… ».
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