Percuter…le cul !

La rédaction 1 juin 2025

Gregg, 44 ans, a subi un choc sur sa voiture à cause d’une femme qui l’a cogné. Il l’invite à prendre un café mais ne va pas que lui faire un constat !

Gregg nous fait part de son histoire de sexe amateur avec une belle conductrice avec qui il a eu un malentendu sur la route !

Lorsque la petite citadine m’est rentrée dans le cul, honnêtement, j’ai vu rouge ! Ma voiture était toute neuve, je n’avais pas encore fini de la payer et, surtout, elle était mon seul moyen de transport pour aller travailler.

Piètre conductrice, suceuse hors pair

Mais quand je suis sorti et que j’ai vu la conductrice qui m’avait heurté, mes nerfs sont retombés d’un coup ! Grande, brune, taille mannequin, elle avait un visage d’ange et des formes de déesse. La pauvre était en larmes et, détail qui ne m’a pas échappé, avait un sein quasi complet en dehors de son chemisier, le choc avait en partie dénudé la belle.

Je venais de sortir de mon parking, nous nous sommes donc garés et avons trouvé refuge chez moi pour boire un bon café et signer le constat. Comme vous le voyez, nous ne nous sommes pas fâchés, nous sommes restés courtois et calmes !

L’émotion avait tant submergé Annabelle, qu’à peine passé le seuil de la porte, elle se lovait dans mes bras et me roulait une pelle en me disant que j’étais « vraiment super gentil ». J’ai bandé dans l’instant et, évidemment, elle l’a senti.

Elle a remis à nu ses seins et est descendue le long de mes jambes pour baisser mon pantalon et mon slip. J’ai juste eu le temps d’attraper le portable qui était dans ma poche pour pouvoir prendre des photos. Ses pleurs étaient loin, la seule humidité que je sentais désormais était sa salive chaude et abondante.

Cette piètre conductrice se révélait être une suceuse de première ! Elle accueillait ma queue profondément dans sa gorge, lapait mon gland avec application, s’attachait à me caresser les cuisses et le scrotum du bout des doigts tout en n’omettant pas de me fixer du regard régulièrement.

Baise torride dans le lit

Je n’y tenais plus, je l’ai entraînée vers le lit de ma chambre et elle s’est étendue en écartant les jambes. Elle a relevé un de ses pieds et s’est libérée de sa culotte mauve au revers de dentelle noire. Sa chatte était sublime, épilée.

Son sillon humide ne laissait dépasser que le renflement du capuchon de son clitoris et la lisière de deux nymphes déjà luisantes. Je me suis penché sur ce fruit et je l’ai léché. Ma langue allait et venait à toute vitesse sur son bourgeon, Annabelle gémissait tout en me guidant, elle a réclamé mes doigts et j’ai glissé mon majeur dans son vagin.

Elle m’a encouragé à accélérer et à investir son petit trou, ce qui a été fait avec mon annulaire. Elle a joui, ce qui a contracté tout son corps, un orgasme court, mais visiblement puissant, puis elle m’a attiré entre ses bras et ma queue s’est fondue à l’intérieur de sa chatte.

Elle était serrée et accueillante, j’ai pris appui sur mes mains, nos regards se sont croisés et mes reins se sont mis en branle, de larges mouvements pour commencer, suivis d’oscillations moins amples, mais plus profondes.

Ses pupilles se sont dilatées, ses cuisses se sont ouvertes un peu plus encore et j’ai glissé une paume sous ses fesses fermes et trouvé l’étoile entre le pli peu marqué. Elle a écarquillé les yeux en faisant « oui » de la tête. À l’instant où mes doigts pénétraient son anus crémeux, elle a agonisé de nouveau. Un orgasme silencieux et magnifique, une véritable comminterstron.ru entre nos corps et nos âmes.

Percuter le cul pour un nouveau constat

Impossible de me retenir plus longtemps, je lui ai annoncé que j’allais éjaculer, elle a crié un « vas-y » qui a été libérateur pour moi, j’ai tout lâché au fond de sa conque et me suis retiré en hâte pour photographier son con nappé de ma liqueur. Nous nous sommes endormis l’un contre l’autre, lorsque je me suis éveillé, elle n’était plus là.

Je suis resté prostré jusque tard dans l’après-midi, cette fille avait quelque chose qui m’avait remué, mais, avec son seul prénom et sa culotte toujours dans le lit, la piste était maigre pour la retrouver.

À dix-neuf heures, mon interphone a sonné, c’était Annabelle. Elle avait changé de tenue, jupe en jean, top blanc et bleu, à peine je lui ouvrais la porte qu’elle me montrait ce qu’elle dissimulait en dessous … rien !

J’affichais un sourire béat. Elle m’a exhibé son sexe sans pudeur en même temps qu’un constat amiable vierge et assorti à ses vêtements.

« Monsieur, pour qu’il y ait constat, il faut qu’il y ait accident » m’a-t-elle lancé espiègle, « vous êtes donc obligé de me rentrer dedans à nouveau, mais pour que les dommages soient égaux, cette fois-ci, vous devez me percuter par le cul, comme moi ce matin ! » et elle s’est lovée en levrette, son joli fessier d’airain bien ouvert, sa rosette pâle exposée à mon regard fou.

Je l’ai sodomisée sur le champ et nous avons baisé toute la nuit. La semaine suivante, Annabelle emménageait chez moi, cela fait dix ans maintenant et nous ne sommes plus quittés depuis.

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