Deux kings sur le parking !

La rédaction 8 juin 2024

Laura, 27 ans, Lyon, aime jouer avec son mari et se fait baiser durant tout une escapade et a même eu le droit à une surprise. Un autre homme s’est invité pour se joindre à leurs ébats.

Avec l’arrivée des beaux jours, Boris a décidé que nous devions partir en escapade pour fêter nos trois ans d’amour fou. Je pensais, avec mon esprit fleur bleue, qu’il avait imaginé tout un programme pour une demande en mariage surprise. Je me suis alors préparée pour être parfaite pour ce jour si spécial. J’ai mis mon petit ensemble noir qui me faisait une poitrine d’enfer et ma culotte en dentelle, une chemise d’étudiante sage et une jupe très bucolique. Je me suis attaché les cheveux avec une barrette, et en me regardant dans le miroir avant de partir, j’avais l’impression d’être une parfaite petite femme bonne à marier. Pensez-vous vraiment que Boris souhaitait me demander ma main ? Il avait en réalité prévu de me prendre la minette, oui ! Dès les premiers kilomètres, il m’a dit qu’il avait prévu « la route du cul », c’est comme la route des vins, mais l’idée est de faire des stops coquins. Tu parles d’un programme chaste et romantique ! Nous avons attendu de nous éloigner suffisamment de l’agglomération de Lyon pour un premier arrêt. Il faisait beau, il s’est garé près d’un champ laissé en jachère et m’a donné un premier défi. « Je veux que tu retires ta culotte de petite coquine et que tu continues le trajet avec les fesses nues sous ta jupe. Ta peau ventousée au cuir de la bagnole ! » Je me suis donc exécutée, je suis sortie de la voiture, je me suis accroupie derrière pour que les voitures qui passent à toute vitesse ne me voient pas et j’ai soulevé ma jupe pour m’exhiber devant Boris. Il me regardait avec ses yeux bien écarquillés, observant avec attention mes moindres mouvements. J’ai retiré ma petite culotte, doucement, en la passant langoureusement sur mes cuisses et en me balançant sur les pieds. Voici mon histoire de sexe.

Trop excitée de baiser !

J’ai même caressé un peu ma vulve que j’ai senti bien humide. Suffisamment pour que j’y enfonce mon majeur, libérant alors les acclamations de Boris, impressionné par mon audace. Il était fort mon Boris, il savait qu’avec sa petite virée en voiture il allait redonner un vrai coup d’accélérateur à notre sexualité.

Nous avons roulé encore quelques heures, mais je ne me suis rendu compte de rien : Boris avait la main sous ma jupe et s’amusait à titiller mon clitoris tout dur. J’adorais ça et je n’avais maintenant plus qu’une obsession : qu’il me prenne avec sa queue. Le jour commençait à tomber et Boris est arrivé à sa destination : un parking désaffecté où il avait prévu de me faire passer « un sale, très sale, quart d’heure » selon ses termes. Rien qu’à l’idée des délicieuses tortures qu’il comptait m’infliger, j’ai presque eu un orgasme cérébral. J’étais tellement sur la braise que je n’ai pas laissé le temps à Boris de sortir son tapis de sol et lui ai dit « je veux que tu me prennes debout ».

Le soutif encore attaché, j’ai fait tomber ma jupe et mon chemisier en un clin d’œil. Mon Boris s’est débraguetté et, le jean encore entassé sur les chaussures, a fourré sa bite en moi. C’était tellement bon ! Je jaillissais de fluides de plaisir et j’ai moi-même commencé à m’empaler sur sa queue. C’était lui qui avait prévu cette escapade grivoise, mais c’est finalement moi qui le baisais. Boris m’a maintenu bien fort par les hanches et m’a alors donné quelques à-coups supplémentaires, plus durs, plus forts. Je ne pouvais m’empêcher d’hurler mon plaisir tellement c’était bon. Mais je dois reconnaître que la position n’était pas très confortable, très vite, il a fallu que nous changions de place. Il a alors étendu le tapis par terre et nous nous sommes jetés l’un sur l’autre, comme deux fauves mourant de faim.

Surprise, un autre homme

Boris a retiré mon soutien-gorge, seul rempart à ma nudité complète, et m’a baisée à même le sol. « Surprise chérie… j’ai invité un ami ! » Quoi ?! J’ai failli pousser un cri en découvrant, à quelques centimètres de moi un bel homme tout nu qui se caressait le pénis. Il devait nous mater depuis le début. Et cette situation m’a totalement excitée, nous en avions souvent parlé avec Boris, il savait que j’avais toujours rêvé qu’un autre homme nous mate… et m’éjacule dessus. Il m’a demandé à l’oreille si ça allait et j’ai acquiescé.

Il a alors fait un signe pour que l’inconnu s’approche et je me suis mise à le masturber, d’une main. Sa bite était belle, bien fine, bien luisante. Boris s’est alors lancé dans une grande tirade : « Alors, t’aimes ça baiser sur un parking avec ton homme et un autre mec. Ça t’excite de faire lever autant de bites ? » J’aimais son langage cru, presque ordurier. Et ça m’a fait jouir ! Je me suis mise à convulser d’un coup, emportée par un long et puissant orgasme. Boris m’a demandé de rester allongée sur le tapis et les deux hommes se sont mis à se masturber juste au-dessus de moi.J’ai adoré voir ces deux queues frétiller devant moi à une cadence folle. Ils ont éjaculé sur mes deux gros seins, en concert. Et j’étais la plus heureuse des femmes. En voyant mon sourire, Boris n’a pu s’empêcher de s’exclamer : « Toi, pour sûr, un jour, je vais t’épouser ! »

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