Ne loupez pas la journée mondiale de l’orgasme le 21 décembre !
19 décembre 2018Le 21 décembre marque le solstice d’hiver, soit la journée la plus courte de l’année. Ainsi nous auront plus de temps pour profiter de la nuit la plus longue et torride de l’année. Car ce sera la journée mondiale de l’orgasme !
Existe-t-il ?
Il n’y a pas un orgasme mais des orgasmes. Ils s’expriment différemment selon le sexe. Logique !
Sachez qu’il n’est pas non plus le même selon notre état physique et psychique.
La définition dit que l’orgasme est à la fois le point « culminant » et « le terme » de l’excitation sexuelle.
Avec un peu d’aide vous trouverez cette zone « gâchette », mais le tour n’est pas joué pour autant… car il faut apprendre à parler sa langue.
Est-ce bon pour la santé ?
Faire l’amour, c’est bon pour le moral. C’est même conseillé car le plaisir libère des endorphines (capacité analgésique et procurent une sensation de bien-être voire d’euphorie).
Insolite : le plaisir orgasmique aurait des effets positifs sur la santé cardio-vasculaire ! Ce que confirme la Fédération française de cardiologie qui précise que « l’accident cardiaque lors d’un rapport sexuel est rare. Le fait de renouer avec une vie sexuelle après un accident cardio-vasculaire participe au retour des patients à une vie normale. »
L’orgasme à coup sûr ?
On sait que l’orgasme n’est pas obligatoirement la conséquence d’une satisfaction sexuelle.
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Mais, l’absence d’orgasme est une particularité plutôt féminine : selon une étude, une femme sur quatre dans le monde souffre de troubles de l’orgasme (anorgasmie).
L’apprentissage du « lâcher prise » sera fondamental pour elles. En revanche, chez les hommes, l’orgasme serait plus simple à obtenir, selon les statistiques.
L’orgasme disparait-il en vieillissant ?
Physiologiquement, nous ne sommes pas fait pour connaître une « baisse du plaisir » avec l’âge. Cependant, l’excitation peut s’avérer un peu plus longue à venir et plus rapide à partir.
Les caresses préliminaires prennent une place plus importante dans la sexualité des séniors, qui gagne en sensualité ce qu’elle (peut) perdre en mobilité. Mais une chose est sûre : la communauté scientifique s’accorde à dire que la sexualité ne peut rester « vivace » que dans les couples habitués à une sexualité active, inventive et partagée.
(Image d’en tête : GettyImages)
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