Le pâtissier était bien monté
11 janvier 2019Le jour de mes 32 ans est resté bien inscrit dans ma mémoire. Et pour cause, un pâtissier plutôt bien monté est venu me rendre visite. S’il est venu les mains vides, il a su très vite comment les remplir…
C’était mon anniversaire aujourd’hui et je trouvais la matinée étrangement calme. Je savais que mes collègues de bureau (toutes des femmes, nous travaillons pour un magazine de mode) ne manqueraient pas de me préparer une surprise de taille… mais je ne savais pas à quoi m’attendre. L’année dernière, elles avaient demandé à mon petit copain d’organiser une chorégraphie à la pause café mais comme nous nous étions séparés depuis 2 mois, je me demandais bien ce qu’elles avaient pu trouver à la place.
Alors que je scrutais activement les messages internes de l’entreprise, à l’affut d’un mot qui aurait pu leur échapper, j’ai entendu quelqu’un frapper à la porte.
« J’ai un gâteau d’anniversaire à livrer pour quelqu’un, c’est ici ? » Les garces ! Elles savaient que j’étais au régime et elles me narguaient avec de la nourriture grasse et sucrée. J’ai quand même tourné la tête pour demander gentiment au pâtissier de retourner chez lui. Quelle n’a pas été ma surprise de découvrir un très beau jeune homme à demi-nu sous son tablier ! C’était lui le gâteau, pigé !
L’homme s’est approché de moi de façon nonchalante « Alors voilà, je dois m’excuser Madame… j’ai fait tomber le gâteau dans les escaliers ! J’en suis vraiment désolé, je peux être un sacré empoté parfois. Vous pensez qu’il existe un autre moyen de vous satisfaire ? » Son jeu d’acteur était vraiment médiocre mais ça m’a réellement amusée !
« Mmh, voyons voir… vous n’auriez pas d’autres sucreries sur vous par hasard ? Des boules de coco ? Une baguette viennoise… ? » J’ai accompagné ma répartie d’un geste très tendre de ma main sur son entrejambe. Mais c’est qu’il était plutôt bien membré ma parole, son sexe lui arrivait presque à mi-cuisse !
Je ne savais pas si c’était simplement un gogo danseur ou si je pouvais aller plus loin avec lui. J’ai décidé de poser mes fesses sur ma chaise afin d’attendre la classique lap dance mais mon pâtissier gourmand m’a relevée et m’a embrassée… sur la bouche ! J’ai été un peu décontenancée, non seulement parce que tout cela arrivait très vite, mais parce que je ne savais pas moi-même si j’en avais réellement envie.
Sa bouche s’est approchée de mon oreille pour me murmurer ces quelques mots : « Hélène, je ne suis pas pâtissier… » Sans blague ! Me dis-je « …je suis juste votre voisin, je travaille dans le bureau d’en face. Toutes les filles de la rédaction m’ont remarqué sauf vous ! Et pourtant, c’est vous qui m’attirez, c’est de vous que je veux connaître le goût, le parfum, l’intimité… » Mais quel Don Juan ! Il s’exprimait à merveille, et je dois bien avouer que son petit numéro ne me laissait pas indifférente… J’ai répondu à ses baisers et son sexe s’est dressé à une vitesse astronomique.
Flattée, j’ai arraché son tablier blanc et je me suis agenouillée à ses pieds. Ses bourses étaient magnifiques ; pleines, juteuses, lisses… c’était de vraies friandises ! Je me suis empressée de les mettre en bouche, essayant maladroitement de les gober toutes les deux à la fois. Trop grosses, elles roulaient sur les commissures de mes lèvres, m’arrachant des petits grognements rageurs au passage !
Je me comportais comme une vraie petite chienne, mais au final, je m’en foutais ! C’était mon anniversaire aujourd’hui et je comptais bien me lâcher complètement, dévoiler la « Hélène » sensuelle et sexuelle qui sommeillait au plus profond de moi, celle qui a trop longtemps été étouffée dans le cocon d’un couple pépère. Je n’ai jamais eu d’aventures depuis ma rupture avec mon ex, j’avais 2 mois de sexualité à rattraper !
Après les bourses, j’ai décidé de m’attaquer à son gland. Ma langue s’est mise à pointer pour le titiller un peu, je la tournais autour de son chapeau violacé, la faisait vaciller sur les côtés sans jamais le prendre réellement en bouche.
Il soufflait d’énormes rugissements rauques, certainement des encouragements pour que je mette fin à cette délicieuse torture et que je m’attèle pleinement à la tâche… Mais non ! J’ai continué, de la pointe de la langue, à laper quelques centimètres de peau, tirant un peu à la base de sa bite pour le décalotter de tout son long.
« Hélène, je vous en supplie… » s’est-il mis à gémir comme s’il demandait une friandise. Il était à point ! Dans un mouvement bien sec, je l’ai englouti entièrement, appuyant exagérément mes bruits de succions pour bien l’exciter ! Il a accompagné mon engloutissement titanesque d’un mouvement de bassin vers l’avant. Le moment n’a duré qu’une ou deux secondes à peine, mais la décharge électrique qui s’en est échappée a été puissante. La promesse d’une partie de baise mémorable… Elles savaient toujours me mettre de bonne humeur, les copines !
Ce pâtissier plutôt bien monté tombait vraiment à pic, le meilleur cadeau que l’on puisse m’offrir pour mes 32 ans.
Son braquemart m’était vraiment addictif : il fallait que j’y replonge encore et encore. Nous avions trouvé notre rythme tous les deux, et donnions des à-coups en parfaite harmonie.
Comme une danse de salon en quelque sorte, mais c’est moi qui menait le jeu ! J’essayais de m’enfoncer jusqu’à ses couilles, mais sa tige était de toute évidence trop grande pour moi. Pas vaincue pour autant, j’ai essayé de me lancer dans une très sérieuse gorge profonde.
J’avais pour cela ouvert bien grand la bouche – la technique du « poisson hors de l’eau » comme on l’avait baptisée avec les copines – et j’avalais l’air pour bien dilater le diaphragme.
De ma période de couple, je n’avais jamais réussi une telle prouesse sans recracher aussi sec le membre viril de l’homme et cette fois-ci, n’a pas dérogé à la règle. Je me suis empêtrée dans une quinte de toux frénétique (et ridicule !), de la bave plein les joues et le menton… Cela m’apprendra à essayer de copier les techniques d’actrices du porno. Ce n’est pas pour rien que ces films sont tournés avec des expertes, il faut des années pour maîtriser l’art de faire jouer de la saucisse de 5 cm de diamètre sur ses cordes vocales !
Mon bel inconnu m’a caressé la tête, comme pour saluer l’effort et la difficulté du défi dans lequel je m’étais lancé « Vous êtes merveilleuse… » m’a-t-il doucement murmuré alors que je crachotais les derniers bouts de glaires coincés au fond de ma bouche. Je m’étais déjà trouvée plus haut dans mon sex appeal mais j’ai apprécié qu’il m’encourage.
« Vous allez maintenant vous reposer, c’est à moi de prendre la relève. Je vais vous lécher comme personne ne vous a jamais léchée. Je vais y mettre tout mon cœur, toute ma dévotion, toute mon énergie. Je serai totalement centré sur votre plaisir, à l’écoute de la moindre de vos vibrations… » Mais quel beau parleur celui-là !
Elles n’auraient pas pu en choisir un moins loquace ? Je mouillais déjà toute mon eau, pas la peine d’en faire des caisses. Mon moulin à parole s’est abaissé, et tout en continuant à se tripoter la queue, est venu me laper la fente. Au moins, ça lui clouerait le bec pendant un petit moment…
Comme je l’avais fait un peu plus tôt, il s’est fait désirer en titillant mon clitoris du bout de la langue. C’était à la fois délicieux, et à la fois curieusement insupportable !
Ne tenant plus, je suis venue m’asseoir sur son visage sans plus de sommation ! « Mmmmmpppfff » s’est-il exclamé, surpris par ma prise d’initiative.
Il avait compris le message, il s’est mis à me lécher avec plus de ferveur, écartant de sa main libre mes délicates petites lèvres. J’avais l’impression qu’il me dévorait comme s’il n’avait pas goûté à une chatte depuis de longues années. Il y allait avec les dents, les lèvres, le nez, puis progressivement tout le visage. J’avais l’impression d’être une truie tétée par sa marmaille, assoiffée de lait maternel.
Je pense d’ailleurs qu’il n’a pas du être déçu du repas que je lui offrais, je mouillais vraiment abondamment… Je ne connaissais rien de ce jeune homme, et pourtant, je le devinais incroyablement seul.
Qu’est-ce qu’il l’avait poussé à reluquer toutes les femmes du bureau d’en face ? Et surtout d’en
choisir une, une unique, sur laquelle il projetait tous ses fantasmes ?
N’avait-il donc rencontré personne qui le fasse plus vibrer ?
Mon grand gaillard continuait frénétiquement de tirer sur sa queue au fur et à mesure qu’il léchait ma chatte. « Je ne tiens plus, Hélène, j’ai besoin d’entrer en vous, de sentir vos entrailles se refermer sur mon sexe, j’ai besoin de me plonger au plus profond de vous… » Je l’ai embrassé goulûment pour le faire taire. Qu’est-ce qu’il était fatiguant !
Je me suis doucement cambrée sur mon bureau, repoussant au passage les dossiers en cours. J’en avais un bien plus brûlant à traiter en urgence. Mon imposteur de pâtissier est venu m’embrocher avec une bite au summum de l’érection.
Il est entré d’un coup, je n’avais pas ressenti cela depuis de longues années.
J’avais trop longtemps connu un pénis qui rentre par petits à-coups, délicatement pour ne pas me déchirer en deux, mais ce n’était manifestement pas dans les habitudes de mon inconnu. Il a appuyé le haut de mon torse contre le bureau pour accentuer ma cambrure
« Offre-toi à moi ! Je veux te posséder toute entière ! Je veux que tu sentes mon sexe s’enfoncer tout au fond de toi. Je veux que tu saches qu’il m’appartient, et que par extension, c’est toi qui m’appartient à présent… » Ces mots m’excitaient bizarrement.
J’aimais cette sensation de me donner totalement à quelqu’un dont je ne connaissais rien, pas même le prénom. J’aurais peut-être dû le lui demander ?
Cela devait être terriblement vexant pour lui d’avoir appris le mien par cœur et de recevoir de l’indifférence en retour… Mais cela n’avait pas l’air de le déranger outre mesure. Le pâtissier avait l’air totalement à sa place, sa bite au chaud dans mon vagin, ses mains serrant ma taille pour mieux m’attirer contre lui. Il lui a pris de vouloir retirer ma veste pour mieux tripoter mes seins énormes.
À sa guise ! Nous nous sommes tortillés dans tous les sens pour réussir à enlever ce vêtement de mes bras, riant tous les deux à l’unisson.
Je n’aurai jamais imaginé me sentir aussi proche d’un inconnu aussi rapidement.
La position commençait à devenir douloureuse, le bureau me rentrait littéralement dans le ventre à intervalle régulier, j’ai alors basculé sur le dos et il est rentré en moi en tenant mes jambes bien haut au-dessus de ma tête. De cette façon, la queue me rentrait de manière beaucoup plus profondément.
Les sensations étaient décuplées et je ne pouvais m’empêcher d’hurler dans le bureau ! À coup sûr, les copines ne devaient pas en perdre une miette. D’ailleurs, en pensant à elles, elles devaient très certainement être bloquées contre la porte à écouter les moindres de nos mouvements. On était assez libérées niveau cul quand nous en parlions entre nous, mais je ne pense pas que l’une d’entre elles aurait osé venir nous rejoindre. Elles étaient bien trop « classiques » pour ça !
Les coups de bites de mon prince de la journée se faisait de plus en plus « bourrins », il appuyait fort sur mes cuisses pour que je les écarte au maximum. La position n’était pas hyper confortable, mais je dois avouer qu’elle m’excitait beaucoup. J’avais l’impression d’être un petit objet dévoué à son bon plaisir, et même si c’était moi la reine de la journée (32 ans, sic !). Ça y est, mon
pâtissier s’est carrément accroché aux
rebords du bureau et s’est mis en mode « marteau-piqueur ». La table tremblait sur le sol du bureau, impossible de faire croire à une photocopieuse un peu violente, les bruits de chocs étaient très explicites. Pour ne rien arranger à notre improbable discrétion, mon roi de la nougatine s’est mis à bramer (ou en tout cas, c’est de cette façon que je m’imagine le bruit du cerf). Des successions de gémissements virils et essoufflés. Super !
« Tu sens à quel point je te pénètre ? À quel point tu es mienne ? Est-ce que tu as vu mes couilles qui te tapent le cul ? » Mon pâtissier, toujours aussi prolixe, marquait un point ! En effet, je n’avais pas remarqué que ses merveilleux testicules titillaient la courbure de mon cul. Maintenant que j’avais pris conscience de la sensation, impossible de m’en débarrasser ! J’étais obsédée par leur balancement suave sur ma peau. Ils restaient collés quelques dixièmes de seconde contre moi, la moiteur de la texture aidant, et se décollaient lentement avant de revenir à moi. « Sens-tu ma main
dans ton dos ? » s’est empressé
d’ajouter mon inconnu. Non, je ne l’avais pas en tête, mais il faut bien avouer qu’elle me faisait beaucoup de bien. Située près de mon cou, il me massait doucement les vertèbres dans un geste ferme et langoureux. Comment connaissait-il autant de
secrets sur les femmes ?
« Sens-tu mon gland sur ton point G ? » En le disant, il a basculé son bassin vers le bas, faisant remonter sa queue contre ma paroi. C’était vraiment délicieux, mais je ne voulais pas me laisser aller à une jouissance face à quelqu’un que je ne connaissais pas. Je l’ai poussé loin de moi, comme si la sensation était trop forte. Il a fait semblant de s’écrouler brutalement sur le sol, dans un rire assez communicateur.
Cet homme était vraiment étonnant ! Nu, le braquemart au garde à vous, allongé sur le sol, impossible de lui résister ! Je suis venue m’empaler sur lui, comme une bonne cavalière. Je tenais mes fesses bien écartées pour lui faire profiter du paysage. Je savais que les mecs aimaient particulièrement reluquer les petits trous du cul. Mon pâtissier, manifestement amoureux de belles miches, en a profité avec une joie non dissimulée pour me tâter la croupe.
« Je vais jouir, Hélène. Cela fait de longues minutes que je me retiens comme je peux, mais vous êtes beaucoup trop excitante pour que je puisse me retenir plus longtemps. Puis-je venir dans votre mignonne bouche ? »
Ma « mignonne » bouche ? Je suçais pourtant comme la pire des dépravées ! Je l’ai englouti tendrement mais fermement, quelques coups ont suffi pour que mon beau « cadeau » du jour m’explose en bouche. J’ai laissé couler la semence sur mes joues et sur mon menton, pour le flatter quelques minutes.
« Merci pour ce moment » m’a-t-il murmuré en me nettoyant le visage « Dois-je attendre l’année prochaine pour avoir l’honneur de vous revoir ? » s’est-il tout de suite inquiété !
C’est que je lui avais fait mon petit effet, à ce charmant jeune homme.
Je l’ai regardé avec détachement, et me suis approché tout près de son oreille « Rendez-vous la semaine prochaine, mais cette fois-ci, tâchez de ne pas renverser le gâteau dans l’escalier ».
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JimyRyan
J’aurais bien voulu la pénétrer analement pour doubler son plaisir .Car elle très belle et moi j’adore la sodomie avec les femmes. Je trouve le cul d’une femme est aussi délicieux que son vagin.