La nature a horreur du vide

La rédaction 5 décembre 2024

Julie, 28 ans de Limoges aime faire l’amour en pleine nature avec son compagnon Xavier. Elle raconte sa dernière escapade en pleine nature.

Avec Xavier, nous aimons l’amour en plein air. L’été, c’est sur les plages naturistes du Sud que nous trouvons notre bonheur, près de Montpellier. L’hiver, la montagne connaît quelques spots réservés aux adeptes de l’exhibition où nous avons nos habitudes. Et le reste de l’année, nous nous accordons quelques week-end tous les deux en amoureux, où nous sortons la belle voiture, celle qui est décapotable, et où nous nous arrêtons sur les petites routes qui longent l’A20, l’autoroute qui passe par Limoges, la plus grande ville près de chez nous. Je dis que nous aimons l’exhibition mais je devrais être plus précise sur ce que j’apprécie réellement : baiser en pleine nature. J’aime tout, le vent qui caresse mes seins, la flore rebelle qui oblige mon chéri à redoubler de précaution pour que je me sente à mon aise, la liberté infinie que je ressens à ne pas être cloisonnée par les quatre murs d’une chambre à coucher. Voici notre histoire de sexe amateur, récit de notre dernière escapade en pleine nature.

Exhibition en pleine nature

C’était il y a quelques mois, on sortait de la torpeur de l’été et le rythme éreintant de la rentrée nous épuisait. Une escapade près de l’autoroute s’imposait alors ! Xavier avait coupé le moteur et m’avait portée jusqu’à un champ en friche, vide d’hommes et de chemins de traverse. Les herbes étaient hautes, et le soleil n’avait pas encore disparu, si bien que le sol était encore doux et chaud. Je me suis agenouillée, docile, aussi tendre et conciliante qu’une poupée. Sans grande surprise, il a commencé par exhiber mes deux gros seins. C’est la partie de mon corps qu’il préfère, je le sais. Xavier a toujours été un amateur de nichons plus qu’un amateur de cul. Et c’est peut-être en partie pour ça qu’il m’a épousée ! Il sait que j’ai les deux plus jolis melons de la région. Il a d’abord tété l’un, puis l’autre, avec beaucoup d’appétit.

Pendant qu’il se goinfrait de ma poitrine, je fermais les yeux et me concentrais sur les bruits de la nature. C’était doux, au loin on entendait très légèrement le ronronnement de l’autoroute, cela me faisait l’effet d’une berceuse. Nous en étions assez éloignés pour éviter d’être surpris par des routiers imprudents et en même temps, cette possibilité m’excitait. Je me sentais parfaitement apaisée, calme, en harmonie avec les éléments et je me laissais dévorer comme un délicieux fruit défendu. De son côté, je sentais mon Xavier s’exciter de plus en plus, ses gestes se faisaient saccadés, sa respiration devenait rauque. Avec de la maladresse et de l’empressement, il s’est mis debout, a baissé son jean et m’a dit d’un ton autoritaire : « Je veux que tu me suces. » Je me suis exécutée avec beaucoup d’entrain. J’ai toujours aimé le sucer, je trouve sa queue très belle, épaisse, dure et glabre. Une vraie bite d’acteur porno.

Fellation et baise en plein air

Ma fellation était absolue : je lui léchais d’abord le pourtour du gland puis je m’avançais jusqu’aux couilles en faisant de grands bruits de bouche. Xavier caressait tendrement mes longs cheveux en même temps pour m’encourager. Et cela me donnait envie de me surpasser. Ma main est remontée près de ses bourses et je les ai malaxées fermement, comme des petites billes anti-stress. Je les sentais bien pleines, tendues, prêtes à répandre leur jus. Comme les munitions d’une mitraillette chargée à bloc. Plus je le touchais, plus je sentais que mon intimité s’offrait. Mon vagin se détendait et un peu de liquide coulait doucement le long de ma cuisse. Xavier s’en est aperçu et m’a touché l’entrejambe. C’était le signal, il allait me pénétrer. J’ai conservé mon haut, je ne voulais pas être entièrement nue.

L’endroit que nous avions choisi pouvait receler des insectes et je déteste sentir des petits fourmillements sur ma peau sans que je n’en connaisse l’origine. Xavier m’a ensuite baisé longuement, à même le sol. La position n’était pas facile à tenir, aussi il s’y est pris à plusieurs fois pour trouver l’angle qui lui plaisait et la position la plus confortable pour lui. J’aimais les tâtonnements spontanés que permettent l’amour en pleine nature ! Finalement Xavier a joui en moi dans un grand râle et j’ai aimé sentir son sperme recouvrir mon intimité. Pour ma part, je n’ai pas eu d’orgasme mais beaucoup de plaisir. Xavier m’a demandé de conserver son sperme en moi pour le trajet retour. Nous sommes restés silencieux dans la voiture, plongés encore dans les souvenirs de ce qui venait de se passer. Et j’étais heureuse de pouvoir ajouter ce moment à notre jolie collection de souvenirs coquins !

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