Des jeux interdits

Nanou Redacteur 25 janvier 2022

Loïc fantasme sur la copine de son demi-frère. Lorsque celui-ci les laisse seuls le temps d’une course, le fantasme devient réalité !

J’ai toujours eu un rapport un peu particulier à l’interdit. Quand j’ai pas le droit, j’ai envie, évidemment. C’est le cas avec les bonbons, les choses grasses, la cigarette… et bien sûr le sexe. A 27 ans, je suis déjà un homme assez tourné vers ses propres désirs et qui adore y céder sans trop se soucier des conséquences. Ou du moins sans vraiment les prendre en considération quand son plaisir est dans la balance.

Tout détruire pour la jouissance, je me dis que j’ai encore l’âge pour le faire et que ce sera peut-être plus difficile à assumer dans le futur. C’est donc bien naturellement qu’une situation de ce type s’est présentée à moi, car je semble les attirer comme un aimant. Là, ça s’est présenté sous les traits de Lina, qui était la nouvelle compagne de mon demi-frère. Elle a le corps mince et bronzé, une mine radieuse. Elle a à peu près mon âge et elle me fait craquer.

Bien sûr, je n’ai strictement rien tenté, si ce n’est quelques regards chargés de sous-entendus dont je lui laissais le loisir de les interpréter. Elle les soutenait, mais n’y répondait pas plus que ça. Et moi, je la laissais habiter mes fantasmes, m’imaginant la prendre en levrette derrière une porte tandis que mon demi-frère serait parti faire les courses.

La situation rêvée

En fait de cette situation, une configuration inattendue s’est frayé un chemin pour tenter le diable. Mon demi-frère et Lina m’avaient invité dans une maison de famille au cœur d’un paysage automnale magnifique, au bord d’un lac. Lina portait des pulls moulants en laine qui mettaient sa poitrine en valeur, encore mieux qu’un décolleté. Mon demi-frère est sorti pour aller acheter du vin et nous a demandé d’aller chez le boucher de notre côté. Sauf qu’il est parti avec les clés de ma voiture ! Nous étions bloqués tous les deux à la maison…

Lina est allée dans sa chambre. Quelque temps plus tard, j’ai entendu des bruits étranges émanant de cette pièce. Je suis allé frapper discrètement, pas tout à fait certain de ce que j’allais y découvrir.

La chambre des secrets

Entre !” Elle était nue sur le dessus de lit blanc immaculé, la chatte bien écartée, ses petites lèvres belles et épanouies dépassant légèrement de son sexe. Une légère toison noire courant sur son mont de vénus.

Et, entre ses lèvres, sa main gracieuse avec laquelle elle maniait un petit sextoy dans sa chatte. Entre ses genoux ouverts, son visage transformé par le plaisir, sublime. Son corps nu, ses marques de bronzage qui restaient encore de l’été dernier, s’offraient comme un mirage…

Elle m’a accroché avec son regard comme si je n’étais qu’un vulgaire poisson, bouche béante, gigotant au bout de son impitoyable canne à pêche. “Tu veux regarder ?

Hypnotisé, je me suis avancé, fermant la porte derrière moi comme si cela rendait la chose plus discrète ou plus acceptable. Son buste fin épousait parfaitement l’épaisseur moelleuse de l’édredon blanc. Ses bouts de seins étaient deux petits joyaux dressés par le plaisir et sa main était active entre ses cuisses. Une déesse se donnant du plaisir, devant laquelle j’avais envie de me prosterner.

Je devrais pas être là…” ai-je dit tout en me rapprochant du lit. Elle a attrapé ma main de sa main libre. “Allons, ose me dire que tu n’as pas envie d’être là, à me mater, voire à me toucher. T’es aussi pervers que moi, je vois clair dans tes yeux.

Petits plaisirs de voyeurs

Sur ce coup-là, elle n’avait pas tort. Je me suis dit que si je me branlais seulement, ce ne serait pas trop grave. Debout contre le lit, j’ai sorti ma queue pour me caresser devant ce magnifique spectacle de son corps en effusion charnelle.

Ce corps était un autel dressé en hommage au dieu de l’Amour. Je me suis branlé et le désir m’a fondu dessus telle la foudre qui s’abattait sur ma bite. “Déshabille-toi, ce sera plus égalitaire”, a dit Lina. Je me suis mis à poil tout en continuant à me branler debout à côté du lit. C’était un peu absurde, comme si j’étais à un numéro de peep-show. Sauf qu’au lieu de me trouver derrière la vitre, j’étais à côté du podium où la nana se touchait.

Elle m’a dit de monter sur le lit. J’ai encore tenté de trouver un subterfuge pour que la trahison envers mon demi-frère ne soit pas trop grande. Je me suis allongé à côté d’elle pour me branler contre son corps de rêve. Pendant qu’elle aussi se masturbait avec son joujou entre ses cuisses inondées du plaisir qu’elle prenait à se faire du bien devant moi.

Elle m’a dit de faire une photo. Elle avait vraiment un trip exhibe ! Peut-être qu’elle ne pouvait pas trop en parler à mon demi-frère… qu’elle se rattrapait donc sur moi avec une fureur sexuelle inarrêtable. J’ai fait un selfie de nous deux en train de nous donner du plaisir corps contre corps, un côte-à-côtisme de la masturbation tout à fait sensuel. J’ai même pris une photo de ma bite bien droite avec son corps derrière, je trouvais ça joli.

Une infidélité assumée

J’allais me faire jouir quand elle lâché le sex toy. Elle s’est mise à quatre pattes sur moi et a pris ma queue en bouche. Je ne répondais plus de rien… Je ne pouvais plus reculer, c’était allé trop loin et notre désir était beaucoup trop puissant. Comme l’eau qui fait céder les digues, pour en rester là.

Lina s’est remise sur l’édredon et j’ai mis ma bite à l’entrée de sa vulve. On était beau ensemble. J’ai encore pris une photo . “Vas-y, fais une photo avec ta bite dans moi”, a soufflé mon amante interdite. J’ai poussé ma queue dans sa chatte qui était tellement glissante que j’y suis entré comme dans du beurre.

Mon sexe était encagé dans son sexe, prisonnier de ses lèvres voraces qui dépassaient dessus, coiffé de ses jolis poils noirs, et, plus haut. Mon regard se perdait sur son ventre et ses seins, ses marques de bronzage trop mignonnes… J’ai donné quelques coups de reins et nous étions tellement excités que le simple fait de nous toucher nous a fait venir en même temps. Je me suis rué hors de la chambre quand mon demi-frère est rentré, et j’ai conservé toute la journée l’odeur de son corps qui s’était imprégnée dans ma peau.

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