J’ai couché avec mon step-brother

Step by step

Comme vous l’aurez sans doute deviné par mon patronyme, je suis américaine, enfin, franco-américaine. J’ai vécu aux USA avec mon père puis je suis venue rejoindre ma mère, fraîchement divorcée, en France. Là j’ai fait la connaissance de son nouveau mari, Yves, et de mon step-brother (le fils d’Yves), Jordan. Le choc ! Il était super beau, visage anguleux, baraqué, peau basanée. Mais j’avais décidé de le détester ! Vous savez comment sont les filles. Sauf qu’à force de le côtoyer, j’ai bien été obligée de reconnaître qu’il était charmant et que, surtout, je fantasmais grave sur lui. Je ne passais pas une journée sans me masturber en rêvant qu’il me faisait subir les pires outrages … par-devant et par-derrière ! Je vous raconte mon histoire de sexe.

Jusqu’au moment où je l’ai surpris en train de fouiller le panier de linge sale à la recherche d’une de mes culottes maculées, je l’ai espionné jusqu’à sa chambre dont il avait laissé la porte entrouverte. Le petit cochon s’est foutu à poil, il avait une trique d’enfer et sa queue était super droite et super longue, j’ai mouillé sur le champ.

Il a commencé à se secouer le gourdin, mon string odorant roulé en boule qu’il écrasait sur son nez avec sa main libre. C’est là que j’ai commis une erreur, j’ai baissé le zip de mon jean un peu trop vite, le bruit l’a alerté et je me suis fait gaulée. Un partout la balle au centre, il était bien en train de se branler avec une de mes culottes sales ! Je suis donc entré, le pantalon descendu à mi-cuisses et j’ai refermé la porte à clef cette fois.

Visiblement Jordan n’avait rien contre mon initiative. Il m’a tendu son machin bien dur pour que je le suce, je me suis exécutée, j’aime déguster une belle queue, mais ce que je voulais surtout c’est qu’il m’enfile. J’avais tellement rêvé de sa grosse bite en moi. Après quelques léchouilles sur sa hampe et son gland, je me suis foutu à quatre pattes sur le lit, le cul dans le vide. Il est venu derrière moi, a baissé autant qu’il le pouvait mon jean et ma culotte sans même prendre le temps de les retirer complètement, il a craché dans sa main pour lubrifier ma chatte et a poussé un sifflement lorsqu’il a constaté l’ampleur de mon inondation intime. La seconde qui suivait, il me pénétrait jusqu’à la garde ! Dieu que c’était bon ! Comble de l’excitation pour moi, il n’a pas arrêté de nous photographier pendant qu’on baisait, j’adore ! Et puis ça me fera du matos pour rendre jalouses les copines !

Ce salaud m’a fait jouir

Il n’y a pas été de main morte, j’ai cru qu’on allait péter le plumard tant il m’a démontée comme un bourrin ! Mais dans le bon sens du terme. Il avait du rythme et de l’endurance et ce truc en plus qui me fait délirer au possible, des claques sur le cul et des insultes … il me racontait qu’il voyait tout, que j’étais sa petite salope, qu’il allait me défoncer et qu’ensuite il m’enculerait avant de cracher tout son foutre partout sur moi. Punaise, qu’est-ce qu’il m’a fait jouir ce petit salaud ! Sa queue était une barre d’acier inflexible, il m’a laminée, ramonée, sans aucune pause, rien que dans cette première chevauchée, j’ai pris mon pied trois fois, dont la dernière en dégoulinant littéralement sur son matelas ! Enfin, il a daigné se retirer de moi et enlever mon bas, j’étais plus à l’aise désormais pour écarter les jambes.

Jordan a foutu mes seins à l’air, il est venu en lécher les aréoles et me mordiller les tétons, pendant ce temps-là il me pelotait la chatte et je lui astiquais la tige. Il était chaud bouillant, il m’a pénétrée de nouveau en missionnaire, là, deux lattes du sommier ont rendu l’âme, un ouragan ce mec ! Il m’a démontée ! Son truc ? Me soulever par les hanches pour que mes fesses soient bien décollées du lit et permettre ainsi à son braquemart de s’introduire profondément, mais surtout à son gland d’aller taper juste sur la partie spongieuse de mon vagin, le célèbre point G. Il m’a donné encore au moins deux autres orgasmes ainsi.

C’est moi qui lui ai dit que je voulais tout son foutre, il s’est fini en se branlant au-dessus de moi, son fruit à quelques centimètres de mes lèvres, quand c’est sorti en jets puissants, j’ai ouvert grand la bouche et j’ai tout avalé. Depuis, nous baisons tous les jours et la semaine dernière, il m’a enfin sodomisée ! Il est très doué, aussi doué que cochon, il faut voir jusqu’où il arrive à enfiler sa langue dans mon anneau lorsqu’il me prépare le cul !

Bon, vous l’aurez compris, « step by step » … pas vraiment, on a un peu brûlé les étapes … mais après tout, on n’a qu’une vie non ?!

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