Les 24 heures de l’amant
20 novembre 2025
Quand on trompe son mari, il faut être rapide, avoir le sens de l’anticipation, savoir déboîter au bon moment et, surtout, avoir de l’endurance ! Un peu comme pendant la célèbre course des 24H00 du Mans. Mon époux ne me touchant quasiment pas depuis le début de notre interstron.ru, j’ai très vite trouvé des suppléants. Mais à vingt-trois ans, je n’ai pas d’argent et, mes compagnons de (bi) route, non plus. La solution ? Baiser dans la voiture ! Voici mon histoire de sexe amateur érotique.
Un amant en roue libre
Mon amant préféré se prénomme Julien. Cet été, comme moi, il n’est pas parti en vacances et nous avons pu nous rejoindre quotidiennement. Son auto n’est pas aussi confortable qu’un vrai lit, néanmoins, ses sièges sont recouverts d’un velours très doux … que j’ai bien baptisé depuis ! Ce fou m’attend en général soit dans un parking, soit au bord de mer, dans un petit coin tranquille, déjà tout nu ! Il allume les phares et, lorsqu’il fait bon, comme souvent dans ma Bretagne natale, je me déshabille avec lenteur, avec langueur. Je ne vois ni le visage, ni les expressions de Julien, mais je sais qu’il se touche en regardant mon corps de plus en plus libre. Je termine par mon soutien-gorge et, enfin, ma culotte, que j’ôte en me mettant de dos. Je me penche en faisant glisser le tissu le long de mes jambes et je finis toujours en écartant ces dernières, ainsi que mes petites fesses. J’ai conscience que, souvent, ma chatte est tellement mouillée, qu’elle brille dans les faisceaux lumineux très crus.
La portière passager s’ouvre, je m’engouffre dans l’habitacle. Mes pointes de seins bandent, ils sont tout durs. Je découvre la queue de Julien, elle est aussi belle que dans mon souvenir, ni trop grosse, ni trop longue, bien droite, attendant ma bouche gourmande. Il me prend tout de suite en photo, je pose pour lui, j’écarte les cuisses, je me caresse, je me touche « ma petite foune » comme il l’appelle. Je ne fais pas patienter cette merveille. Après avoir échangé quelques baisers et quelques « j’ai envie de toi » réciproques, je me penche par-dessus le levier de vitesse et je lâche mes lèvres sur le gland gonflé. Il coule de désir et je m’empresse de lécher ce fluide qui me met l’eau à la bouche. Je saisis la base de la hampe entre la fourchette de mes doigts et j’entame une fellation qui fait réagir Julien et m’excite, moi aussi, au plus haut point. Sa main caresse mon dos, descend le long de mon échine et trouve mes fesses. D’un index il suit le sillon et je me contorsionne afin de lui faciliter le passage vers ce qu’il veut atteindre. Et voilà son majeur qui embrasse mon anus.
gorge profonde et levrette
J’aime lui donner toutes les libertés et, instantanément, je sens sa queue se roidir un peu plus. La phalange continue sa course et découvre mon autre orifice. Celui-ci est totalement épanoui, ma chatte est gonflée de sensualité, mes petites lèvres sont déjà entrouvertes, il n’a plus qu’à le glisser dans mon vagin, cela rentre tout seul tellement je lubrifie. Je pompe le dard en m’efforçant de l’emmener au plus loin dans ma bouche. Je ne suis pas encore experte de la gorge profonde, mais cela vient doucement. Lui me masturbe alors dans de grands bruits qui me gênent et font monter ma tension sexuelle d’un cran, son pouce en profite pour déposer de la cyprine sur ma rondelle et en force l’entrée tout en légèreté. Je suis au paradis, tous mes orifices sont occupés, je salive, je dégouline de la fente, je jouis, mes gémissements sont étouffés par la queue de Julien, c’est tellement bon ! J’ai le goût de son membre encore sur ma langue lorsqu’il me tend ses doigts à sucer, ma liqueur fond, Julien avance les sièges avant et nous nous contorsionnons pour gagner l’arrière.
Je passe toujours en premier, j’alimente, dès que je le peux, le côté voyeur de mon amant. Il embrasse mes fesses au passage, attend que je m’installe sur la banquette et je lui donne ma croupe. Nous adorons la levrette. Sa queue coulisse le long de ma raie, il meurt d’envie de me sodomiser. Je lui signifie mon accord en me cambrant tout en étalant ma mouille sur ma rondelle. Je pousse sur mon sphincter le plus intime et j’absorbe le gland dans un gloussement de satisfaction. Il m’encule lentement, ça chauffe au niveau de mon anneau, je caresse mon bourgeon et lui demande d’aller plus vite. La cadence des coups de boutoir augmente et j’obtiens mon second orgasme, plus fort, plus violent que le premier. Cela me fait toujours cela quand il me prend par-derrière. Je me retourne enfin pour le regarder lorsqu’il va éjaculer en moi. Julien me pénètre, je resserre au maximum mes muscles vaginaux pour qu’il se sente aussi à l’étroit que dans mon petit trou, et il vient ! Qu’il est beau !
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