L’As de coeur

La rédaction 1 mars 2021

Fabien, 28 ans, fan de rock et à la sexualité riche débridé nous raconte sa dernière aventure avec sa partenaire préférée : la belle Béatrice.

Bonjour,Je m’appelle Fabien, j’ai vingt-huit ans, un doctorat en science économique, des cheveux bruns, des yeux noisette, de longues mains fines, un visage d’ange, un fort appétit sexuel, beaucoup d’amies avec qui j’échange sur le net, je suis passionné par la période de la Renaissance et je vis toujours chez mes parents.

Un « Tanguy » pensez-vous ? L’histoire, en vérité, est un peu plus compliquée que cela.

Mais nous sommes ici d’abord et avant tout pour parler de sexe non ? interstron.ru est avant tout une magnifique plateforme pour échanger et partager ses aventures sensuelles, érotiques, sexuelles ou même pornographiques !?

Dans cette histoire de sexe, je m’en vais donc vous conter, sans plus attendre, la dernière visite de Béatrice à la maison. Parce que, oui, je vis chez mes parents mais à vingt-huit ans, j’ai une vie intime bien évidemment.

J’ai même plusieurs partenaires, chacune est au courant de l’existence des autres et tout se passe bien. Loin de moi, pour l’instant, l’idée d’un quelconque engagement, j’aime cette pluralité dans le partage des sens.

Béatrice donc est arrivée dans ma chambre vendredi dernier sur le coup des quatorze heures, elle a frappé à ma porte puis s’est glissée comme un chat dans l’entrebâillement. J’adore Béatrice. C’est une de mes partenaires préférées. Grande jeune femme d’un mètre quatre-vingt, une tignasse blonde très courte à la Pink, des yeux verts, des petites fossettes trop craquantes, des seins sublimes et formidablement opulent, un cul bien rebondi et une chatte toute lisse avec juste un toupet au-dessus, sorte de certificat de blonditude ! Sic ! Une taille de guêpe surmontant une paire de jambes fines à la peau d’une douceur de soie et un léger parfum capiteux mais pas trop. Voilà, c’est Béa, gentille, attentionnée, toujours attentive à mon plaisir et à mon bien être. Une femme douce et une amante sublime. J’adore le temps partagé avec elle.

Nous avons nos rituels, elle sait ce que j’aime et ne se fait pas prier pour me faire plaisir. Cela commence toujours par un striptease qui me rend fou, je sens ma queue doucement s’engourdir de désir, elle s’effeuille lentement et au fur et à mesure je sens mon membre prendre vie et se gonfler au rythme de ses ondulations lascives.

Ensuite, là encore, c’est notre coutume, elle s’approche de moi, il ne lui reste plus sur elle que des bas (blancs, c’est mon kiff absolu) et un porte-jarretelle blanc également. Elle se penche en avant, une de mes autres « addictions » étant de voir ses seins lourds mais fermes pendre à l’équerre de son corps. Je trouve les seins des femmes dans cette posture follement excitants. J’aime voir les tétons déjà bandés pointer ainsi vers le sol, tout le moelleux des seins ressort à ce moment-là et les doux mouvements de ballotage sont érotisant au possible pour moi.

Là elle dégrafe ma ceinture et déboutonne la braguette ou abaisse le zip de mon pantalon. Elle glisse sa main, qu’elle a toujours fraîche, et caresse ma queue à travers le coton du slip. J’adore ça ! C’est entre le massage et la caresse, elle glisse jusqu’à mes couilles, joue un peu avec avant de remonter en « griffant » le dessous de ma hampe avec ses ongles rouges pour finir par doucement tâter mon gland sensible. A cet instant je mouille systématiquement mon boxer, elle me caresse ainsi longtemps, j’aime la tension sensuelle qui nous lie alors.

Quand elle me sent bien dur, elle procède à mon déshabillage complet. Elle sait comme j’aime ses gestes doux et aériens, elle a de longs doigts agiles qui me fascinent. C’est toujours mon slip ou mon caleçon qu’elle ôte en dernier. Elle regarde mon paquet comme si c’était un cadeau de Noël, j’adore voir le désir dans ses yeux à l’instant précis où elle fait jaillir ma bite de son enveloppe ouatée. J’ai, dit-elle, une des plus belles queues qu’elle n’ait jamais vues. Bien proportionnée, plutôt épaisse avec un « petit col roulé » dû à une circoncision partielle à cause d’un phimosis (un rétrécissement du prépuce qui empêche de décalotter le gland ou, pour les filles, c’est le capuchon du clitoris qui peut empêcher ce dernier d’être décalotter). Béatrice loue alors ma queue et sa grâce, j’adore ces compliments sur ma virilité ! Je sais que c’est un peu débile et que la fierté d’un homme ne doit pas se restreindre à la gloire de son appendice pénien mais que voulez-vous, chacun a ses petites faiblesses et moi, j’aime qu’on encense mon petit bâton.

Elle pose ensuite un préservatif sur ma bite totalement en érection et vient se mettre à califourchon sur moi, en soixante-neuf. Pendant un petit moment on ne fait rien, elle continue juste de « parler » à ma queue, comme si un conciliabule secret avait lieux entre Béa et elle et moi, je m’extasie devant son sexe.

Ça me fait le coup à chaque fois, je sens mon excitation grimper en flèche. J’adore pouvoir détailler son minou alors qu’il se trouve à quelques centimètres de mes yeux. J’aime avant tout son parfum, cette fragrance subtile qu’ont certaines femmes lorsqu’elles sont excitées. Certains sexes ne vous communiquent aucuns stimuli, d’autres au contraire, vous emportent totalement, c’est le cas de la vulve de Béatrice. Elle est toujours épilée de frais (sauf son petit toupet au reflet de soleil) et elle cambre les reins de telle manière à s’ouvrir comme une orchidée. Les pétales de son sexe s’ouvrent alors ainsi que l’œillet délicat de son anus. Je hume ce sous-bois charnel avec délice. J’ouvre grands mes yeux et je détaille tout. De son clitoris pourpre qui pointe sous sa cape protectrice au delta de ses petites lèvres qui s’évase vers son joli con fuchsia, de son méat, petite fente rose à la bouche rose et déjà dilatée de son vagin qui perle déjà d’une rosée d’excitation. Béa se tortille lentement afin de faire se fermer et s’ouvrir sa si belle petite chatte, elle joue avec son périnée, je vois ainsi son anus se gonfler puis se rétracter, qu’est-ce que ça peut m’exciter quand elle fait ça.

Là le bal commence, elle glisse une main entre ses cuisses et commence à se caresser. Tout comme une instrumentiste, Béatrice est douée pour faire plusieurs choses en même temps. Elle commence à me sucer et ne se limite pas à des va-et-vient avec la tête, c’est tout son corps qu’elle fait aller et venir créant ainsi un effet de balancelle sur ses seins opulents dont les tétons frottent contre mon ventre et mon pubis. Ses doigts dessinent des arabesques légères sur son bouton de rose, elle met toujours un point d’honneur à m’offrir tout d’elle, ainsi elle écarte ses nymphes et fait saillir son clito qu’elle a gros comme une belle perle de Tahiti. Elle taquine ensuite l’orée de son vagin, sa mouille huileuse s’accroche à ses doigts et se dessine en fils arachnéens. Ces fils de soie liquide étincellent et m’éblouissent, elle tapote son sexe et le bruit mouillé qu’elle en tire me fait gonfler un peu plus. Les bruits qui paraissent incongrus ou gênant pour beaucoup dans le sexe, sont pour moi une autre source d’excitation extrême. J’aime la « musique » du sexe, les corps se parlent, les corps se libèrent et leurs onomatopées ou autres borborygmes sont une mélodie qui porte l’harmonie de deux êtres qui n’en forment plus qu’un.

Béatrice me libère alors de ma capote, elle laisse un filet de salive couler sur mon gland et elle étale cet onguent tout le long de ma queue bien dure. Là, un second moment d’extase vient pour moi, elle enfile dans son sexe serré, toujours à califourchon sur moi, un préservatif féminin. Je préfère la sensation que me procure son petit con lorsque c’est elle qui est ainsi protégée.

Je suis avec attention ses doigts qui plient en une espèce de lemniscate (le signe de l’infini ∞ qui symbolise tant le plaisir qu’elle me confère) le cylindre siliconé et l’introduction dans sa chatte qui s’ouvre pour accueillir la protection féminine.

Elle se lève alors et vient à cheval sur moi, ses seins opulents au-dessus de mon visage. Elle frétille de la croupe et prend délicatement ma hampe dans sa main. Elle guide mon fruit rose décalotté à l’entrée de son sexe et lentement, très lentement, fait descendre ses hanches délicates afin de s’empaler sur mon membre avide. Lorsqu’elle a avalé ma queue jusqu’à la garde elle ne bouge plus. Elle agace juste mes bourses avec ses ongles et je sens dans ma bite des fourmillements délicieux. Je réussis parfois à contracter mon pénis afin de ressentir un peu plus ses parois intimes et étroites se refermer sur moi.

Elle se penche alors cers moi, me donnant à téter ses aréoles pâles et ses bourgeons bandés, fripés comme de doux raisins secs au goût suave et sucré. Je la tête, je mordille ces tétins soyeux, j’enfouis ma tête entre ses deux Zeppelins, je m’en étoufferais tant je trouve cela érotique !

Béatrice attend mon signal, il faut que je concentre pour ne pas éjaculer trop vite. Elle me garde ainsi en elle sans bouger le temps qu’il faut. Commence alors une danse délirante de douceur et de sensualité. Elle avance son corps entier, ma queue sors de sa gaine veloutée avant de reculer pour me reprendre en elle. Parfois ma bite sort entièrement de son con, elle « twerke » alors avec langueur et sa chatte m’emprisonne de nouveau au fond de son incandescence moite.

Il arrive même, à quelques occasions rares, qu’elle m’offre les plaisirs encore plus resserrés de son étoile rose et fripée. Elle ne jouit pas de ce rapport anal mais de temps en temps m’offre ce délice. Je le sais à l’avance car elle installe ma psyché de telle façon que je puisse voir cette pénétration anale. J’aime la sentir se sodomiser ainsi sur moi, elle se cambre en arrière au maximum et, en penchant la tête, je vois tout. Ma queue dure qui s’enfonce dans l’anneau élastique, sa chatte ouverte et ses petites lèvres collantes de mouilles telles des ailes de papillon.

Quelques mouvements et c’est la délivrance. Elle astique son bouton lentement puis de plus en plus vite, ses petits mouvements circulaires et précis la font décoller en quelques instants, elle râle, doucement, un son grave et guttural qui monte doucement dans les aigües et finit par un souffle où elle éructe des « Oui, oui, oui ! » successifs et pressés.

Je sais que je peux relâcher mon contrôle et me laisser enfin aller à ma propre jouissance. Le plus souvent je jute en elle mais parfois elle a le temps de sortir ma queue de son fourreau, elle s’agenouille près du lit et me branle à fond, j’aime ses secousses rapides et un peu désordonnées, elle prend ses seins à pleine mains, les réunissant en un coussin de chair appétissant et me fait gicler sus ses nichons magnifiques !

Elle goute toujours mon sperme après, c’est émouvant de la voir « savourer » ce don de moi. Elle m’embrasse sur les lèvres non sans avoir trempé ses doigts à son antre pour déposer sa mouille sur ma bouche, nous goutons alors le cocktail de nos fluides jouissances.

Elle file alors dans ma salle de bain et fait un brin de toilette, elle se rhabille devant moi et file aussi subrepticement qu’elle était entrée deux heures auparavant.

Je sais qu’elle trouvera une enveloppe sur la console de l’entrée, laissée là par ma mère.

Je sais que mes parents ne viendront pas me voir durant les deux heures qui suivent, me laissant revenir sur terre à mon rythme.

Je sais que Jocelyne viendra vers dix-huit heures pour ma toilette et en particulier ma toilette intime. Elle sait que j’ai vu Béatrice (ou une autre de mes « compagnes ») et que mon sexe sera souillé, que ma chambre sentira le sexe, la mouille, la sueur et le foutre. Elle ne dit rien, elle me lave sans un mot, prenant soin de ne pas meurtrir mon sexe redevenu flasque.

Je sais que beaucoup, lisant ces lignes, me jugeront sans doute. Oui, dans l’enveloppe pour Béatrice il y a de l’argent et non, elle n’est pas prostituée. Bien que cela ne changerait rien à mon avis sur elle. Béatrice prend le risque de se faire punir par la loi pour exercer un métier, j’insiste sur le mot, un beau métier, noble et précieux, celui d’assistante sexuelle.

Je sais que vous ne savez pas ce qu’est d’être prisonnier dans votre propre corps, tétraplégique et incapable même de se donner du plaisir seul.

Mais je sais que Béatrice et ses comparses me sont indispensables pour garder un tant soit peu de dignité, de virilité et m’ouvrir, de temps en temps, une porte sur le plaisir charnel auquel j’ai, comme tout le monde, le droit.

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