À cheval sur mon bourrin
17 février 2021Passionée d’Histoire d’O, Myriam, 19 ans s’imagine dominée par le patron de son haras.. elle va devenir l’héroïne soumise qu’elle aime tant.
J’ai bientôt 19 ans et je suis surdouée. Pas pour faire la prétentieuse, mais pour devrai: j’ai un QI de 130 et j’ai eu le bac mention “très bien” à 16 ans. J’ai ensuite pris une année sabbatique puis je suis entrée en classe prépa littéraire. Mon autrice préférée est Pauline Réage, qui a écrit “Histoire d’O”, l’histoire d’une femme qui devient esclave sexuelle de son plein gré. Vous l’avez compris, je suis très jeune mais très libérée, aujourd’hui je vais vous raconter mon histoire de sexe.
La classe prépa est beaucoup plus intéressante que le lycée, mais je trouve quand même les autres élèves trop lents. Je me suis remise à l’équitation car j’ai du temps libre, contrairement à eux. Pour ça, j’ai trouvé un haras accessible en bus depuis l’internat et j’y vais tous les samedis aprem, pendant que mes camarades révisent. Michel est le propriétaire du lieu. Il a une quarantaine d’années, toujours une casquette sur la tête et il sent un peu le crottin, mais j’imagine que c’est normal. Nous nous croisons souvent sur la piste de sable où je m’entraîne avec mon cheval préféré. Évidemment, j’avais bien remarqué sa façon de me regarder – comme si je me promenais les seins à l’air dans son haras. Ça me plaisait. J’imaginais des scènes comme dans “Histoire d’O” où des femmes soumises se font fouetter.
Je sais que mon imagination va loin, mais c’est mon côté littéraire… La nuit, à l’internat, il m’arrivait de me masturber en pensant que Michel me donnait des coups de cravache puis qu’il me baisait dans la paille d’un box, à quelques mètres de ses chevaux en rut. Ou bien que nous montions à cru sur un étalon, moi nue devant lui, lui me soumettant à ses caresses brusques. Finalement, notre baise a été beaucoup moins épique que mes fantasmes, mais j’y ai pris beaucoup de plaisir.
Elle a eu lieu un samedi de vacances scolaires et il n’y avait que moi au haras. La femme de Michel était partie faire un concours. Il s’est senti obligé de me le dire avant même que j’atteigne le box de mon cheval : « On n’est que tous les deux aujourd’hui» J’avais passé ma soirée à lire des récits du moyen-âge pleins d’allusions sexuelles tordues, et je n’avais pas pu me masturber car ma camarade de chambrée avait passé une partie de la nuit sur son téléphone. « C’est le moment de décharger », me suis-je dit.
Pas de scénario d’enlèvement de pucelle ni de séduction chevaleresque entre moi et Michel. Je le savais, le patron du haras était un bourrin – c’était le cas de le dire. Je me suis contenté de lui faire un signe du doigt pour qu’il me suive jusqu’à la piste sablonneuse. Quand il m’a vue tomber à genoux avec un sourire de Lolita, il m’a dit de sa grosse voix : « Je savais bien, que t’en avais envie aussi ! » Puis il a voulu immortaliser l’instant avec son appareil photo. Un peu moderne pour moi, mais pourquoi pas? J’ai pris des poses ingénues et me suis beaucoup amusée. Regardez comme j’ai l’air contente de jouer avec la queue de Michel, pas vraiment de cheval en termes de taille mais raccord niveau goût… Une douche n’aurait pas été de trop, mais je le reconnais, j’ai trouvé ça encore meilleur.
J’ai accompli en le suçant mon fantasme de la reine et du palefrenier. Puis il m’a demandé de me mettre à genoux et il m’a couverte comme un étalon. J’ai alors vécu mon aventure de l’aristocrate kidnappée par un grossier paysan. La chevauchée m’a laissé les genoux douloureux, entre le sable sous moi et la cadence de Michel, qui s’était apparemment retenu très longtemps de me faire ma fête.
Malheureusement, toutes les bonnes histoires ont une fin et une voiture est arrivée. Nous l’avons vu au qui remontait dans le haras. Jen ai été encore plus excitée mais mon cavalier s’est retiré pour se finir au plus vite sur le sable. Peu importe : le soir, ma camarade de chambrée est rentrée dans sa famille et j’ai pu m’abandonner à la jouissance en regardant ces quelques souvenirs.
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