Une soumise épanouie

La rédaction 16 juin 2020

Sophie, 32 ans.

Il est toujours très difficile de commencer une histoire de sexe, en particulier lorsque vous voulez livrer quelque chose de très intime à l’intérieur. Mais je vais m’y essayer, ce que j’ai à dire est trop important pour moi.

Depuis quelques mois, j’ai entamé ma vie de soumise. Je ne l’ai pas fait suite à la lecture de ce best-seller dont tout le monde a entendu parlé, je l’ai fait parce qu’au fond j’ai toujours senti que j’avais ce « penchant » enfoui dans mes tripes. Une forme d’excitation sexuelle lorsque l’on me prenait brutalement ou que l’on m’enserrait la gorge pendant l’acte sexuel. J’ai essayé d’en parler plusieurs fois à mon mari, mais il n’a rien voulu entendre, pour lui j’étais une dépravée, une perverse, et je devais modérer mes pulsions. En réalité, je pense tout simplement qu’il ne se sentait pas à la hauteur, je suis de nature très autoritaire et je gère pratiquement tout à la maison. Lui, il préfère se laisser vivre et surtout ne pas bousculer un équilibre qui fonctionne bien. Il fallait donc que je trouve un moyen d’assouvir mes fantasmes hors de ces quatre murs, hors de mon foyer.

Je sais qu’à ce moment précis de mon histoire, vous allez certainement me juger, et peut-être même que ceux qui ont déjà subi le mensonge de leur conjoint le feront avec encore plus de sévérité que les autres. Je sais comment est considéré l’adultère dans notre société. Mais je ne pouvais plus subir ma sexualité comme une tâche à accomplir dans le couple, avec toute l’insatisfaction et la pénibilité que l’on peut ressentir dans ces moments-là. La destruction de mon intimité par la routine et nos étreintes superficielles étaient d’une violence inouïe. Il fallait que je redonne à ma sexualité sa véritable place dans mon bien-être, une terre nouvelle d’épanouissement.

Je me suis donc rendue sur un site de rencontre, et très vite, j’ai accepté une proposition qui me semblait correspondre à ma recherche. Il avait 45 ans, habitait à moins de 30 km de chez moi, dans les Hauts-de-Seine, lui aussi avait déjà une expérience en tant que dominant.

J’ai frissonné à l’approche de notre premier rendez-vous, il arrivait à conserver dans ses messages toute la distance nécessaire pour imposer son autorité tout en créant une bulle d’intimité non partagée avec d’autres. Il savait beaucoup plus de choses de moi que je n’en savais de lui ; mes préférences sexuelles, mon emploi du temps, mes angoisses, mon mari.

À vrai dire, Il savait tout ce qui était important de moi avant que je ne passe la porte de son appartement. Quand je l’ai vu, j’ai su instantanément que j’avais fait le bon choix. Il n’était pas un canon de beauté, mais à travers son regard vif et pétillant, j’ai su que j’avais à faire à quelqu’un d’intelligent, de valeur et de principe. Nous n’avons rien fait de très osé à notre premier rendez-vous, il s’est contenté de me questionner sur mes connaissances en matière de sexe, mes espérances, mes fantasmes aussi. Il m’a embrassée, a posé quelques douces claques sur mes fesses, et voyant que j’aimais ça, s’est laissé à en déposer une aussi sur ma joue. J’ai été un peu bluffé sur le coup, ne sachant pas vraiment quelle attitude adopter. Si je n’ai pas trouvé ça extrêmement « excitant », en y repensant, j’ai trouvé ça très juste. C’est grâce à cette claque que j’ai eu cette révélation ; que j’ai su que j’étais à ma place, avec lui. Entre ses mains. Depuis ce premier rendez-vous, nous nous sommes revus une bonne vingtaine de fois.

Ma progression a été fulgurante. Nous avons toujours ce même rituel, il me fait enfiler un masque sur les yeux et tente toutes sortes d’expériences sur mon corps. Je vous ai glissé les photos pour que vous puissiez en profiter, vous aussi. Poire anale, spéculum, pince-tétons, menottes… Je suis maintenant une soumise exemplaire, docile et accomplie. Mais surtout, une soumise épanouie.

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Soumise à ma belle-fille

« Elle a dit qu’elle viendrait tous les jours me baiser et se faire baiser par moi. Elle me voulait soumise et douce. Ce serait notre secret. Ensuite, elle m’a demandée de me procurer un gode-ceinture de bonne taille – « une grosse salope comme toi doit être défoncée par du gros calibre » – ainsi qu’un plug qu’il me faudrait porter en permanence quand elle ne serait pas là. Véra m’a aussi demandée de ne plus porter de culotte ni de soutien-gorge. » Adèle, 55 ans.

Ma petite vie de soumise

« Elle a mis un gode-ceinture assez impressionnant et elle s’est allongée sur moi pour me pénétrer. Je nageais dans un nuage de sensations brûlantes. Elle s’est mise à bouger en moi, et chacun de ses coups de hanches me plongeait dans le bonheur. Mon bâillon étouffait mes cris de plaisir. Elle m’a limée encore et encore, elle s’est occupée de mon petit trou bien réceptif après le passage de l’intrus. » Charlotte, 21 ans.

À propos de l’auteur

La rédaction


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