À la soupe Brigitte

La rédaction 13 avril 2021

Jean Baptiste, 65 ans, croise la belle Brigitte à la soupe populaire. La belle blonde saura pallier à la solitude du sexagénaire.

A cause du contexte de la pandémie, je me suis retrouvé seul pour les fêtes de Noël. Condamné, à 65 ans, à trinquer au champagne avec mon chat. C’est d’une tristesse ! Mes enfants vivent à l’étranger et c’était compliqué de faire autrement. Mais c’était sans compter sur les petites surprises de la vie ! J’ai décidé de participer à une soupe populaire avec Brigitte, une connaissance bénévole qui m’en avait déjà parlé, voici notre histoire de sexe.

Je l’ai accompagnée sur son stand le soir, au beau milieu de la place de la Mairie et nous avons distribué des repas ensemble avec toute une équipe. Brigitte, 60 ans, était toute pimpante et habillée avec une tenue festive malgré le contexte. Jolies boucles d’oreilles créoles, ses cheveux bouclés teints en blond clair presque blanc pour l’occasion, petite robe étroite sous son manteau et souliers à talons. J’avais remarqué sa belle allure et elle avait vu que j’avais vu. “C’est pour égayer cette soirée !” m’a-t-elle dit. “Et aussi pour vous plaire, si je veux être tout à fait honnête.” J’ai piqué un fard sous mon masque. Je ne m’y attendais pas ! La mignonne Brigitte s’intéressait donc à moi ? C’est vrai qu’elle vivait seule, elle aussi. J’ai bien sûr saisi ma chance et l’ai invitée à venir boire le champagne avec moi après la distribution des repas.

Quand elle a retiré son masque dans mon salon, j’ai découvert sa jolie bouche pulpeuse peinte en rouge. Une vraie beauté que cette Brigitte ! Le rouge ressortait avec le blond des cheveux, le vert de ses yeux et le velouté de sa poudre à joue. Elle avait de belles formes moulées dans sa robe noire en velours. Je n’en revenais pas de partager ma soirée avec une invitée d’une telle qualité ! Nous avons parlé de nos vies, assis côte à côte dans des fauteuils confortables. Quand nous avons fini la bouteille de champagne, j’ai pris sa main dans la mienne pour lui faire un baise-main. Toute rose de plaisir, elle a saisi la mienne pour l’embrasser à son tour, mais avec beaucoup plus de passion. Nous nous sommes embrassés par-dessus nos accoudoirs. Ça faisait tant de temps que je n’avais pas senti la chaleur d’une femme !

Mon cœur s’est emballé et mon sexe s’est raidi malgré ses longs mois d’inactivité. Brigitte m’a invité à danser et, collés l’un contre l’autre, nous nous sommes roulés des pelles enivrantes.

Ma partenaire m’a repoussé dans mon fauteuil et s’est mise à déboutonner mon pantalon pour, aux pieds du meuble, dissimuler ma raideur dans l’antre moelleuse et ardente de sa bouche. Le rouge de ses lèvres décorait joliment ma queue et lui faisait comme une guirlande de Noël autour d’elle – la plus chatoyante des guirlandes. Ne résistant plus à l’appel de la chair, j’ai entraîné Brigitte dans la chambre où nous nous sommes jetés sur le lit pour nous dévorer de baisers. Je l’ai déshabillée sensuellement et l’ai cajolée sur toute sa peau de velours – aussi douce que sa robe.

Ma trogne entre ses cuisses, je lui ai fait un long cuni jusqu’à inonder ses draps de son ébullition intérieure… Puis, au-dessus d’elle, je me suis frayé un chemin tout doucement dans sa tanière d’amour. Des étincelles de plaisir me sont venues au cœur et au corps. Ses jambes repliées autour de moi, ses mains agrippées à mon cul, son parfum qui bouleversait mes sens, je suis parti dans une autre galaxie du plaisir, ma bite était comme diffractée en mille ondes de sensations orgasmiques, sa chatte était le palais de mes envies, le cerceau élastique de son vagin autour de ma bite avait remplacé le cercle de sa bouche et c’était un délice.

J’ai fourragé avec ma queue en elle, j’ai aligné les mouvements saccadés du bassin et je fixais sa bouche rouge, ses sourcils froncés, à chaque va-et-vient. Elle serrait son périnée et ses mains sur mon derrière, jusqu’à ce que je jute, n’en pouvant plus, perdu au milieu de ma jouissance dans les éclats de sa voix, contre la peau humide de son sexe, et la sueur sur ses seins.

Depuis, Brigitte n’est repartie de chez moi que pour récupérer des affaires et nous avons passé quinze jours de fête permanente. Belle année à elle, ma chérie.

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