Entre collègues tout est permis !
17 mai 2023Patricia propose à son collègue de lui faire découvrir sa vulve. Quelques minutes plus tard la découverte transforme en une partie de jambe en l’air.
Au bureau, j’ai un collègue, Émile, avec qui on parle souvent de cul. Je suis un peu comme le pote de bureau à l’humour graveleux qu’il n’avait pas avant mon arrivée. J’aime bien ce rôle, car cela me permet d’accéder à la psyché d’un homme quadra et d’étudier d’un peu plus près le genre masculin. Par ailleurs, et ça ne gâte en rien mon plaisir, Émile est amusant et séduisant, jamais vulgaire. Voici mon histoire de sexe !
Un collègue en manque de chatte
Un jour, il m’a avoué que sa femme ne l’avait jamais laissé regarder son sexe de face. « Tu ne lui fais pas du cunni ? » lui ai-je demandé. « Non, elle refuse, elle n’est pas à l’aise avec ça. » Quel gâchis ! me suis-je dit. « Donc t’as jamais vu de chatte en frontale autrement que dans un porno ? » « C’est ça. » Cela manquait à sa vie érotique et il m’a dit que cette privation avait logiquement entraîné le fait qu’il nourrissait encore plus le fantasme de regarder des chattes des femmes.
L’interdit ne faisait que titiller davantage sa curiosité et je le comprenais bien. Surtout, je trouvais ça triste que sa femme n’ose pas lui montrer cet aspect pourtant si beau de sa personne. Cette confidence est devenue un petit jeu entre nous, et je faisais souvent référence au fait de lui montrer mon sexe pour le récompenser quand il me dépannait au boulot. Ça l’amusait et ça l’intimidait à la fois.
Mais je sentais que ça le travaillait pas mal que je fasse ces plaisanteries en sa présence. Son fantasme était communicatif. Maintenant, j’avais envie de lui montrer ma chatte ! Moi qui suis sans-gêne à ce niveau-là, je voulais qu’il admire et apprécie à sa juste valeur la beauté de mon intimité. Je sentais qu’il était le genre d’hommes à être émus par la contemplation d’une vulve et cela m’attirait encore plus vers lui. Un jour, nous avons bu un verre ensemble à un after work et j’ai décidé de l’entraîner chez moi. « Viens, j’ai quelque
chose à te montrer », ai-je dit. Une fois chez moi, sans un mot, devant lui qui me déshabillait déjà du regard, j’ai enlevé mes vêtements pour me retrouver nue dans la lumière tamisée de ma chambre.
Je vole au secours de mon collègue
Je me suis étendue sur le lit. D’abord interdit, Émile s’est approché de mon corps pour l’observer de plus près. Le silence n’était pas pesant, il était sacré. Il m’a regardée presque amoureusement. Ses yeux étaient comme une caresse sur ma peau, à remonter le long de mes jambes, à s’attarder sur ma poitrine puis, enfin, à se planter dans les détails de mon sexe. À s’y perdre. J’ai écarté les cuisses pour qu’il regarde mieux. Je me suis mise à quatre pattes pour qu’il voie toute ma fente, de la vulve jusqu’au cul.
C’était une posture vraiment indécente, pour des collègues qui n’étaient pas intimes à la base. Il a regardé et il m’a demandé s’il pouvait me photographier tant il trouvait cela joli. J’ai été surprise par la demande, mais après tout, au point où j’en étais, pourquoi ne pas lui offrir cela. Et je le trouvais si tendre et respectueux que je voulais lui laisser faire tout ce qu’il voulait. J’ai ouvert le tiroir de ma table de nuit pour en sortir un gode en silicone violet transparent.
Je voulais qu’il voie mon sexe être pénétré. Il a approché son téléphone entre mes cuisses et il a filmé la progression lente et précise de l’engin dans mon sexe. Les grandes lèvres puis les petites lèvres qui s’ouvrent, tels les pétales d’une fleur effleurée par le soleil. Le liseré de poils noirs qui forme ma toison fine.
Mon collègue a fini par me baiser
La légère humidification qui perle à l’entrée du sexe sous l’effet de l’excitation de me savoir regardée et de sentir mon sextoy pénétrer en moi sous son regard suspendu à mes gestes. Je me suis godée avec, par devant et par derrière, et j’ai posé pour Émile à quatre pattes avec cet objet fiché dans ma chatte. Je menais vraiment un petit numéro de charme et je trouvais cela plaisant d’avoir un spectateur à mes propres caresses.
Il a lui-même manipulé le gode dans mon sexe avec ma permission, et il était toujours aussi fasciné par cet organe, si puissant et beau quand on sait le regarder en face. Il bougeait si bien le jouet en moi qu’il m’a fait jouir, ébloui par mon plaisir. Il a retiré le gode et s’est introduit tendrement en moi.
Sa queue était meilleure que le gode et j’ai savouré le peau-à-peau de cette étreinte. La chair de son sexe me consumait de désir, de l’intérieur. Regarder attentivement ma chatte l’avait aiguillé pour bien lui faire l’amour et s’il avait eu ce qu’il voulait, il me l’avait rendu à merveille.
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