Archi bonne
1 février 2025Je suis architecte d’intérieur et mon job consiste à me rendre chez les gens pour réaménager leur espace de vie. Je me déplace pas mal, car j’ai des clients dans toute la Bretagne. Voici mon histoire de sexe amateur.
Une embauche prometteuse
Comme mon entreprise fonctionne bien, je venais d’embaucher une associée, elle aussi architecte, pour étendre mon activité. Elle s’appelle Ilana et je dois vous avouer que, dès l’entretien d’embauche, elle m’a fait grand effet. Elle était brillante et avait un très beau CV, mais elle était aussi très classe. Elle portait un superbe tailleur veste-pantalon parfaitement découpé sur un chemisier échancré. Elle était jeune, à peine la trentaine, mais elle avait déjà une belle expérience. Notre collaboration s’est passée comme sur des roulettes et nous avons souvent été amenés à faire des déplacements ensemble pour visiter des maisons et imaginer ensemble comment les rénover.
Un jour, une femme nous a montré la demeure dont elle venait d’hériter, avec une déco un peu vieillote mais un certain cachet, qui avait des très nombreuses pièces. Nous lui avons demandé si nous pouvions passer un peu plus de temps sur place pour étudier chaque recoin de ce vaste endroit et elle nous a laissé les clés en nous disant qu’elle serait de retour dans une heure. Une fois qu’elle nous a laissé seuls, nous avons parcouru à nouveau toutes les pièces. Je trouvais Ilana assez tactile, à me toucher le bras ou à me frôler de son épaule, alors que les salles étaient suffisamment grandes pour s’y mouvoir à distance l’un de l’autre.
Dans une chambre, elle s’est assise sur un lit pour en tester le matelas en rebondissant dessus. Moi, j’étais occupé à regarder les poutres au plafond et j’étais en train de prendre des photos. Quand je me suis retourné, elle avait retiré sa chemise et se trouvait en soutien-gorge devant moi. “Tu ne veux pas faire une photo de moi aussi ? Il fait chaud, non ?” “Qu’est-ce que tu fais ?” j’ai demandé. “Oh, je m’amuse un peu… Tu ne vas pas me dire que tu n’y a jamais pensé ?” a-t-elle répondu en tapotant la place à côté d’elle pour m’inviter à m’asseoir. Ce ne serait pas bon pour le business, ai-je pensé, mais c’était trop tentant.
Une visite en profondeur
Je me suis dirigé vers elle pour m’asseoir à ses côtés. J’ai senti le doux parfum et la chaleur qui émanaient de sa peau satinée. Audacieuse, elle s’est penchée vers moi pour échanger un long baiser sensuel. J’étais bouche bée. “Je rêve de faire ça depuis le premier jour”, m’a-t-elle avoué. Je l’ai embrassée en retour et j’ai fini de la déshabiller, tandis qu’elle me débarrassait de mon pantalon et de mon caleçon. Nous étions à l’étroit sur ce petit lit et nous avons découverts nos corps respectifs avec nos bouches, allant à la rencontre de nos sexes avec une fluidité déconcertante. Je l’ai léchée et elle m’a sucé dans un même mouvement d’attraction puissante vers le corps de l’autre.
Elle m’a incité à continuer à la photographier, car cela l’excitait au plus haut point. Elle s’est allongée sur le dos pour que je la prenne. J’ai senti l’étau humide et délicieux de son intimité autour de la mienne. J’ai fait une photo de cette rencontre de nos sexes et je devais admettre que c’était autrement excitant que de photographier des poutres ou des vieilles tapisseries… Il est rare de pouvoir voir une vulve d’aussi près et j’ai apprécié de me trouver à cette hauteur-là de son intimité pour la découvrir toute entière. J’ai adoré avoir cet accès privilégié à ce sexe parfaitement ourlé et épilé.
Ilana s’est mise à quatre pattes sur la banquette pour que je la prenne dans une autre position et surtout, dans sa démarche exhibitionniste, que je puisse admirer et photographier ce magnifique postérieur en pleine action. J’en ai profité pour palper son cul, en écarter les bords, y plonger les doigts et la langue. Je l’ai caressée ainsi longuement, jusqu’à la faire frémir et la sentir trembler contre ma bouche. J’ai beaucoup apprécié la sentir lâcher prise lors de cette rencontre non-planifiée de nos muqueuses.
Je l’ai prise enfin pour jouir de concert avec elle, au milieu du vieux papier peint et des bibelots qui prenaient la poussière, et dont nous avions oublié jusqu’à l’existence.
A lire aussi :