Au garde à vous !
6 avril 2021Eude, 69 ans se foule la cheville, la belle Clarisse vient s’occuper de lui et elle sait y faire !
Je m’appelle Eude, j’ai 69 ans et je suis militaire à la retraite. Toute ma vie, j’ai plutôt été quelqu’un de solitaire. Bourru, diraient certains. L’histoire de sexe que je vais te raconter va te montrer que, comme quoi, il n’est jamais trop tard pour changer.
Un jour que je revenais du bar où je vais souvent voir les copains et taper le carton, il m’est arrivé une tuile : je me suis foulé la cheville en glissant sur un trottoir. Ça m’a fait un mal de chien, mais bon, c’était supportable. Je suis plutôt en bonne forme physique pour mon âge, j’aurais pu me débrouiller tout seul, mais mon petit-fils a insisté pour faire appel à une aide à domicile. « C’est juste pour deux semaines », m’a-t-il dit. J’ai fini par accepter.
Le soir-même, on m’a envoyé une fille du nom de Clarisse. Une rouquine un peu replète, jolie comme un cœur. La bonté se lisait sur son visage plein de taches de rousseur. Et elle était au moins deux fois plus jeune que moi…
Au bout d’une semaine, lors de sa visite du soir, elle s’est mise en cuisine pour me préparer à manger. Je regardais la télé et faisais comme si elle n’était pas là. Puis je me suis assoupi. En me réveillant, ma cheville a heurté le repose-pied et j’ai poussé un cri de douleur. « Qu’est-ce qui se passe ? », a dit Clarisse en rappliquant toute paniquée. « Rien, rien. Laissez-moi. » Elle m’a aidé à reposer ma jambe comme il faut, délicatement. C’est là qu’elle a réalisé ce que j’avais essayé de cacher depuis le début : elle me faisait bander.
J’ai rougi. La rousse a continué à reluquer la bosse dans mon pantalon. Ma jambe (et ma queue !) me lançait et j’ai fait une grimace. « Attendez, je vais m’occuper de vous. » Clarisse a enlevé mon bandage pour m’appliquer une crème, puis a fait d’une voix douce : « Voilà, ça ira mieux comme ça. » Après avoir massé ma jambe, elle est remontée petit à petit. Mon érection était toujours là, sous son nez à présent.
J’avais honte, mais je ne voulais pas qu’elle arrête… Elle non plus, apparemment ! J’ai entendu l’aide à domicile dire : « Je vais essayer autre chose pour vous détendre. » Et elle a déboutonné un peu sa blouse pour me montrer son corsage. Ses seins étaient splendides… Elle ne s’est pas arrêtée en si bon chemin.
En fouillant dans mon pantalon, Clarisse est venue trouver ma verge. Sa main était douce et onctueuse de crème.
Elle s’est mise à m’astiquer de plus en plus vite, en se léchant les lèvres comme une gourmande et en touchant le bord de son décolleté du bout de ses doigts. J’ai joui partout sur mon pantalon dans un gros râle, après seulement 2 minutes de branlette… Clarisse a poursuivi ses caresses, cette fois-ci sur mes couilles, en murmurant « Voilà, voilà. » D’un coup, je me suis senti humilié. Alors je l’ai foutue dehors en criant : « Laissez-moi en paix ! » Elle est partie, rouge et toute vexée.
Les jours suivants, elle est revenue. Elle m’a fait à bouffer en me jetant presque l’assiette au visage… Bonjour l’ambiance. Puis, un matin, alors qu’elle m’aidait à m’habiller dans ma chambre, j’ai été pris d’une crampe effroyable. La colère de la belle a fondu d’un coup : elle s’est ruée sur moi pour me soulager. « Vous pouvez me masser comme la dernière fois ? », ai-je dit d’une petite voix. « D’accord, mais vous ne faites pas votre tête de cochon comme la dernière fois, hein ? » J’ai opiné du chef et la rouquine s’est mise au travail.
Dressé tout droit comme un bon militaire dans sa main douce, je me suis senti plus à l’aise que la dernière fois. J’ai juste fermé les yeux pendant que Clarisse me masturbait, profitant de chacun de ses mouvements du poignet… « Vous êtes vraiment dur, Eude », a-t-elle susurré.
Et là, sans me prévenir, elle a enfourné mon mandrin dans sa bouche jusqu’à la garde.
La présence d’une queue entre ses lèvres l’a apparemment beaucoup excitée, puisqu’elle a fini par monter sur moi, écartant les pans de sa jupe et dévoilant un sexe laiteux décoré de poils roux. Elle sentait bon la femelle… En tenant fermement ma queue par la base, elle se l’est enfoncée dans la vulve. Elle mouillait beaucoup. Là, j’ai senti son gros cul balloter de plus en plus vite contre mes cuisses pendant qu’elle me baisait… J’ai ouvert sa blouse et j’ai commencé à peloter ses seins aux larges aréoles rosées. « Oh, Monsieur Eude, oui ! », a-t-elle couiné. J’ai pincé ses tétasses entre le pouce et l’index. Elles étaient dures à présent…
C’est alors que Clarisse a attrapé mes mains pour les poser sur son cul. J’ai palpé, puis j’ai glissé petit à petit vers son petit trou, que j’ai pénétré de mon index plié en crochet… Ça l’a fait jouir immédiatement ! La rousse s’est alors relevée et m’a demandé d’étaler son jus de chatte entre ses seins. Ensuite, elle a pris ma queue et a commencé à la branler entre ses grosses loches. J’ai joui partout sur ses taches de rousseur. « Alors, ça va mieux votre crampe, Monsieur Eude ? » Quand elle m’a dit ça, je n’ai pu que rigoler. Quelle canaille !
Mon petit-fils est venu me rendre visite quelques jours plus tard. Il a trouvé qu’il y avait du changement, que j’étais de meilleure humeur. « C’est la jolie petite aide à domicile qui te met en joie comme ça ? » J’ai tourné le visage vers la télé en râlant, pour ne pas lui montrer que je rougissais. Mais j’ai souri intérieurement.
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