Le service militaire ? Un jeu d’enfant

La rédaction 18 février 2021

Serge, était moniteur dans l’armée de l’air, entourée de jolies élèves, il se laisse aller avec l’une d’entre elle.

A l’époque, je faisais mon service militaire dans l’armée de l’air comme moniteur d’auto-école, c’est à ce moment de ma vie que se déroule cette histoire de sexe. 

Mes élèves pouvaient faire autant de leçons que nécessaire et le major jouait à « l’examinateur » quand je le lui demandais. Autant dire que tout dépendait de moi. Grâce aux engagés, j’avais beaucoup d’élèves femmes. Les occasions n’ont pas manqué ! Je me souviens de Christine (sergent-chef) qui a tenu à m’inviter à l’apéritif dans son logement de fonction. Elle n’a pas tardé à être « pompette » et, à force de chahut sur son canapé, son chemisier s’est très largement dégrafé.

Moi, je ne me privais pas de balader mes mains partout sur elle. Sa jupe était plus que remontée et sa culotte n’avait plus de secrets pour moi. Elle se laissait peloter en gloussant et en racontant n’importe quoi ! Bourrée ! Mais consciente, elle m’a quand même dit : « Va être tout chiffonné mon uniforme !Vaut mieux que tu l’enlèves alors. » Quand elle s’est retrouvée en culotte et soutien-gorge, je n’ai pas hésité longtemps (il faut dire que nous avions presque 20 ans d’écart). Je lui ai mis les seins à l’air et j’ai plongé la main dans sa culotte… que j’ai fini par enlever. C’est alors qu’elle m’a dit : « Si je suis à poil, toi aussi ! » Aussitôt dit, aussitôt fait ! J’ai mis ma queue en face de sa bouche et je lui ai dit de me sucer.

Elle s’est jetée dessus comme une gloutonne pour me pomper à mort. Je l’ai couchée sur la moquette avant d’écarter ses cuisses et de la prendre à grands coups de queue. Puis je l’ai mise à quatre pattes et je l’ai bourrée en levrette avant de pointer mon dard sur son petit trou. J’ai cru comprendre qu’elle disait : « Dans le cul ! » Son voeu a été exaucé… (Plus tard elle me dira : « Quand je me fais enculer en étant bourrée, j’ai même pas mal ! » Faudra que j’y pense…) Chaque fois que je la baisais, c’était comme ça, à grands coups, à la sauvage, comme une chienne ! Elle, elle se faisait baiser par un petit jeune qui pouvait être son fils… C’est ça une cougar ? À l’époque je ne connaissais pas le mot…

Il y a aussi eu Sylvette. Elle, elle aimait faire l’amour en plein air, dans la forêt, se retrouver à poil sur un chemin et se faire prendre appuyée contre un arbre. Le seul problème : même si la forêt (toujours à l’intérieur de la base aérienne) était immense, autour des pistes, nous étions dans une enceinte sécurisée, donc il y avait toujours des patrouilles en 4×4 ou des commandos à l’entraînement « camouflage ». Sans compter les unités à l’instruction ou les tours de guet et leurs jumelles… Elle adorait le risque de se faire surprendre. Exhibitionniste ! Une ou deux fois ça a failli, d’ailleurs. Mais peut-être même qu’on a été vus par des gars à notre insu ?

Et Sandrine, tiens ! Elle, elle allait être mutée sans avoir reçu assez de leçons, et elle risquait donc de perdre le bénéfice du permis de conduire. J’ai sauté plusieurs repas et plusieurs pauses pour qu’elle puisse le passer avant de partir. Elle m’a invité au restaurant, puis on a fait une balade. Nous étions en juillet, il était environ une heure du matin. Elle a arrêté la voiture dans un endroit isolé, elle est descendue du véhicule et elle m’a dit : « Voilà ta récompense. » Elle a passé ses mains dans son dos, a déboutonné sa robe qui est tombée au sol, puis me fixant du regard elle a dégrafé son soutif, puis elle m’a dit : « Je te laisse terminer ! » J’ai passé mes doigts dans sa culotte pour la tirer vers le bas et je l’ai mise dans ma poche en souvenir. Elle m’a déshabillé à mon tour et pendant qu’elle plongeait la main dans mon caleçon elle m’a dit « J’adore sucer ! » Moi qui la croyais plutôt « coincée » dans son uniforme, voire même un peu prude, j’ai découvert une femme aimant jouer de son corps et de celui des hommes. J’ai profité de sa bouche (elle adorait le goût du sperme), de sa chatte et de son petit trou. Ce n’était pas trop « son truc » mais elle m’a laissé faire en disant : « Je te dois bien ça ! »

Je n’oublierai pas non plus Sylvie, grande blonde, très bourgeoise, à la cambrure de reins incendiaire ! Elle aussi allait être mutée sans avoir le temps de finir de passer le permis. Elle voulait me payer, ce que j’ai refusé évidemment. « Alors un cadeau ? » Mais cela revenait au même… Nous étions dans le bureau, tout le monde était parti, lorsqu’elle me dit : « Je ne sais pas, quelque chose qui te ferait plaisir ? » Je me suis lancé, au culot, je lui ai dit : « Ce qui me ferait plaisir, c’est de te voir nue ! » Un silence s’est installé… Elle est restée interloquée, puis après un long moment, elle a lancé des regards de tous les côtés, elle a attendu encore un peu et elle a porté les mains sur son chemisier qu’elle a déboutonné, enlevé et posé sur le bureau. Elle a dégrafé sa jupe qui est tombée au sol. Elle portait un string d’enfer qui laissait deviner une petite touffe par transparence. Elle m’a regardé: « Voilà, c’est fait. » Je lui ai fait signe qu’il fallait tout enlever. Elle a marqué un temps d’arrêt, puis elle a fait tomber son soutien-gorge. Encore un temps d’arrêt et dans un soupir, elle a enlevé son string, elle était à poil dans le bureau.

Je me suis levé et j’en ai fait le tour en la détaillant avec insistance. Elle regardait devant elle, fixement ; « Mazette, ce cul que tu as ! » Elle n’a rien dit. Je l’ai fait se pencher sur le bureau en lui faisant écarter les jambes, je lui ai caressé directement la chatte et j’ai remonté ma main dans le sillon des fesses en insistant un peu sur son œillet. Comme elle se laissait faire, j’ai déboutonné mon pantalon et ma queue a remplacé mes doigts. Je l’ai prise en levrette sur le bureau. Elle couinait en tendant ses fesses pour se faire prendre encore plus profond. Pendant que ma queue garnissait sa chatte, je lui doigtais le petit trou, ce qui la faisait se cabrer encore plus. Elle aussi, elle est repartie « cul nu » sous sa jupe. Son string a rejoint ma collection !

J’ai d’ailleurs remarqué que les femmes contraintes de porter l’uniforme (plus ou moins féminin) se vengeaient en donnant libre cours à leur fantaisie pour les sous-vêtements. C’était souvent « très chaud ». Plusieurs me l’ont confirmé, c’était leur façon de s’éclater. Si on savait ce qu’il y a sous l’uniforme, la température monterait encore d’un cran dans les casernes. Et encore… quand il y a une culotte !

(Photo à la une : Getty Images)

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