Une blonde qui brunit au soleil

La rédaction 8 octobre 2025
Nous avions tout prévu avec mon épouse pour les vacances d’août dernier, sauf l’annulation de ses congés qui a tout fichu par terre, enfin … presque. Je suis parti en célibataire du côté de Sète avec la recommandation de ma femme « Amuse-toi bien mon chaton, tu as ma bénédiction pour … faire ce que tu veux ! Mais attention, tu me racontes tout et si tu rapportes des photos, ce sera encore mieux ! » Je n’étais pas sûr d’avoir bien compris, mais dès mon arrivée, j’ai repéré une magnifique blonde sur la plage, elle était seule, je me suis allongé non loin et j’ai commencé à lire. Incroyable, la demoiselle était absorbée dans le même roman que moi, situation idéale pour engager la conversation, celle-ci s’est poursuivie autour d’un verre pour finir dans sa chambre. Voici mon histoire de sexe érotique !

Une très bonne suceuse

J’avais déjà photographié Ondine à son insu sur le sable, j’avais de suite adoré ses seins, sa nudité intégrale était à couper le souffle, alors quand elle s’est penchée sur ma queue pour la mettre dans sa bouche en me proposant très mutine « Et bien ? Ne sois pas timide, continue à me prendre en photo, ça m’exciterait plutôt ! », elle a remué son petit cul parfait sur lequel j’avais une vue rêvée et elle a entamé une pipe absolument divine. Ma bite s’est transformée en cornet de glace. Je regardai, ravi et parcouru de frissons, la langue d’Ondine s’enrouler autour de mon gland, ses lèvres en épouser idéalement les contours, sa gorge l’accueillir bien au chaud. J’étais tellement exalté par le fait de me faire sucer par une si jolie jeune femme et par son talent que je me suis abandonné en criant. J’étais honteux de m’être laissé aller aussi rapidement, mais Ondine a avalé tout mon sperme en souriant et a continué de me pomper afin que je conserve mon érection.
J’ai caressé ses seins, sa poitrine était douce et chaude sous mes mains, ses aréoles sombres aux tétons piercés étaient très réactives et elle a commencé à feuler tout en me disant qu’elle mouillait, m’encourageant à poursuivre en attendant de la prendre. J’ai profité encore quelques instants de cette manne sensuelle, de ces deux obus magnifiques avant qu’elle ne s’allonge et écarte les jambes. J’en ai balancé mon téléphone tellement j’ai trouvé son sexe de toute beauté. Je me suis penché dessus avec déférence, son parfum oscillait entre iode maritime et fragrances féminines. J’ai osé une langue imperceptible à l’orée de ce trésor. De nouveau, des gémissements plus forts ont accompagné mon geste, je me suis enhardi et ai plongé dans la nacre rose et humide. Le goût était marqué, le sel a empli ma bouche de salive qui, mélangée à la mienne, a donné un cocktail qui a bientôt envahi toute la fente ainsi que le petit trou du cul.

Partie sérrée

Quelques digitales incursions plus tard, je répondais à son appel redondant et lui enfonçait ma bite au plus profond de ses moiteurs serrées. Je l’ai pilonnée doucement tout en lui aspirant les aréoles, attentif à ses réactions. Ondine a abaissé ses paupières et s’est laissée portée, m’encourageant à la pénétrer plus fort, plus loin. J’ai fini par lui asséner de véritables coups de massue, son beau cul claquait, sa mouille éclaboussait partout, elle est partie dans un orgasme surréaliste, les yeux révulsés, les jambes tremblantes pendant un long moment, une extase comme je n’en avais jamais vue précédemment.
De mon côté, j’étais encore très en forme. Ondine a savouré mon regard brillant lorsqu’elle m’a repris en bouche. Elle a lapé ma hampe et mes bourses avant de s’offrir de nouveau à moi en levrette. Fort de mes premières caresses acceptées sur sa rondelle, j’ai enfilé ma queue dans son vagin et en ai profité pour taquiner son œillet avec mon pouce qui est bientôt entré dans le canal étroit. Je l’ai limée longtemps, les pupilles rivées sur mon doigt qui forçait et élargissait ce trou dont je rêvais. Ma patience a payé car ellle m’a invité à y mettre ma bite en écartant ses petites fesses de ses mains afin de me faciliter les choses.
Mon gland est très vite sorti de là où il était, j’ai badigeonné son anus de salive et la sodomie qui s’en est suivie a dépassé toutes mes attentes. Son anneau s’est refermé sensuellement autour de ma colonne, je tenais ses globes ouverts tout en impulsant de forts coups de reins pour l’enculer aussi profondément que possible. Ses petits seins semblaient vivants et bougeaient au rythme de mes pénétrations. Elle a joui alors que j’étais bien fiché en elle. Son cul s’est contracté et tout son corps s’est crispé, emporté par un nouvel orgasme, j’ai giclé juste après. Les vacances commençaient bien !
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