La queue au palace !
11 mars 2022Farida est masseuse dans un palace. Devant la queue massive monsieur Charles, l’esthéticienne se transforme en actrice porno le temps d’un massage érotique
Je ne suis pas attirée par les hommes virils en général. J’aime les garçons sensibles, qui ne renient pas la féminité qu’ils ont en eux. Avec monsieur Charles, c’est différent. Grand, tatoué, poilu, une voix de baryton mais aussi un magnétisme, un charisme qui ne laissent pas de place au « non » chez ses interlocuteurs.
Il est un client du palace dans lequel je travaille. Comme tous les hôtels de ce standing, une large gamme de services est à disposition des résidents. Dont ceux d’un salon d’esthétique où je suis employée et où j’ai rencontré ce gentleman irrésistible.
Un massage coquin
C’est lors d’un massage que tout a commencé. Il m’attendait en tenue d’Adam, avec ce petit string en papier ridicule qui ne faisait que souligner le volume hors norme de sa virilité. Je lui ai demandé quels étaient ses desiderata, un palpé doux ou plus soutenu, les zones à éviter ou, au contraire, celles à cibler tout particulièrement.
La réponse est tombée comme un couperet « Puisque je suis nu, pourquoi ne le seriez-vous pas aussi ? »
Jamais je n’aurais accepté cette requête, de quiconque, pourquoi ai-je dit oui à monsieur Charles ? Le mystère de l’alchimie foudroyante entre deux êtres.
Quelques minutes plus tard, j’étais dans le plus simple appareil. Juste vêtue de ma culotte, il a arraché son ersatz de slip et j’ai enlevé mon dernier rempart.
Il s’est allongé sur le ventre et j’ai commencé à le masser, entièrement nue. Il poussait de petits soupirs de satisfaction lorsque mes mains touchaient un endroit sensible. A chaque fois que mon corps était à portée de ses doigts, je le sentais me découvrir à l’aveugle. Son visage enfoui dans la têtière.
Juste de la pulpe, il parcourait mes courbes, sans jamais se focaliser sur mes parties intimes, non, c’était plutôt là une exploration. Un premier contact charnel, aussi doux que respectueux, mais érotique à l’extrême.
Séance photo torride
Nous sommes arrivés à l’instant fatidique où je lui ai demandé de se retourner. Je redoutais autant que j’espérais le découvrir en érection. Je n’ai pas été déçue ! Un mastard se dressait entre ses cuisses, large, grand, légèrement veiné et s’élançant au milieu d’un pubis noir et rasé très court.
Je n’ai pas résisté longtemps, je devais me l’avouer, j’avais envie de cette queue ! Cet homme était un aimant ! Ma foune s’est liquéfiée dans l’instant et j’ai attrapé ce que je pouvais de l’énorme hampe dans ma paume. Je l’ai porté ma bouche à hauteur de son gland.
Il ruisselait d’un désir piquant et diffusait une huile salée sur ma langue. Je salivais beaucoup lorsque monsieur Charles a commencé à s’amuser avec mes piercings. Comme on le voit sur les photos qu’il a prises de nous, j’en ai au nombril et sur chacun de mes tétons.
Mon point sensible en plus de mon clito ? Mes seins ! J’adore qu’un homme les attrape à pleine main, qu’il joue avec, qu’il les malaxe avec douceur et qu’il taquine mes mamelons délicats. J’ai mouillé de plus belle et il a entrepris de me doigter la chatte. Il s’aventurait juste à l’entrée de mon vagin, agaçait mon bourgeon. Je n’en pouvais plus, sa bite entre mes lèvres, je voulais le sentir en moi. Il m’a invitée à le chevaucher, ça tombait bien, j’ai toujours préféré dominer et être dessus !
Salon esthéti- queue
Je l’ai enfourché avec détermination. Ainsi nu et à me merci, il gardait une aura sexuelle intense. Je n’ai même pas eu besoin de guider sa queue en moi. Nous nous sommes imbriqués naturellement, d’un coup. Son épée a fendu mes chairs, déchirant ma cicatrice collante de cyprine, s’enfonçant au bout de moi.
Quel choc ! Je n’ai plus bougé un instant puis il a commencé à imprimer des ondulations à son bassin. Trop bon ! Les mains sur mes fesses, je sentais les picots de sa barbe pubienne agacer mon bouton, son membre emplissait ma chatte. Il me tripotait l’anus tout en me suçant les bouts de seins.
J’ai eu mon premier orgasme ainsi. C’est arrivé comme ça, sans prévenir. Moi qui sous plutôt peine à jouir et qui réclame à mes amants de longs préliminaires et d’interminables cunnis pour décoller, là où tous les autres avaient échoué, monsieur Charles m’avait fait venir quasi sans rien faire. La tension sexuelle était à son comble, je lui ai donné tout ce qu’il désirait. Ma chatte, mon petit anneau, mes seins pour le branler jusqu’à ce qu’il m’éjacule à la figure.
Une queue et bien plus encore
Inépuisable, lui qui devait ne passer que quelques jours s’est installé plus de deux semaines, je lui prodiguais désormais mes bons soins « esthétiques » dans sa chambre et non plus à l’institut.
Il était talentueux pour me faire faire absolument tout ce qu’il voulait : prendre des poses charmantes ou carrément pornographiques, me pousser à me masturber devant lui, je devais, à cette occasion, ouvrir mes trous au maximum et le laisser me gicler dedans, j’ai même vécu ma première expérience lesbienne, avec une des gouvernantes qu’il baisait également. J’ai tellement aimé lécher cette fente brillante de sécrétions poivrées.
Depuis, certains clients envoyés par monsieur Charles ont, eux aussi, droit à un room service… un peu particulier.
(Source image à la une : Shutterstock)
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