Le bonheur d’être soumis

La rédaction 24 août 2019

Jean-benoît, 36 ans.

Je suis une femme dans un corps d’homme. J’aime m’habiller en petite pute et me promener dans des lieux insolites, vêtu ainsi. J’ai rencontré un couple, Joëlle et Éric, qui m’ont invité chez eux, et je suis devenu leur esclave. J’ai dû servir l’apéro habillé en jupe courte, bas résille, hauts talons, avec une perruque et du maquillage. À chaque fois que je devais me pencher en avant – et je ne manquais pas d’en trouver l’occasion –, la femme me caressait les fesses. J’ai dû sucer son mari et, pendant que je me régalais de sa queue, sa compagne est allée chercher un gode-ceinture. Elle est revenue, harnachée. Dans le sous-sol de leur maison, ils avaient installé un véritable petit donjon où ils m’ont traîné avant de m’attacher à une croix de Saint-André, de dos, le visage contre le mur. La femme m’a enduit le trou du cul de crème lubrifiante et m’a enfoncé quelques doigts dans le fondement pour bien me préparer à encaisser son engin. Elle m’a enfilé. Pendant ce temps, je pouvais apercevoir, derrière moi, son mec qui se paluchait. À ce moment, je me sentais vraiment une femme dans mon corps.

Tout à coup, j’ai entendu des bruits au rez-de-chaussée. Ça n’a pas eu l’air d’étonner Joëlle et Éric. C’était un coup monté, ils avaient invité des gens pour me mater, ai-je alors supposé, mais aussi certainement pour m’humilier ! Trois couples ont descendu les escaliers et ont pouffé en me voyant le cul empalé, attaché à une croix. J’avais honte mais ça m’excitait. D’ailleurs, je bandais dur. Les filles se sont déshabillées, et se sont passé le gode-ceinture pour m’enfiler l’une après l’autre. Les maris, très émoustillés par le spectacle, se branlaient. Mon anus était un cratère brûlant, d’où coulait une crème sale. Je m’étais tellement fait défoncer qu’il restait ouvert, prêt à encaisser encore et encore, insensibilisé à force de frottements et de coups de boutoirs.

Quand les mecs ont eu envie de jouir, les filles m’ont détaché, m’ont obligé à me mettre à quatre pattes sur le sol en ciment de la cave. Ils se sont branlés devant mon visage, me demandant d’ouvrir la bouche, et m’ont envoyé au fond de la gorge de grandes rasades de sperme. C’était la première fois que j’avais du foutre, quel bonheur ! Je me suis senti vraiment salope. J’ai servi le repas, en bas résille et string, tout le monde me caressait le cul. À la fin du dîner, pour me remercier de mes services, les mecs m’ont défoncé, les uns après les autres. Quelle soirée ! Mon anus a mis au moins une semaine à s’en remettre ! Je n’ai jamais revu ce couple, malheureusement. À ce jour, j’aimerais faire d’autres rencontres. Et surtout, j’espère me transformer vraiment en femme. Pour cela, il faudrait que je rencontre quelqu’un qui m’accompagne dans mon changement de sexe.

(Photo à la une : Getty Images)

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Défi et gang bang !

« J’étais jambes écartées, toujours debout sur la table. Il y avait même une tête sous ma jupe !  Ils savaient que je venais pour ça, que j’étais une fille facile. Je commençais à trouver ce jeu très excitant. Le chef a demandé à un des gars de fermer la porte à clef. Là, j’étais sûre que j’allais prendre cher. » Valérie.

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« En un rien de temps, Nath s’est retrouvée entourée des neuf hommes qui ont profité de son corps. Elle a été caressée, léchée, embrassée par toutes ces mains, par toutes ces bouches. Je l’entendais gémir de plus en plus fort. Quand je me suis rapproché, j’ai vu ma femme qui se faisait enfoncer des doigts dans chaque trou. » Vincent.

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Ils ont poussé le petit rideau rouge pour voir ce qui s’y cachait derrière et laisser libre cours à leurs envies les plus folles. Qu’ils ouvrent la porte d’une boutique aux allures d’antre du BDSM, qu’ils pénètrent dans un love hôtel situé au cœur d’un sex-shop ou bien encore qu’ils visitent pour la première fois un club libertin de la région parisienne, nos tourtereaux n’ont décidément pas froid aux yeux ! Dans ces lieux qui hument bon le sexe et l’assouvissement des fantasmes les plus troublants, ces couples vont bien vite dépasser leurs limites, poussés par un décorum pour le moins propice. Allez, entrez vous aussi !


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