Inépuisable soumise

La rédaction 19 avril 2021

Marco, 42 ans trouve une compagne de jeu sur un site de rencontre. La belle a des fantasmes SM qu’elle entend bien assouvir.

Je suis quelqu’un d’assez volage et j’étais à la recherche d’une partenaire pour du sexe.

Un soir, je scrollais sur les applis de rencontres, mais personne ne me faisait envie, je trouvais les filles fadasses. Je voulais une vraie coquine, qui ait des fantasmes singuliers. C’est alors qu’un profil a retenu mon attention. C’était celui de Samantha, une blonde belle gosse qui devait avoir la trentaine et qui avait noté sur son profil “fétiches et BDSM bienvenus”. Nous avons matché tous les deux et nous sommes passés en messages privés pour discuter. Je vous raconte notre histoire de sexe.

Elle m’a raconté qu’elle était mariée et qu’elle n’arrivait pas à partager ses fantasmes avec son mari, alors qu’elle voulait s’amuser et aller voir du côté du SM et de la soumission en particulier. Elle s’était déjà acheté des trucs, des cordes et des bracelets de contention en cuir pour les poignets, qu’elle cachait sous son lit. Nous sommes passés en visio et elle me les a montrés. Moi, j’ai surtout arrêté mon regard sur son visage. Elle était à tomber, une femme magnifique avec une belle taille, un beau corps, la peau pâle, des cheveux très clairs. Je lui ai dit que j’étais prêt à satisfaire tous ses désirs. Alors, nous avons décidé de nous voir en cachette du mari. J’adorais son côté “mauvaise femme” qui faisait des bêtises en douce.

Elle est venue chez moi et nous avons fait connaissance. Après nous être détendus avec un verre de vin, elle m’a tendu une petite mallette qu’elle avait amenée. Il y avait là des sextoys, une corde. J’étais chaud bouillant ! Comme convenu lors de nos échanges, je lui ai ordonné de se foutre à poil. Nue sur mon lit – non mais quelle beauté ! – elle a reçu un premier gode dans sa chatte pour l’échauffer tout doucement. J’ai vu ses cuisses frissonner quand j’ai introduit le jouet entre ses lèvres.

Elle était déjà tout feu tout flamme et elle en redemandait ! Je l’ai godée en lui racontant des trucs salaces tout en lui donnant quelques petites claques sur le cul au passage et elle avait l’air de bien kiffer. Ensuite, je l’ai fait mettre à quatre pattes pour me sucer avec son gode toujours planté dans la chatte. Elle était belle, tellement docile… et puissante en même temps, par l’affirmation de son désir. Elle m’a pompé et j’adorais la voir dans cette posture, à me faire du bien, avec autant de prévenance. Ensuite, elle s’est allongée contre le lit pour recevoir un autre petit jouet dans son joli cul rond et blanc. J’y ai enfoncé un plug à strass avec une sorte de diamant. Tout du long, elle m’a autorisé à prendre des photos car je voulais garder une trace de cette aventure pour la partager avec vous !

Son cul était ravissant, serti de ce diamant qui lui rentrait dans le lard. Elle l’a même manœuvré elle-même pour le ressentir au plus près et goûter aux sensations fortes qu’elle recherchait. Elle dandinait ses fesses avec entrain et se prenait de temps à autre une fessée bien placée qui lui laissait une marque cuisante. Châtiment qu’elle avait l’air d’adorer, soit dit en passant.
Nous avons continué le petit jeu et je l’ai encordée.

Je lui ai mis les bracelets de contention et j’ai fait passer la corde noire autour de ses cuisses et de ses mains, de sorte qu’elle soit réduite à l’immobilité. Et, petit plaisir de ma part, je l’ai fait passer dans la raie de son cul de sorte que la corde sépare les deux rives de son corps et traverse son dos pour venir s’entrelacer aux mains. Elle était captive, la petite chaudasse ! Elle bougeait avec les cordes, comme pour sentir leur frottement encore plus fort dans son cul. Nous avions le temps, alors j’ai tenté un autre truc en lui nouant les mains les pieds ensemble, sous elle.

Elle était agenouillée, poitrine contre le lit, cul en l’air, pieds et mains prisonniers, et la corde s’enroulait aussi autour de son cou. Comme ses deux orifices avaient été bien préparés grâce aux jouets, je les ai retirés et j’ai baisé sa chatte sans ménagement, puis je suis passé à son trou du cul qui était tout aussi délicieux. J’ai vraiment kiffé la prendre dans tous les sens alors qu’elle était entravée et que ses gémissements démontraient qu’elle aussi prenait du bon temps.

Je l’ai dénouée pour qu’elle puisse bouger en même temps que moi. Elle, toujours à genoux, orifices déployés, moi debout contre le lit, j’ai baisé tour à tour sa chatte et son cul dans un moment où nous avons abandonné toute forme de courtoisie. Et bam, et tiens, et oh, et vas-y prend ça ! Elle était comme une furie et son cul à la peau étincelante me faisait bander comme un taureau, jusqu’à vider ma queue de toute munition en déchargeant en elle. Quel sacré coup ! Inépuisable ! Ce n’était pas son mari coincé qui allait lui donner pareille satisfaction ! Elle m’a dit seulement après son vrai prénom, Adèle, et depuis cette mystérieuse et folle rencontre, Adèle hante mes nuits.

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