Ça se corse en Corse
9 octobre 2025
Coucou les interstron.ruistes ! Je suis aujourd’hui une femme rangée des voitures. Monogame, assez sage côté plumard… même si je lis interstron.ru pour pimenter ma vie sexuelle avec mon mec ! J’ai aussi quelques souvenirs brûlants en magasin. Un été reste particulièrement gravé dans ma mémoire… Voici mon histoire de sexe érotique !
Trio de vacances
J’avais 21 ans, j’étais libre et fougueuse, rien ne me semblait interdit. Cette année-là, avec Pauline, ma coloc’ de l’époque, on décide de partir en Corse. Rien de très planifié : un vol low-cost, deux valises trop pleines et un appartement loué sur une petite annonce à l’ancienne. On pensait être tranquilles, entre filles. Plage, randos, baignades seins nus… Mais à notre arrivée, surprise : le petit appart’ était déjà occupé par un jeune homme ! Félix, 23 ans, le petit-fils de la logeuse, qui s’était mal débrouillé avec son billet de retour et devait squatter là encore deux bonnes semaines. On l’a découvert en train d’installer un ventilateur dans le salon, torse-nu, visiblement aussi gêné que nous. Il a bafouillé qu’il n’était pas au courant de notre venue, que sa grand-mère avait dû oublier de le prévenir… Mais Pauline, jolie brune aussi piquante que directe, a tranché : « Oh, t’en fais pas ! C’est pas grand, mais on se serrera. »
Et c’est comme ça que Félix, le garçon timide et un peu dans la lune, s’est retrouvé à cohabiter avec deux filles assez délurées. Les premiers jours, il est resté discret. Il sortait le matin, rentrait tard, évitait le salon quand on traînait en maillot, nos jambes nues relevées sur le dossier du canapé. Mais peu à peu, l’ambiance s’est détendue. Il nous a aidées à porter nos sacs de plage dans l’escalier, a partagé des bières, nous a conseillé des criques bien planquées. On sentait qu’il nous observait, et même, qu’il luttait contre des envies mal dissimulées. Un soir, l’électricité a sauté. Alors on a allumé des bougies, ouvert une bouteille de rosé et Pauline a sorti un jeu de cartes pour chauffer un peu l’ambiance. Gages, confidences, effeuillages… Tout le monde a joué le jeu, même Félix, d’abord hésitant, mais qui s’est peu à peu détendu. Surtout quand Pauline a osé lui demander quel était son endroit préféré pour être embrassé. Il a rougi, puis a murmuré : « Derrière les oreilles… et entre les cuisses. » On a éclaté de rire. Mais à la lumière des bougies, nos regards se sont mis à briller. Quelques minutes plus tard, ça a été à moi de relever un défi : « embrasser quelqu’un comme dans un film ». Je n’ai pas réfléchi. Je me suis approchée de Félix, je l’ai pris doucement par la nuque et je l’ai embrassé sensuellement, avec la langue. Quand j’ai reculé, Pauline s’est levée à son tour et l’a embrassé aussi, plus mordante, plus directe.
plan à trois
À partir de là, le jeu s’est arrêté pour laisser place à une nuit sans aucune règle. On s’est tous les trois dirigés vers le matelas du salon. Au début, nos corps se sont cherchés, nous nous sommes effleurés un peu maladroitement. Puis Pauline a pris les choses en main. J’ai senti ses doigts sous mon t-shirt, puis elle a commencé à caresser ma poitrine. Elle est ensuite passée à Félix, qu’elle a embrassé à pleine bouche en faisant remonter sa main contre ses cuisses, jusqu’à son sexe qui bandait dur. On s’est déshabillés, de moins en moins embarrassés et de plus en plus libérés. Félix a tendu le bras vers son appareil photo et a tout immortalisé. Pauline et moi en train de nous embrasser, de nous toucher, de faire l’amour pour la première fois entre fille. Puis nos deux bouches qui se relayaient pour sucer notre compagnon, une activité qui nous a excitées autant que lui ! Les rires et les soupirs remplissaient le petit salon pendant qu’on s’abandonnait tous les trois, dans une bulle douce et moite.
Les jours suivants, nous avons loué des scooters pour explorer les environs. Dans les criques sauvages, nous avons fait l’amour à nouveau, parfois Félix et moi sous le regard de Pauline, parfois, elle et moi tandis que Félix se caressait, mais aussi tous ensemble, emboîtés, transpirants, riant sous le soleil d’août, plus légers que jamais. Je n’ai qu’une photo prise par Pauline de ces doux moments. Mais les images sont bien là, dans ma tête.
Quand on est repartis, nos valises étaient pleines de sable, de coquillages glanés dans les criques et de souvenirs plus chauds que l’été. Je n’ai jamais revu Félix. Pauline et moi, on s’est perdues de vue quelques années plus tard, sans drame. Mais parfois, quand je ferme les yeux, je revois les vagues translucides et j’entends nos souffles courts.
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