À la fermeture du bar
11 juin 2023Alain, 38 ans, nous partage une histoire de sexe qui l’a bien conforté. Habitué d’un bar, il flirte avec la serveuse mariée, qui à la fermeture va lui offrir une partie de jambe en l’air.
Je m’appelle Alain, j’ai 38 ans et je dois absolument partager mon histoire de sexe !
C’était un jeudi soir, je sortais du boulot et ce n’était pas la grande forme. Je suis divorcé depuis peu de temps et, le soir venu, je me sens souvent désœuvré et déprimé. Je trompe la tristesse en allant dans des bars. C’est d’une banalité… J’ai un café de prédilection et pour cause : la serveuse est canon et affectueuse. C’est une femme de 40 ans pleine d’assurance et de sensualité. Elle me cajole, elle a toujours un petit mot, une petite attention… Elle m’offre souvent le dernier verre avant de rentrer me coucher. Elle est mariée au patron, un gros bonhomme un peu passif qui n’est pas souvent présent.
La serveuse cajoleuse
Ce soir-là, je me suis dirigé dans mon troquet habituel et j’ai souri en la voyant. Rien que de regarder ses hanches amples dans sa petite robe noire, ses boucles brunes et ses yeux sombres et là, je suis réconforté. Je me suis assis en terrasse et elle a pris ma commande. Elle m’a fait ses amabilités habituelles et m’a décoché un petit clin d’œil.
De façon un peu inexplicable, elle était dans le flirt, plus aguicheuse que d’habitude. Son mec n’était pas dans les parages. Quand elle m’a apporté mon verre, elle s’est bien penchée et j’avais une vue plongeante sur sa poitrine. J’ai eu l’impression qu’elle le faisait exprès et je me suis tout de suite mis à bander. Elle passait souvent à côté de ma table et son cul frôlait presque mon épaule à chaque fois. Peu avant l’heure de la fermeture, elle s’est assise à côté de moi pour papoter un peu. Elle croisait et décroisait les jambes, touchait ses cheveux en m’adressant toujours ses adorables sourires. On a parlé de mon ex-femme, de boulot… Elle arrivait à me faire marrer malgré ma morosité.
Le bar avait été déserté. Elle a commencé à rentrer les tables et je lui ai donné un coup de main. Une fois que tout était rangé, on s’est retrouvés devant la porte, prêts à baisser le rideau. Mais au moment où elle s’apprêtait à faire le geste, on s’est regardés. Elle m’a souri et elle m’a embrassé très doucement. Je n’ai pas trop réfléchi et je l’ai poussée à l’intérieur. On a claqué la porte et fermé à clef. Elle s’est accrochée à mon cou et elle m’a donné sa langue comme jamais une femme ne l’avait fait avant elle. Je l’ai soulevée de terre et assise sur le dossier d’une banquette, ses pieds sur le siège. Ses chaussures à talons raclaient le skaï. J’ai écarté ses cuisses, debout face à elle.
Fermeture du bar et ouverture de la chatte
Elle portait un tout petit string tout fin. Je l’ai écarté pour découvrir sa fente. J’ai posé un genou sur la banquette et je me suis penché pour sentir son sexe. J’ai déposé quelques baisers et j’ai commencé à la lécher avec le bout de la langue. J’ai écarté un peu ses lèvres et j’ai glissé un doigt. Je l’ai agité en elle pendant que je continuais mes coups de langue. Elle s’est mise à frémir et à gémir. Elle mouillait et moi, j’avais une érection énorme dans mon jean. Je l’ai aidée à descendre du dossier.
Agenouillée, elle s’est tournée en me présentant son cul laiteux et charnu. Cette vision a encore accentué mon trouble. J’ai retroussé sa petite robe et j’ai pénétré sa chatte trempée après avoir dégagé ma bite qui avait faim d’elle. Je l’ai pénétrée doucement d’abord, puis je l’ai prise plus profondément. Je lui ai donné une claque sur les fesses. Elle a gémi et m’a demandé d’aller plus vite et plus fort. Je l’ai baisée comme un forcené en regardant ma queue la pénétrer frénétiquement et s’enfoncer en elle.
Elle poussait des petits cris et ça me faisait redoubler de vigueur. Elle a pris ma main droite pour la poser sur sa chatte. Je l’ai titillée pendant que je la prenais plus doucement et sensuellement. Elle a joui sous mes doigts et s’est tendue comme un arc. Son abandon était la chose la plus excitante qui soit, j’oubliais tous mes problèmes contre son corps et je me sentais ému de l’avoir ainsi, offerte et cambrée. Elle s’est retournée pour s’asseoir sur la banquette et elle a pris ma queue dans sa bouche.
Elle m’a sucé en me regardant dans les yeux avec son regard de chaudasse et elle m’a branlé avec fermeté sans ciller, la bouche entrouverte. J’ai joui sur son décolleté et ses seins rebondis. J’ai relâché toutes les tensions et j’ai ressenti un soulagement et un apaisement rarement éprouvés depuis mon divorce. Je l’ai serrée contre moi et je lui ai dit que ça m’avait fait beaucoup de bien. Elle m’a avoué qu’elle en avait envie depuis un moment sans trop oser l’approche. Ce soir-là, je suis rentré plus léger. Il nous est arrivé à quelques reprises de nous donner du plaisir quand son mari n’était pas là, mais la plupart du temps, nous essayons de rester sages et sommes devenus de vrais amis. Je ne la remercierai jamais assez pour la confiance en moi qu’elle m’a aidé à retrouver.