Claire obscure
28 octobre 2025
Voici mon histoire de sexe érotique. Cela faisait quelques mois que ma compagne Claire n’avait plus très envie de s’envoyer en l’air. J’en étais venu à me demander si elle me trompait, quand nous avons eu une conversation qui m’a éclairé sur ce point. Elle s’est assise au bord du canapé, les mains croisées sur ses genoux, les yeux fuyants. Elle a hésité. Puis elle m’a annoncé : « Il y a quelqu’un. Depuis quelques mois, j’ai un amant. Je ne sais pas ce que ça veut dire, exactement. Je ne veux pas te quitter. Mais je n’arrive pas à me passer de lui. »
Des aveux excitants
Quand elle a enfin levé les yeux vers moi, ils brillaient. Pas de honte. De culpabilité, peut-être. Je crois que j’ai eu une réaction qu’elle n’attendait pas – et moi non plus, d’ailleurs. « Est-ce que tu crois qu’il pourrait y avoir une place pour moi aussi ? Pour nous trois ? » Elle a cligné des yeux, comme si elle n’avait pas compris. Ou plutôt : comme si elle n’avait jamais imaginé cette réaction. Je lui ai demandé de me décrire ce qu’ils faisaient sexuellement ensemble. Elle était timide au début puis, voyant que je me prenais au jeu, car je sentais monter l’excitation en moi, elle a continué en me disant comment il la prenait, comment il la touchait. J’ai découvert que son récit me mettait en transe. « J’aimerais vous voir ensemble », j’ai répondu. Elle en a été bouche bée.
Quelques semaines plus tard, après en avoir beaucoup parlé, je l’ai rencontré. Il s’appelait Mathieu. La quarantaine souple. Un regard curieux, pas dominateur. Pas un voleur de femmes, juste un homme qui s’était entiché de Claire. Nous avons pu discuter ensemble de la possibilité que je les regarde, s’assurer que ça nous excitait tous les trois.
partie candauliste
Le soir même, j’ai découvert que je m’entendais très bien avec lui. Quand ils ont commencé avec Claire à s’embrasser à table, je me suis mis à leur dire quoi faire. C’était la seule manière que j’avais de me sentir inclus dans leur alchimie sexuelle. « Caresse-lui les seins, elle adore ça. » Ils m’ont regardé, surpris, puis amusés. Mathieu s’est mis à la peloter. Leurs baisers se sont faits plus profonds. Ils attendaient la suite de mes instructions. « Maintenant, déshabillez-vous. Je veux vous voir vous donner du plaisir. » Ils se sont mis à poil. « Mon amour, suce-le à présent. » Et elle s’est mise à le sucer. J’ai pris des photos, car je ne voulais pas oublier ce qu’il se jouait sous mes yeux. Je lui ai apporté son vibro. « Fais-toi du bien en même temps. » Elle l’a fait. Elle gobait la queue de son amant, avec d’autant plus d’entrain et de plaisir qu’elle avait ma bénédiction. Avec le jouet, elle s’amenait au bord de l’orgasme, je le voyais à son corps qui se tendait, tout en prenant soin de la bite de son partenaire. Elle a introduit le jouet en elle, elle frémissait, elle mouillait telle une chatte en chaleur. « Prends-là sur notre lit », ai-je intimé à Mathieu, qui l’a portée, nue dans ses bras, jusqu’à notre lit – il connaissait visiblement le chemin – et il l’a prise en levrette sur notre couche conjugale. Le voir talonner ma douce et elle, ma belle, se cambrer telle une féline sous les coups de boutoir, s’est avéré encore plus plaisant pour moi que je ne le pensais. J’ai joui en me touchant à peine, pendant qu’eux aussi terminaient dans un brouhaha de gémissements et de fluides, témoins de leur désir décuplé par ma présence. Depuis, avec Claire, nous avons remis le couvert. Le plaisir circule et se partage, comme me l’a appris cette histoire !
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