Comme du petit-lait

La rédaction 30 septembre 2020

Laetitia, 34 ans, est une jeune maman aux seins remplis de lait. Un jour, son voisin accepte gentiment de lui amener les courses chez elle, ayant un attrait pour les MILF…

Moi, c’est Laëtitia, jeune maman en congé mat. Trop envie de vous raconter l’histoire de sexe qui m’est arrivée la semaine dernière. Mon mari était parti trois jours pour le boulot. J’achetais des couches dans une supérette, en fin d’après-midi. Un beau brun devant moi dans la queue s’est retourné. Il m’a laissé passer et a rangé mes courses dans des sacs. Il m’a proposé de m’aider à porter mes paquets chez moi. Ça m’arrangeait.

Un beau brun qui me dépassait d’une bonne tête. Je l’avais déjà aperçu dans le quartier. Sûrement un voisin. Sur le chemin, on a discuté. J’adorais sa voix. Il était en transit, entre deux vols. Il habitait la rue parallèle à la mienne. Le voisin a porté mes courses jusqu’au troisième. J’ai cherché mes clés. Le seuil étroit, nos deux corps presque collés. Le contact de son corps chaud. Il a posé les courses dans la cuisine, sur le plan de travail. Je lui ai proposé un café. Il a dit oui.

J’avais envie. J’étais intimidée. J’ai cherché le café sur l’étagère en hauteur. Il s’est placé derrière moi. Il a collé son sexe contre mes fesses. Ses mains ont fouillé sous ma jupe. Nos vêtements ont valsé. Finalement, pas de café. Un meilleur excitant.

Mes seins pleins de lait étaient prêts à exploser. Il a pincé délicatement le téton, a roulé doucement le pouce au-dessus et fait contre-pression en dessous. J’ai vu une bulle transparente perler, puis devenir blanche comme neige, et couler le long de mon sein. La pression de ses doigts sur mon sein s’est accrue. Il a lapé le liquide chaud. Il a pris mon sein dans la bouche. Il s’est mis à téter. Doucement d’abord. Puis goulûment. Comme si je le nourrissais.

Direction le canapé du salon. Placé derrière moi, il m’a fait mettre à genoux. Il a frotté son gland sur mon clitoris. Longtemps. Frustrant et bon à la fois. Ma chatte pulsait. Je n’en pouvais plus, je voulais le sentir au fond de moi. Il m’a pénétrée d’un seul mouvement. Un frisson m’a traversée. De la tête aux orteils.

Il m’a massé, caressé, secoué les seins. Des jets de lait sortaient. Ses mains étaient humides, un peu poisseuses. Ma main a fouillé le tiroir de la table basse. Mon gode de rééducation du périnée. Le beau brun a laissé la place au gode. Je l’ai enfoncé profondément. Le gland du beau brun pressait contre mon clito.

Il est allé chercher le gode pour me l’enfoncer dans le cul. Il m’a pénétrée tout en activant le gode. Il s’y prenait bien. Tout en sensualité. Ses coups de bite étaient précis. Je gémissais. Tout offerte à lui. Il a lâché le gode. Peloté mes seins poisseux. Du lait s’échappait en continu. Mon sexe dégoulinait. Littéralement.

Un orgasme m’a déchiré le bas-ventre. Comme une explosion. Il m’a bourrée de plus belle. D’un coup, il est sorti de ma chatte. Il a crié. Sa bite a tressauté sur mon ventre. Des jets de sperme tiède ont atterri sur mon ventre. Une goutte a dégouliné dans mon nombril.
On a pris par un bain ensemble. Il m’a longuement massé le dos. J’ai regardé mon voisin partir avec un pincement au cœur. Depuis, j’ai des papillons dans le ventre dès que je passe le hall de mon immeuble. J’espère le recroiser vite.

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  • Caillat

    Super très existant…

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