Le gangbang de la femme enceinte
8 juin 2020Retrouvez une histoire de sexe étonnante où la libido exacerbée de Florence en période de grossesse va la mener à son premier gangbang !
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Quatre mois. Quatre mois ont passé depuis ce fameux jour où Florence est sortie de la salle de bain en brandissant, tel un trophée, ce petit bâtonnet en plastique bleu et blanc sur lequel deux barrettes parallèles étaient incrémentées ! Aucun doute possible, elle était enceinte !
Bien sûr nous avons couru chez son gynécologue, enfin, elle parce moi j’ai été contraint d’attendre sagement dans la voiture, confinement oblige. Première échographie de contrôle et direction le labo d’analyse biologiques. Là une interminable attente de .. sept heures commence et le sms arrive. « Vos résultats sont désormais accessibles sur notre site xxxxxxx.fr, code d’accès, etc … », nous courrons ouvrir l’ordinateur et lisons fébriles :
Dosage Beta-HCG Plasmatique :
Date présumée des dernières règles : 10 décembre 2019
Taux ……………………………………………………… 350 mUI / ml
Valeurs physiologiques :
Absence de grossesse : Inférieur à 5 mUI / ml
1ère semaine 10 – 50
1 à 2 semaine 40 – 300
2 à 3 semaine 100 – 1000
Etc …
Voilà ! C’était enfin gravé dans le marbre, plus de doute à avoir, Florence était bien enceinte ! Nous allions devenir parents !
Nous avions déjà pas mal de couples dans notre cercle de proches qui avaient connu les joies de la parentalité, nous avions beaucoup parlé de cette éventualité, nous concernant, mais avions décidé de profiter de la vie et de nous donner pleinement à nos boulots respectifs. In fine, l’horloge biologique, couplée à une vie parisienne trépidante, a été le signal. C’était le bon moment pour nous deux, Florence a donc arrêté sa contraception et nous avons fait l’amour comme jamais.
C’est drôle comme le sexe pour concevoir un enfant peut être différent du sexe « juste pour baiser ». Nous étions riche d’une sensualité oubliée, un peu remisée au bénéfice d’un « quickie » vite fait, bien fait. Quand arrive 23H00 et que vous rentrez du boulot après une réinterstron.ru ou une conférence qui s’est éternisée, rajoutez à cela une bonne dose de transports en commun parisiens, vous arrivez chez vous vide avec juste l’envie d’une bonne douche, d’un plat surgelé et vous fondre dans les bras de Morphée.
Et la deuxième phase a montré le bout de son nez, Florence n’a pas eu un premier trimestre compliqué, quelques nausées mais rien de plus. Nous avons fait l’amour normalement, peut-être un peu moins fréquemment, quoique, ces trois mois ayant été quasi passés en confinement, notre rythme a naturellement évolué. Moins de stress, plus de perte de temps dans les transports, nous avons constitué notre cocon tout en commençant de penser à cet enfant à venir, son prénom, un éventuel déménagement, à qui annoncer la nouvelle et quand ? Et doucement le ventre de Florence a commencé à s’arrondir. Imperceptible au début, une jolie parabole s’est lentement dessiné, le trait des hanches est devenu plus franc, son joli nombril s’est un peu aplati et, évidemment, ses seins ont pris du volume. De jolies poires aux aréoles aussi rose que large qui tenaient dans des bonnets 85 B, ils se sont mis a déborder gentiment pour ne plus tenir que dans des soutien-gorge de la taille supérieur. Finalement passer du B au C, c’est le B.A. -ba de la grossesse.
Et nous voilà aujourd’hui à quatre mois, ce futur petit garçon (oui, nous avons voulu savoir) est désormais bien accroché, en sécurité au creux de la matrice de Florence et le gynécologue nous a rassuré mille fois sur notre éventuelle sexualité pendant ces six mois restants de gestation : nous pouvions faire ce que nous voulions ! Le cheval non, mais le cheval renversé oui !
Et ça tombe bien parce que les hormones des femmes enceintes, c’est un peu comme la loterie, on ne sait jamais sur quelle case cela va tomber. Certaines ont une chute vertigineuse de libido, dans certains couples hétérosexuels, c’est l’homme qui ne veut plus par peur de faire mal ou qui voit « la maman » et non plus « la putain ». Parfois encore c’est la peur de faire mal au fœtus. On vous le dit et on vous le redit : Le fœtus ne craint rien ! C’est fait pour ! Vous pouvez baiser autant qu’il vous plaira ! Je parle de grossesses « simples » évidemment, sans complication ou risque médical identifié.
Bref, vous l’aurez compris, il y a beaucoup de cas de figures et je me suis retrouvé en face de celui qui, à mon avis, va faire fantasmer tous les hommes et futurs pères parmi les lecteurs ! Florence a une libido qui est monté en flèche ! Un désir sexuel constant ou presque jusqu’à s’éveiller en pleine nuit et en plein milieu d’un rêve que je pourrais ici qualifier d’érotique mais qui, en réalité, est complètement porno ! Elle est allée jusqu’à me réveiller à quatre heures du matin en me suçant (coup de chance, je dors sur le dos et à poil !) pour me faire bander comme un âne et une fois mon gourdin bien ferme, s’installer à califourchon pour se servir de moi tel un sextoy humain, jouir, se rallonger sur le côté et se rendormir franco en me laissant seul avec ma gaule !
Et les jours se sont ressemblé, Florence était en demande dès le matin, au réveil, dans la cuisine, assise, debout, couchée ! Elle m’a épuisée. J’étais heureux mais je commençais à me sentir légèrement dépassé par les évènements. Mon gland était parfois douloureux, enflé même certains jours, l’achat de toute une batterie de godes et de vibros n’y a rien fait. Florence, pardon du terme, voulait de bite ! Du mâle pour s’occuper d’elle.
Nous avions déjà parlé ensemble de bien des choses, nous avions même commencé à participer à des soirées libertines en clubs ou lors de soirées privées. Nous ne sommes ni un couple libre, ni un couple coincé, nous envisageons le sexe sous un angle hors jalousie, du moment que nous sommes ensemble.
C’est moi qui ai eu l’idée en premier. Lors de nos fameuses sorties coquines, nous avions entendu parler d’un organisateur de choses un peu extrêmes, bukkake, gang-bang, etc … J’ai réussi à trouver son site internet et j’ai pris contact. Je bafouillais au téléphone, ne trouvant pas mes mots, n’osant pas appeler un chat un chat. Xavier a été très compréhensif et m’a donné un rendez-vous dans son domaine, comme ça, pour voir.
J’y suis allé le lendemain après-midi, Xavier m’a tout de suite mis à l’aise, un couple était là pour une « séance ». Les présentations faites Xavier leur a demandé s’il voyait un inconvénient à ce que je sois spectateur de leurs jeux, ils étaient ravis ! Exhibitionnistes, ils rêvaient d’être matés, surtout la femme qui m’a même proposé de participer, elle me trouvait à son goût. J’ai décliné poliment la seconde proposition mais ai accepté avec un enthousiasme mâtiné d’appréhension la première. On m’a installé dans un large fauteuil club dans une salle accueillant un grand lit drapé de satin rouge. La femme est entrée en scène et est montée sur le lit, totalement nue, son mari occupait un second fauteuil en face du mien, de l’autre côté de la couche. Il était toujours en costume mais avait sorti sa queue et commençait à se branler gentiment. Sa femme a fait un signe à Xavier et le lit s’est mis a tourner sur un axe central, m’offrant la dame sous absolument toutes ses facettes.
Elle m’a lâché, en passant, que je pouvais me branler aussi, cela l’exciterait follement. Invité par des gens aussi hospitaliers, je pouvais difficilement refuser de lui faire ce petit plaisir et comme je bandais fortement, cela était finalement un soulagement pour moi. J’ai donc imité son mari, j’ai ouvert ma braguette et j’ai commencé à me masturber lentement.
C’est là que cinq hommes, certains masqués, sont entrés à leur tour. D’aucuns portaient un cagoule en cuir, d’autres des harnais dans le style BDSM, tous avaient en main qui une cravache, qui une badine. Et tous avaient des queues d’acteur de film X ! La séance a duré deux heures ! Les hommes ont tout fait subir à cette femme, très belle, très bourgeoise qui, en fin d’après-midi n’était plus que coulures de maquillage, cul rougi par les fessées à mains nues ou agrémentée d’ustensiles adéquats, seins et cul souillés de mouille, de salive et de sperme, cheveux hirsutes et pupilles dilatées. Elle avait « pris cher » la petite blonde propre sur elle.
J’ai rejoint Xavier après un passage au toilettes, je m’étais fait jouir deux fois, pour boire un double scotch et débriefer ce que je venais de vivre. Je lui ai expliqué que je voulais quelque chose de beaucoup plus soft, le même nombre d’hommes mais sans le lessivage en règle auquel je venais d’assister. La dame avait tout de même été dans des extrêmes délirants pour moi, des doubles voire des triples pénétrations, une double anale, des gorges profondes à m’en donner la nausée. Florence voulait sa dose et non passer sous un rouleau compresseur.
Le tarif fixé nous nous sommes quittés, Xavier, les yeux brillants (je lui avais montré, avec son accord, quelques photos et vidéos de Florence et moi en action) et moi le cœur serré, tout à la fois excité à l’extrême et pétri de doutes.
Le jour J est arrivé. Florence s’est vêtu « club », tenue ultra courte, un haut à résilles très ajourées, des talons haut, des bas noirs, pas de culotte, pas de soutif. La route nous a paru interminable, j’ai demandé cent fois à Florence si tout était OK pour elle, j’ai eu ma réponse très vite, elle s’est masturbée sur le périph et à porte de Clignancourt elle me suçait avec tout le désir et la science dont elle est capable.
Arrivés sur le parking je me suis garé, j’ai refermé la braguette de mon pantalon, nous avons respiré un grand coup, nous nous sommes regardé dans les yeux avec Florence. Dialogue sourd mais intense .. On y va … on y va pas … ? Florence a tranché, elle a posé une main tremblante sur la poignée et a ouvert la portière.
Nous nous sommes présenté devant la porte et j’ai sonné. Xavier est venu nous ouvrir, tout sourire. Il nous a fait la bise et nous a fait entrer. Il a pris nos vestiaires et a complimenté Florence pour sa tenue et sa beauté, en guise de remerciement elle a soulevé le peu de tissus qui cachait sa féminité et Xavier s’est bien rincé l’œil … il a l’habitude !
Nous avons alors gagné la pièce au grand lit rond, cinq hommes étaient déjà là, assis ou debout, discutant nonchalamment tout en branlant leur sexe pour entretenir leur érection. Scène digne d’un tournage porno ai-je pensé mais la similitude était plus qu’exacte puisque j’avais décidé de prendre l’option « souvenir vidéo » et effectivement un cameraman était présent. A vivre cette folie, autant en garder un souvenir durable !
Nous nous sommes vu offrir une coupe de champagne, les hommes se sont rapprochés et ont trinqué avec nous … c’est totalement surréaliste. Les gangbangers avaient été sélectionnés par Xavier pour leur endurance mais pas seulement, tous fantasmaient sur les femmes enceintes. Leurs regards en disaient long du reste, ils allaient des seins de Florence à son bidon bien arrondi et leurs queues montraient des signes érectiles qui n’avaient plus besoin de stimuli manuels.
Enfin l’heure est arrivée, cela s’est fait naturellement, Florence s’est rapproché des cinq hommes et s’est doucement coulée entre eux, frôlant leurs queues, les prenant à pleine main ou caressant leurs bourses gonflées. Les cinq mousquetaires, épées tendues, l’ont pelotée de toute part en retour. Je me suis mis à bander et je me suis déshabiller afin de rejoindre la troupe.
Florence s’est installée au centre du lit et s’est allongée confortablement sur le dos, quelqu’un lui a galamment placé un coussin sous la nuque afin qu’elle soit le plus confort possible tout en lui offrant sa bite énorme à sucer. Elle a tendu les main pour attraper une trique dans chacune d’elle et un de nos compagnons s’est lové entre ses cuisses afin de lui rendre un hommage buccale appuyé. Le dernier et moi avons pris place aux côtés du visage de Florence et elle a sucé les trois queues à sa disposition en alternance. Nous lui avons tous offert un cunnilingus tandis que les autres se faisaient branler ou sucer puis Florence s’est enfin mise en levrette, les « choses sérieuses » ont commencé. Elle voulait tout, elle désirait offrir tout d’elle et être comblée par tous les orifices.
Xavier nous avait demandé si nous avions quelques réticences à ce que le panel des amants de ma femmes soient mixtes, au contraire, Florence a toujours aimé les différentes façons d’aimer qu’elles soient d’origine magrébine, asiatique, antillaise, africaine ou que sais-je. Aussi un joli patchwork allant du presque diaphane à l’ébène le plus sombre a gravité autour d’elle deux heures durant. Tous étaient encore montés mieux membrés que moi et je suis déjà gâté par la nature.
Florence n’a reculé devant rien, même pas devant un type à l’accent d’Europe de l’est qui avait un pieu impressionnant, nous lui avons doigté le petit trou longtemps et à grand renfort d’huile lubrifiante avant que le « cuirassé Potemkine » la sodomise avec une douceur insoupçonnable chez ce gaillard bodybuildé !
Florence a joui par tous ses orifices, par sa chatte, par son cul, ses lèvres formaient un joli bourrelet rosissant à la fin de la séance, son clito était devenu si sensible que même marcher ou s’assoir lui était inconfortable mais elle était resplendissante, agonie par autant d’orgasmes !
Le final est enfin arrivé ! Le fameux bukkake tant attendu par Florence. Elle s’est remise à genoux au centre de la couche et ses six serviteurs se sont masturbé de concert. Je ne sais pas pour les autres hommes mais j’ai toujours été excité de voir un autre homme se branler et voir une éjaculation entraîne très souvent la mienne. Nous avons continué de caresser le corps offert de ma belle et le premier jet a été annoncé par des borborygmes gutturaux, un autre a crié et nous nous sommes tous concentrés sur les glands décalottés. Une parenthèse de quelques secondes, rien, puis l’effusion du liquide blanchâtre, la première, timide et la seconde plus puissante avant les trois ou quatre jets puissants et explosifs. J’ai juté juste après avec l’européen de l’est, ma semence n’était pas très abondante mais la sienne fut un geyser que rien ne semblait vouloir stopper. Florence se donnait toute entière, visage, chevelure, poitrine, cul. Les deux derniers ont souhaiter éjaculer sur son ventre en doigtant sa chatte et son cul. Ce fut chose faite !
Nous nous souviendrons longtemps de cette expérience hors norme, souvenir que … nous ne partagerons jamais avec notre progéniture ! Sic !
(Image à la une : Getty Images)
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