Les coquineries de deux jeunes retraités

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Je m’appelle Bertrand, un tout frais retraité marié depuis 40 ans (eh oui ! j’ai trouvé la perle rare très jeune) à Joëlle, une magnifique femme qui a été enseignante de français pendant de nombreuses années et qui découvre aussi avec joie l’oisiveté de la deuxième partie de vie.

Pour ne rien vous cacher, nous sommes tous deux des grands adeptes de sexe et nous avons déjà tenté quelques trucs assez « fun » comme d’aller dans un sexshop tous les deux ou regarder un film porno en nous caressant mutuellement (même si Joëlle avait très peur que je devienne « addict », elle avait lu ça dans un magazine !). Bref, nous avons décidé ensemble que l’arrivée dans notre nouvelle vie devait nous ouvrir de nouveaux horizons, nous bousculer un peu dans notre train-train de vie tranquille et pépère, sans trop de remous.

Nous nous sommes donc renseignés pour aller dans des soirées libertines privées, organisées par des réseaux d’amateurs. Pour être honnête, c’était assez glauque et nous n’avons pas beaucoup pratiqué sur place. Les matelas étaient à même le sol, le vin était de très mauvaise qualité et la musique pas du tout à notre goût.

Mais cela ne nous a pas empêché de faire des rencontres géniales ! Notamment, nous avons échangé (c’est le cas de le dire !) avec Fredo et Clothilde, un couple de quadra très mignons et bien faits, qui habitaient juste à côté de chez nous. Nous avons convenu d’un plan un peu particulier : le jeudi soir suivant, nous échangions nos femmes !

Comme Clothilde était nettement plus jeune que Joëlle, j’ai cru qu’ils n’accepteraient jamais le deal, mais il faut croire que je devais plaire à Clothilde. Quand à ma Joëlle, elle était complètement excitée à l’idée de passer une nuit dans les bras de Fredo qui ne la laissait manifestement pas indifférente.

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Le soir arrivant, j’étais très nerveux. Avec l’âge, j’ai commencé à avoir des problèmes d’érection et j’avais peur de ne pas être à la hauteur ! C’est qu’il y avait du niveau pour être comme Fredo, je voulais montrer à Clothilde que l’on pouvait aussi être performant après 60 ans. Ma réputation était en jeu.

Quand elle est arrivée, Joëlle était déjà partie depuis une bonne heure et j’avais pris soin de préparer un dîner pour deux personnes de bonne qualité. Clothilde était ravie, même si elle n’a pas attendu le dessert pour me sauter dessus. En même temps, nous étions là pour ça. J’ai trouvé son attitude un peu entreprenante, c’est vrai qu’avec Joëlle, nous aimions prendre le temps de nous désirer, de nous toucher, mais peut-être que les jeunes sont plus rapides !

Je l’ai donc emmenée dans la chambre (pas question de faire ça sur la table de la cuisine, cela n’aurait pas été très propre), et là, j’ai complètement halluciné en découvrant son corps ! Ses seins étaient ronds, rebondis, succulents. Je suis venu les téter avec un empressement difficilement contrôlable. Son corps était lisse et luisant, comme un sucre d’orge de Noël. En comparaison, je tenais plus de la guimauve ridée et poudreuse. Heureusement, cela n’a pas eu l’air de la déranger et elle s’est laissée explorer par mes doigts entreprenants.

Sa vulve était une œuvre d’art. Je l’ai écarté bien en grand pour en admirer les moindres replis. Qu’est-ce qu’elle était belle cette petite chatte, et qu’est-ce que j’étais heureux de pouvoir la pénétrer ! Notre partie de baise a été relativement rapide, n’ayant plus l’endurance de ma jeunesse, mais Clothilde a eu l’air tout de même satisfaite. Quand elle est rentrée retrouver son mari, trois heures après être entrée chez moi, je me suis surpris à attendre avec impatience le retour de Joëlle.

Son corps était peut-être moins ferme, mais l’amour que je lui porte en était grandi. Quelle femme au monde permettrait à son mari de vivre de tels moments ?

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