Coup de pine aux Philippines

La rédaction 4 août 2020

Paulo, 56 ans, est un gendarme à la retraite qui prend du bon temps aux Philippines. Il rencontre une belle asiatique et va lui faire découvrir la sodomie.

Je voulais absolument partager avec vous cette histoire de sexe !

Je suis gendarme à la retraite et je m’éclate à voyager. Après, je reprendrai un poste dans la sécurité. J’ai fait l’Asie l’hiver dernier. Vietnam, Thaïlande, Philippines. C’est ce que j’ai préféré. Faut dire que j’ai rencontré un petit bout de femme qui m’a fait passer une semaine dingue.

C’était à El Nido, un coin de paradis sur l’île de Palawan. Faut aller voir les photos sur le Net pour piger comme c’est beau. J’avais loué une cahute sur la plage, dans un hôtel tenu par une locale. La quarantaine, belle meuf, typique. Là-bas, elles ont des sourires d’anges et des corps de démons, qu’elles bougent magnifiquement bien. Comme je restais un bon moment sur place, la patronne est venue me saluer le premier soir, pendant que je prenais le frais devant ma cahute.

On a parlé en anglais, même si on n’était pas bons tous les deux. Elle m’a dit son prénom et j’ai éclaté de rire. Javal. Vous vous rendez compte ? Elle s’est vexée, alors j’ai dû lui expliquer le sens que ça avait chez moi, en faisant des gestes parce qu’elle ne comprenait pas. J’avais l’air d’un gros débile, à mimer une pipe. On a fini écroulés de rire. Elle m’a proposé de venir boire un verre au bar. On a finalement picolé jusque tard dans la nuit. Le lendemain, j’ai pioncé et puis j’ai été me balader en pirogue. Le soir, j’étais cassé donc je suis rentré direct à ma cahute. Devinez qui m’attendait ? Et pas devant la baraque, non, non ! Javal était entrée et s’était foutue dans mon plumard.

Après tout, c’était chez elle et je n’allais pas la contredire. Je l’ai rejointe sans prendre le temps de me rincer. J’étais tout suant et salé. Javal s’est mise à me parler dans sa langue. J’étais sous le charme. Je ne portais qu’un maillot de bain donc ça a été vite vu pour me dépoiler. La patronne baragouinait toujours en vérifiant si tout était à sa place et poussait des petits cris d’admiration. Je précise que je suis grand, baraqué et très bien membré. Elle m’a ausculté comme ça un moment. Moi, je durcissais à vue d’œil. J’ai voulu attraper ses frusques mais elle m’a tapé sur la main avec un air sévère. OK, c’était elle la patronne. Enfin, au début… Après, changement de programme !

Javal m’a dit dans sa langue de m’allonger. J’ai compris grâce à ses gestes. Les mêmes que ceux que j’avais faits la veille pour mimer la pipe. On a rigolé. Et puis elle est descendue en m’embrassant tout le long du corps. Elle a pris son temps pour me la lécher de haut en bas. Ensuite, elle a nettoyé mes couilles qui devaient être comme des cacahuètes salées. Quand elle s’est attaquée à la partie avalage, j’étais plus chaud que le soleil philippin. Impossible de me retenir de la choper par la crinière et de la faire aller et venir sur mon mandrin. Sacrée suceuse, la Javal !

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Au début, elle a un peu résisté. Puis elle s’est mise à gémir. On aimait être soumise, l’air de rien. Je me suis fait pomper pendant vingt minutes, sans pitié ! Javal devait avoir mal aux mâchoires car elle commençait à renacler. Je l’ai désemmanchée et je lui ai demandé en anglais de s’allonger. J’ai commencé par un massage des épaules. Ça ne devait pas lui arriver souvent car elle s’est mise à couiner. J’ai décidé de passer la seconde. Je me suis mis à l’embrasser sur la nuque puis à descendre tout doucement. Là, voilà, les épaules, les reins… Le cul… J’ai continué en écartant ses fesses bien dorées. Miam, miam ! Un délicieux repas m’attendait !

A mon avis, c’était le premier anulingus de Javal. Elle s’est mise à beugler, les gars ! J’étais tellement excité de l’entendre, et puis du serrage extrême de son cul, que j’ai décidé de me le faire. Mais avant, je te l’ai cajolée, léchée, je lui ai bien préparé l’anus avec ma langue…

La patronne tremblait de bas en haut. C’était le moment. J’ai relancé Popol, un peu descendu car j’étais concentré sur Madame, et je me suis mis derrière elle. Oh, le beau trou ! On aurait dit une de ces grottes que j’avais explorées en pirogue. Aussi mouillé et profond ! Javal a mordu l’oreiller dès que j’ai entré les premiers centimètres. Alors j’ai plongé. Jamais je n’avais enculé une femelle aussi facilement, en trois coups, j’étais dedans ! C’était chaud comme l’enfer. J’ai pris mes aises tandis qu’elle lâchait des gémissements dans le coussin.

J’ai écarté ses fesses et j’ai martelé. C’était bon, c’était beau ! Mon Paulo, que je me suis dis, tu vas remplir ce petit cul à ras bord ! Je l’ai travaillé en profondeur mais aussi en largeur, en faisant des cercles de plus en plus larges. De temps en temps, je ressortais en écartant bien les fesses et j’admirais sa grotte. Quel kif, les amis ! Ça a duré au moins un quart d’heure, incroyable qu’on tienne autant tous les deux. Javal a craqué la première. Elle a relevé le cul pour que je la prenne encore plus intensément. Je l’ai cambrée au max et j’ai accéléré. Un, deux ! Un, deux ! Comme à la gendarmerie ! Plus fort, plus fort, je l’ai secouée comme un prunier, le gland bien au fond et les couilles qui tapent ! Voilà, elle lève la tête et elle gueule, je l’ai eue !

Le temps qu’elle se remette un peu, je l’ai réenfilée. Dedans c’est trop bon, ça serre et ça desserre à cause des spasmes de l’orgasme. J’étais au bout. Je me suis sorti et j’ai écarté les miches bien grandes, pour observer les mouvements. Ouvert, fermé, ouvert… Paf ! J’ai craché la plus grosse giclée de ma vie ! La patronne en a eu la rondelle toute barbouillée, toujours en mode ouvert-fermé.

On s’est envoyés en l’air jusqu’à mon départ. A l’hôtel, sur la plage, par devant, par derrière… En y repensant, je retournerais bien aux Philippines cette année, moi.

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