Crise de la quarantaine

La rédaction 18 janvier 2023

Michel et sa femme veulent pimenter leur vie de couple et d’adonnent à de nouveaux plaisirs sexuels. Avec leurs amis, ils se prêtent au libertinage !

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Quarante ans, c’est l’âge pivot où l’on se rend compte que l’on fête plus de départs à la retraite que de baptêmes ou de mariages ! Je ne sais plus quel reportage à la télévision a été le déclencheur de notre révolution sensuelle, mais j’ai regardé Michel, mon époux et je lui ai dit que j’avais envie de lui, là maintenant, dans le canapé. Nous avons baisé, pas fait l’amour, baisé ! Nous nous sommes envoyés en l’air comme jamais, tout y est passé, fellation, cunni, moi dessus, moi dessous, j’ai joui comme je n’avais pas joui depuis des années et Michel a même eu le droit de m’enculer alors que je ne suis vraiment pas fan de la pratique. Et j’ai pris mon pied en pleine sodomie tant mon imaginaire galopait, j’étais entourée et aimée par plusieurs hommes. Dans les jours qui ont suivi, une évidence est apparue, nette, claire, impérative ! Nous voulions vivre, JE voulais vivre totalement ce fantasme ! Assumer mes désirs, mes envies, mes lubies les plus folles. Michel n’en revenait pas, au revoir la Agnès timorée et, pardon, mais « coincée du cul » et bonjour à la Agnès chaude, brûlante, prête à assouvir toutes ses perversions. Nous avons appelé Serge et Mylène, des amis de toujours que nous savions être libertins, même âge, même génération, ils ont été soufflés par notre proposition d’une soirée coquine tous les quatre. Le samedi soir suivant, nous frappions à leur porte la boule au ventre et la mouille aux nymphes.

Pas le temps pour l’apéro !

Nous avons sauté, pardon de l’expression, l’apéritif dînatoire qu’ils nous avaient préparé, à peine Mylène tendait ses lèvres pour m’embrasser que je plaquais les miennes contre sa bouche moelleuse et lui roulais ma première pelle lesbienne de ma vie, tandis que ma main tâtait le volumineux paquet de Serge. Le champagne pouvait bien se réchauffer, les petits fours se dessécher, moi ce que je voulais, c’était sucer, me faire lécher et être d’orgasmes épuisée. Nous avons quand même fini de nous allumer dans le salon entre deux coupes de vin pétillant et nos habits qui s’étalaient par terre. Serge et sa tignasse argentée m’a caressée de partout tandis que Mylène commençait à pomper mon mari qui prenait les premières photos de la soirée ! Nous avions, tous les quatre, envie d’un lit pour pouvoir donner libre cours à notre imagination. Je me suis très vite retrouvée avec les bites de nos deux hommes à téter – encore une grande première pour moi –, lorsque j’ai senti la langue de Mylène s’insinuer dans les viscosités gluantes de mon con saturé de mouille. J’ai décollé en quelques fractions de seconde ! Une femme qui lèche une femme, qui en connaît les moindres failles, les moindres points sensibles ! Mais pourquoi n’ai-je pas cédé à la tentation avant ? Quant au plaisir de découvrir une nouvelle queue sous ma langue, la sentir vibrer, bander à son maximum. Cela a décuplé mes sensations. La suite n’a été qu’un imbroglio de positions et d’inédits, pour moi comme pour Michel. Bien sûr, Mylène l’a sucé à son tour avec moi, lui aussi inaugurait une façon différente de la mienne de se faire tailler une pipe. Il a très bien résisté, cela dit. Je le connais sur le bout du gland et j’ai vu toute sa concentration pour ne pas lui gicler prématurément dans la bouche. Sont venues ensuite les introductions diverses et variées. D’abord classiques, levrettes et missionnaires échangeant nos partenaires, l’endurance de nos mâles nous a surprises et nous avons chacune eu un orgasme en chevauchant le mari “intru”, lorsque Mylène a réclamé une double pénétration. C’est moi qui ai pris les photos de ce grand moment de sexe au gré duquel j’ai vu mon amie défaillir de plaisir à s’en évanouir presque. Aucune chance que je ne teste pas ce firmament délicieux, j’ai laissé les hommes récupérer un peu, nous les sentions au bord de la rupture, mais ils ont trouvé les ressources nécessaires pour me faire subir le même sort. Honneur aux hôtes, c’est donc Serge qui m’a enculée tandis que Michel se fondait dans ma chatte. De me savoir ainsi souillée par deux mâles, d’avoir la conscience de Mylène là, derrière nous, qui nous filmait et nous photographiait, je suis venu en moins de temps qu’il faut pour le dire. Un cri a arrêté le temps, c’était le mien, les garçons se sont répandus en moi et Mylène s’est avancée pour s’abreuver de leur sperme coulant de mes orifices. Je suis devenue insatiable depuis, nos amis nous ont initiés aux clubs libertins, aux spas coquins et à d’autres pratiques dont je vous reparlerai sans doute dans une prochaine lettre.

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