De charmants voisins (40 ans)

La rédaction 19 novembre 2019

Léa, 29 ans

Je me suis installée à S., dans un petit appartement neuf, après ma rupture avec mon ex. J’ai rapidement fait connaissance avec ma voisine de palier. Elle avait sensiblement mon âge, 30 ans. Brune et rigolote, elle ne manquait pas de classe. Nous avons sympathisé rapidement et nous sommes devenues amies. Comme elle n’avait pas de voiture, je la dépannais souvent. Pour me remercier de mon aide, elle m’a invitée à dîner chez elle. C’est ainsi que j’ai fait la connaissance de son mari. Dès le premier abord, je l’ai trouvé beau et séduisant. Il paraissait environ la trentaine, avait la peau bronzée et, comme il était en chemisette, je voyais ses muscles. Le repas a été très agréable.

Plus tard, une fois rentrée dans mon appartement vide, j’ai pensé à lui. J’aurais bien voulu passer un moment dans un lit avec cet homme. Mais, c’était le mari de ma copine, et je ne pouvais pas y toucher.
Un samedi, ma voisine m’a invitée à passer vers treize heures chez elle pour aller ensuite au cinéma. Quand je suis arrivée, son mec m’a ouvert la porte et m’a expliqué qu’elle arriverait vers quinze heures. Il m’a offert un jus de fruits, et je me suis installée sur le canapé. Lui, assis dans son fauteuil, me parlait, mais je ne l’écoutais pas. Je pensais à lui et je me demandais si l’occasion était à saisir.

J’ai eu une idée et je suis passée à l’action. J’ai fait tomber du jus d’orange sur mon pantalon. Je lui ai demandé où était la cuisine pour passer un coup d’éponge sur la tache. Il m’a accompagnée. Arrivée à la cuisine, j’ai retiré mon vêtement souillé et je me suis retrouvée en petite culotte rouge. Il en est resté baba, mais j’ai vite vu apparaître une bosse significative sur son pantalon. Il avait envie de moi, c’était certain. Après avoir nettoyé mon vêtement, je me suis approchée et je me suis lentement agenouillée devant lui. Au moment où j’ai fait mine de détacher sa ceinture, il m’a arrêtée pour m’inviter dans sa chambre. Là, il a pris des initiatives que je n’ai pas eu envie d’interrompre. Mon rêve se réalisait, j’étais là, et j’allais m’envoyer en l’air avec lui.

Il m’a bandé les yeux et m’a déshabillée lentement. Je ne voyais rien, mais je sentais qu’il me retirait mes vêtements un à un en me faisant plein de caresses et de bisous. Cela agaçait mon corps et me troublait. Quand j’ai été entièrement nue, il m’a allongée sur le lit en me couvrant mes seins de petites léchouilles et de légers mordillements. C’était vraiment délicieux. Après m’avoir embrassée tendrement, il a pris mes deux mains et les a attachées au lit, au-dessus de ma tête. J’ai senti que mes seins se redressaient et j’ai eu un peu peur. Était-il sadique ?

Je n’ai pas eu le temps de me tracasser car après s’être déshabillé vite fait, il s’est allongé contre moi. Son sexe dur pressait mon bas-ventre. Soudain, sa main a glissé sur mon sexe, a caressé mes lèvres. Un, puis deux doigts m’ont fouillée, et cela m’a fait frissonner. Son autre main est allée vers mon anus, et un doigt mouillé a voulu pénétrer mon intimité. Mais, je me suis contractée et j’ai refusé ce contact. Il n’a pas insisté. Il a changé de position.

J’ai senti sa queue contre mes lèvres. L’odeur de sa tige m’a envahi les narines et j’ai compris son désir. Avec ma langue, j’ai entouré sa hampe et je l’ai emmenée dans ma bouche. Sa bite, très grosse, cognait mon palais, mais son odeur me rendait folle. J’ai accéléré le mouvement et, bientôt, son liquide a explosé dans ma bouche. Au moment où j’ai voulu me reculer, il m’a tenu la tête et m’a conseillé d’avaler son sperme. Son liquide chaud avait bon goût.

J’étais en transe, surtout que ma chatte recevait des coups de langue, et que des doigts s’infiltraient en moi.
Il m’a ordonné de me retourner, les fesses à l’air. Ce n’était pas facile car j’étais attachée, mais j’ai répondu à son exigence. Quand j’ai été en position, il s’est activé avec ses doigts dans ma chatte. Soudain, j’ai poussé un cri. Un coup de boutoir avait enfoncé mon anus. J’ai eu mal au début, mais à la longue, le ramonage de mon cul m’a fait du bien, et j’ai fini par crier de plaisir.

Quand il m’a enlevé le bandeau, j’ai reconnu ma voisine et amie, qui se tenait à ses côtés ! Elle était présente depuis le début et m’avait caressée, elle aussi. J’étais tellement excitée que je ne m’étais rendu compte de rien. Elle m’a avoué après la fin de nos ébats qu’elle avait eu envie de moi, et qu’elle s’était aperçue que j’avais un faible pour son mec. D’où l’idée de leur petit traquenard…

(Image à la une : Getty Images)

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