Témoignage érotique : « En haut du mirador, à l’affût du plaisir »
9 juillet 2021Notre témoin nous raconte l’une de ses coucheries dans un mirador avec son ex chasseur…
Les premiers pas
J’ai connu W. au lycée. C’était quelqu’un de très, comment dire… sauvage. Il était très compliqué de lui parler sans qu’il ne se montre méfiant. Mais j’y suis quand même allée et sans arrières pensées. Je ne cherchais pas à être en couple à vrai dire. Seulement, progressivement nous nous sommes rapprochés et convaincue que nous étions potes, je ne m’attendais pas à ce qu’un jour il m’avoue qu’il était tombé amoureux de moi.
Je venais de me séparer d’une petite relation et je ne pensais absolument pas me remettre avec quelqu’un d’autre. Puis à cet âge là, enfin en ce qui me concerne, il faut avouer que ça ne faisait pas partie de mes priorités. Et encore maintenant d’ailleurs, toutes mes relations me sont tombées sur le coin de gueule on va dire. Je pense à chaque fois entretenir des relations amicales, mais au final ça devient bien plus que ça.
Bref, revenons à nos moutons. Lorsque W. m’a avoué ses sentiments, j’avoue que je ne savais pas trop quoi dire et surtout je ne savais si je ressentais la même chose. Il m’a laissé un peu de temps (1 mois, parce que oui, il pouvait se montrer impatient). Il ne pouvait entretenir une relation amicale avec moi, tant il m’aimait et moi je me suis rendue compte que je ne voulais pas y renoncer. Alors, un peu avant la deadline, je lui ai fait comprendre que je voulais me mettre avec lui. Comment lui ai-je fait comprendre ? Simplement en l’embrassant et en lui sautant dessus. Ah oui, un petit détail, j’étais sa première copine et sa première fois. On avait 16 ans chacun et nous sommes restés ensemble jusqu’à nos 22 ans…
Prendre de la hauteur
Avant que l’on se mettre ensemble, W. m’avait parlé de ses passions. Comme quasiment tous les garçons il aimait le foot et en avait fait. Mais ce qui le passionnait réellement c’était la pêche et la chasse. J’avoue m’être un peu moquée en l’apprenant. Il faut avouer qu’à 16 ans, on a pas l’habitude que quelqu’un de notre âge pratique ce type de loisirs. De nature curieuse, j’ai voulu découvrir ses univers. Je me suis alors essayée à la pêche et à la chasse. Tout au long de nos 6 années de relation, je suis allée trois voire quatre fois en battue avec lui. Pendant qu’il était posté, moi je faisais partie des traqueurs. Par chance (pour moi), lorsque j’y allais les chasses n’étaient pas fructueuses. Je passais de bons moments et les autres chasseurs étaient très gentils avec moi (parce que j’étais la copine de W. et aussi du fait que je sois une fille). Au-delà de me faire découvrir les battues, il me faisait découvrir des endroits plutôt sympas et isolés. W. aimait beaucoup la nature et n’avait peur de quasi rien. Autant dire que je pouvais le suivre presque partout, sans trop m’inquiéter, car il aurait tout fait pour me protéger.
En dehors des chasses, il nous arrivait d’aller nous perdre dans des portions de forêt. Ce que j’aimais particulièrement, c’est quand on grimpait dans un mirador pour observer ce qui se passait plus bas. C’était aussi un bon moyen d’être isolés en hauteur. Perchés là-haut, j’avais le sentiment d’être à la fois à l’abri et à la merci de tous. Lors du premier confinement, nous étions sur la fin de notre relation mais nous continuions à nous voir, comme si de rien n’était et c’était rassurant. Un des soirs où j’ai bravé le confinement pour passer quelques jours chez lui, nous n’avions pas envie de manger avec ses parents. On voulait prendre l’air, d’autant plus que les beaux jours étaient déjà arrivés. On est donc partis, avec quelques provisions sous les bras, pour faire un petit apéro. W. s’en foutait pas mal de se faire prendre, je pense qu’il était juste heureux et léger de se retrouver avec moi, oubliant ainsi tout ce qui était en train de nous séparer.
Non loin de chez lui, il y avait un étang. Il connaissait le propriétaire et nous y sommes entrés sans tracas. Il m’a proposé de nous percher sur un mirador, pour ainsi observer le coucher de soleil, bière à la main, comme seuls au monde. Une fois nichés à plusieurs mètres du sol, c’est comme si on avait complètement oubliés ce qui nous affectait. Comme aux premiers jours, on se taquinait, on se cherchait, on se mangeait du regard. Légèrement désinhibés par l’alcool, nous nous sommes naturellement jetés l’un sur l’autre.
Admirer la vue
J’ai été inondé de frissons qui parcouraient l’entièreté de mon corps. W. me tenait d’une main ferme (comme à son habitude) et j’adorais ça ! Accoudé sur le rebord de notre perchoir, je me suis doucement mise à genoux pour le sucer. Je sais qu’il aimait ça et moi aussi. Il faut dire qu’il était bien membré et qu’il savait me satisfaire. Moi à genoux en train de m’appliquer à la fellation, je sentais l’excitation et un sentiment de plénitude monter en lui. On se connaissait très bien et chacun savait comment prendre l’autre.
Il m’a saisi les bras pour me remonter à son niveau, m’a retourné dos à lui tout en me mangeant la bouche de désir et m’a titillé le clitoris. À ce moment, je vibrais de tout mon être et je mouillais comme il n’était pas permis ! Il a dirigé mon dos qui était face à lui pour que j’incline ma poitrine contre la rambarde du mirador. Il m’a pénétré doucement mais fermement et que c’était bon ! Le rythme est monté crescendo, il savait que les premiers coups de reins servaient à préparer mon vagin pour la suite. En accélérant les coups de bite, il relevait mon haut pour avoir une vue optimale sur mes fesses, qui répondaient à chacun de ses coups de matraque. W. adorait mon corps. Le fait que je sois menue, avec des petits seins et des fesses bien bombées le fascinait.
On peut dire que dans ces moments, il faisait ce qu’il voulait de moi et il savait que j’adorais son côté entreprenant, dominant. Il a alors saisi ma cuisse avec poigne pour que je surélève ma jambe et la dépose sur le rebord de notre cabane. En équilibre sur une jambe, je me faisais pilonner en gémissant deplaisir. Avec une délicatesse et une fermeté qui lui sont propres, il m’a attrapé par le cou. Je sentais qu’il allait finir. Il s’est alors retiré de mon vagin pour éjaculer par dessus bord. D’un jet abondant et puissant, il a arrosé les herbes sèches qu’il y avait mètres plus bas.
Épuisés par cette partie de sexe intense pour nous et peut être scabreuse pour d’autres, on s’est regardé droit dans les yeux. Un sourire en coin qui en disait long… Quelques semaines plus tard, nous nous sommes définitivement séparés. Je conserve tout de même de bons et nombreux souvenirs, de ces lieux parfois improbables, qui ont accueillis nos parties de jambes en l’air.
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